Moutonneau
Moutonneau | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Confolens | ||||
Intercommunalité | CC Cœur de Charente | ||||
Maire Mandat |
Céline Bouysset 2023-2026 |
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Code postal | 16460 | ||||
Code commune | 16238 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Multonelliens | ||||
Population municipale |
111 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 26 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 54′ 29″ nord, 0° 14′ 17″ est | ||||
Altitude | Min. 61 m Max. 119 m |
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Superficie | 4,22 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Boixe-et-Manslois | ||||
Législatives | 3e circonscription de la Charente | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Moutonneau est une commune française, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Moutonneau est une petite commune du Nord-Charente située entre Mansle et Ruffec, dans la vallée de la Charente.
Moutonneau est à 6 km au nord-ouest de Mansle, 14 km au sud de Ruffec et 29 km au nord d'Angoulême[1].
La commune fait partie de la zone d'emploi d'Angoulème et au bassin de vie de Mansle-les-Fontaines, et n'est rattachée à aucune aire d'attraction des villes[I 1].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Aunac, Bayers, Fontenille, Lichères et Aunac-sur-Charente.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 4,22 km2 ; son altitude varie de 61 à 119 mètres[2].
Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique du Bassin aquitain, comme tout le Nord-Charente. Plus particulièrement, le Callovien occupe la surface communale. On trouve aussi le début de l'Oxfordien sur la limite ouest. Des grèzes ou groies du Quaternaire couvrent les combes à l'ouest du bourg. La vallée de la Charente, à l'est, est couverte par des alluvions dont les plus anciennes ont formé une basse terrasse à l'est du bourg compris[3],[4],[5].
Le territoire communal est allongé d'est en ouest. La moitié orientale est comprise dans l'intérieur d'un méandre de la Charente, et le relief descend doucement vers l'est, depuis des bas plateaux creusés d'une combe. Le point culminant de la commune est à une altitude de 119 m, situé sur la limite ouest. Le point le plus bas est à 61 m, situé le long de la Charente en limite sud. Le bourg, situé sur le versant du méandre exposé au sud, est à 75 m d'altitude[6].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7].
Elle est limitée par un méandre de la Charente[8] et drainée par le Bief du Coteau, qui constituent un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[9],[Carte 1].
La Charente borde la commune à l'est, qui est donc sur sa rive droite.
Elle se divise en bras délimitant des îles, comme l'Île de Moutonneau au pied du bourg, ou l'île Orbe et les Chambons au nord.
Au pied du bourg, on trouve aussi deux petites sources : la Font Saint-Vivien et la Font Penelle[6].
Gestion des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].
Climat
[modifier | modifier le code]Comme dans la plus grande partie du département, le climat est océanique aquitain.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Moutonneau est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[I 2] et hors attraction des villes[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (86,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64 %), prairies (16,7 %), forêts (13,1 %), zones urbanisées (6,2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Lieux-dits, hameaux et écarts
[modifier | modifier le code]La commune ne comporte aucun hameau et tout l'habitat est groupé autour du bourg[6].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 64, alors qu'il était de 71 en 2015 et de 61 en 2010[I 3].
Parmi ces logements, 82,9 % étaient des résidences principales, 14 % des résidences secondaires et 3,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 4].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Moutonneau en 2020 en comparaison avec celle de la Charente et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (14 %) supérieure à celle du département (6,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 80,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85,7 % en 2015), contre 66,9 % pour la Charente et 57,5 pour la France entière[I 5].
Typologie | Moutonneau[I 3] | Charente[I 6] | France entière[I 7] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 82,9 | 83,1 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 14 | 6,3 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 3,1 | 10,6 | 8,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La RN 10 entre Angoulême et Poitiers passe en limite de son territoire à l'ouest, à 3,5 km du bourg. La D 56 qui longe la rive droite de la Charente traverