Meyrals
Meyrals | |||||
L'église Saint-Eutrope pendant le Festival des épouvantails 2012. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Sarlat-la-Canéda | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Vallée de la Dordogne et Forêt Bessède | ||||
Maire Mandat |
Joël Le Corre 2020-2026 |
||||
Code postal | 24220 | ||||
Code commune | 24268 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
693 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 38 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 53′ 59″ nord, 1° 03′ 53″ est | ||||
Altitude | Min. 90 m Max. 267 m |
||||
Superficie | 18,16 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Sarlat-la-Canéda (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de la Vallée Dordogne | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
modifier |
Meyrals est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
[modifier | modifier le code]Généralités
[modifier | modifier le code]Dans le quart sud-est du département de la Dordogne, en Périgord noir, la commune de Meyrals est bordée eu nord-est par la Petite Beune. C'est une commune rurale[1] qui fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda[2]. Elle est située sur un coteau très boisé dont un versant descend vers la vallée de la Dordogne et l'autre vers celle de la Vézère.
À l'intersection des routes départementales (RD) 35 et 48, le petit bourg de Meyrals se situe, en distances orthodromiques, onze kilomètres à l'est du Bugue et douze kilomètres à l'ouest de Sarlat-la-Canéda.
Entre Les Eyzies et Saint-Cyprien, un tronçon commun aux sentiers de grande randonnée GR 36 et GR 64 traverse l'ouest de la commune sur plus de deux kilomètres.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Meyrals est limitrophe de quatre autres communes. Au nord-est, son territoire est distant de moins de 300 mètres de celui de Marquay.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Géologie
[modifier | modifier le code]Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Meyrals est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[3].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c2b, date du Turonien inférieur à moyen, composée de calcaire graveleux, puis calcaires crayeux bioclastiques à rudistes passant latéralement à des calcarénites. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 807 - Le Bugue » et « no 808 - Sarlat-la-Canéda » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[4],[5] et leurs notices associées[6],[7].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | ||||||||||||||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Cénozoïque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
Holocène |
| ||||||||||||||||||||||||
Pléistocène | non présent | ||||||||||||||||||||||||||
Néogène (2.58 - 23.03) |
non présent | ||||||||||||||||||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) |
non présent | ||||||||||||||||||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) |
Crétacé (66.0 - ≃145.0) |
Supérieur |
| ||||||||||||||||||||||||
inférieur | non présent. | ||||||||||||||||||||||||||
Jurassique (≃145.0 - 201.4) |
non présent | ||||||||||||||||||||||||||
Trias (201.4 - 251.902) |
non présent | ||||||||||||||||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 538.8) |
non présent |
Relief et paysages
[modifier | modifier le code]Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 90 m et 267 m[8],[9].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [10]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[11]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[12].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 18,16 km2[8],[13],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 18,74 km2[5].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[16]. Elle est drainée par la Petite Beune, et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[17],[Carte 1].
La Petite Beune, ou Beune du Paradoux dans sa partie amont, d'une longueur totale de 11,74 km, prend sa source dans la commune de Marquay et se jette dans la Grande Beune en rive gauche aux Eyzies, en bordure de la RD 47[18].
-
Réseaux hydrographique et routier de Meyrals.
-
Carte des schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) couvrant le territoire communal de Meyrals.
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont » et « Vézère-Corrèze ». Le SAGE « Dordogne amont », dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Le SAGE « Vézère-Corrèze », dont le territoire regroupe les bassins versants de la Vézère et de la Corrèze, d'une superficie de 3 730 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental de la Corrèze[20]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [21].
Au nord, la majeure partie du territoire communal se situe dans le bassin versant de la Petite Beune et dépend du SAGE Vézère-Corrèze. Au sud, la zone correspondant au bassin du Moulant — petit affluent de la Dordogne — représente environ 15 % de la superficie communale et est rattachée au SAGE Dordogne amont.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[22]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[23].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 912 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[24]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pays de Belvès à 14 km à vol d'oiseau[25], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,2 mm[26],[27]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[28].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Meyrals est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[29]. Elle est située hors unité urbaine[30]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[30]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[31],[32].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (64,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,4 %), zones agricoles hétérogènes (34 %), prairies (1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %)[33]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Prévention des risques
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Meyrals est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[34]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[35].
Meyrals est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[36]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[37],[38].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[39]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[40]. 9,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[41].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999, par la sécheresse en 1989 et 1992 et par des mouvements de terrain en 1999[34].
Toponymie
[modifier | modifier le code]En occitan, la commune porte le nom de Mairal[42].
Histoire
[modifier | modifier le code]Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[43],[44].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Justice
[modifier | modifier le code]Dans le domaine judiciaire, Meyrals relève[46] :
- du tribunal de proximité de Sarlat-la-Canéda ;
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Bergerac ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[48].
En 2021, la commune comptait 693 habitants[Note 5], en évolution de +11,59 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Festival des épouvantails, chaque été, depuis 1999 (25e anniversaire en 2024)[50].
Économie
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]En 2015[51], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 272 personnes, soit 43,8 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (trente-deux) a augmenté par rapport à 2010 (vingt-cinq) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 11,8 %.
Établissements
[modifier | modifier le code]Au , la commune compte soixante-huit établissements[52], dont quarante-sept au niveau des commerces, transports ou services, huit relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, six dans la construction, quatre dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et trois dans l'industrie[53].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Eutrope, construite essentiellement au XIIe siècle, inscrite au titre des monuments historiques en 2007[54].
- Château de la Roque, XIIe, XIIIe et XVIe siècles. Il est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1927 et les fresques de son oratoire sont classées depuis 1963[55].
- Grotte de Bernifal, classée au titre des monuments historiques en 1904[56].
- Grotte préhistorique du Bison, à Bernifal, inscrite au titre des monuments historiques en 2005[57],[58].
- Grotte dite Sous le Grand Lac, à Grand-Lac, inscrite au titre des monuments historiques en 1981[59].
-
L'église Saint-Eutrope. -
Le château de la Roque. -
L'entrée de la grotte de Bernifal. -
Cabanes en pierre sèche au lieu-dit Boyer. -
Maison en pierre au lieu-dit Boyer. -
Pigeonnier dans le bourg.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Christophe de Beaumont (1703-1781), archevêque de Paris, né à Meyrals au château de la Roque.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | Écartelé : au 1er d'argent à la hache d'armes de sable posée en bande, emmanchée d'or, les extrémités du manche de gueules, au 2e de gueules à la cabane de pierres sèches d'or, couverte d'argent, au 3e de gueules au château du lieu (château de la Roque des Péagers) d'or essoré d'argent et ajouré de sable, au 4e d'argent à la représentation préhistorique de mammouth de sable ; à la croix cléchée pommetée de douze pièces d'or, remplie de gueules brochant en abîme sur la partition[60]. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Cinéma
[modifier | modifier le code]- Le village fut le décor du film Périgord noir (1988), avec Roland Giraud.
Distinctions culturelles
[modifier | modifier le code]Meyrals fait partie des communes ayant reçu en 2010 l’étoile verte espérantiste, distinction remise aux maires de communes recensant des locuteurs de la langue construite espéranto.
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jacqueline Jouanel, Histoire de Meyrals, des origines à la Révolution, édition Récéad, 2007.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Dordogne (département)
- Périgord
- Liste des communes de la Dordogne
- Liste des châteaux de la Dordogne
- Sentier de grande randonnée 36
- Sentier de grande randonnée 64
Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[14],[15]
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Meyrals » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- [PDF] Arrêté fixant la liste des communes rurales 2023, Recueil des actes administratifs normal no 4, Préfecture de la Dordogne, , p. 126-140.
- Aire d'attraction des villes 2020 de Sarlat-la-Canéda (233), Insee, consulté le .
- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de Meyrals » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Meyrals », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
- « Notice associée à la feuille no 807 - Le Bugue de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
- « Notice associée à la feuille no 808 - Sarlat-la-Canéda de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Périgord noir », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Meyrals », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Meyrals », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « la Petite Beune »
- « SAGE Dordogne amont », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « SAGE Vézère-Corrèze », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Meyrals et Pays de Belvès », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Belves » (commune de Pays de Belvès) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Belves » (commune de Pays de Belvès) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Meyrals », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
- « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Le nom occitan des communes du Périgord - Mairal sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 5 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 4 novembre 2020.
- Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 22 août 2014.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Boris Rebeyrotte, « Les épouvantails font leur show », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 16b.
- Dossier complet - Commune de Meyrals (24268) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 1er décembre 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Meyrals (24268) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 1er décembre 2018.
- « Église Saint-Eutrope », notice no PA24000062, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château de la Roque », notice no PA00082643, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 novembre 2010.
- « Grotte de Bernifal », notice no PA00082644, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Grotte préhistorique du Bison », notice no PA24000049, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Alain Roussot, « La grotte du Bison commune de Meyrals (Dordogne). Une nouvelle main peinte », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1970, tome 97, 1re livraison, p. 46-51 (lire en ligne).
- « Grotte dite Sous le Grand Lac », notice no PA00082645, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « 24268 Meyrals (Dordogne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).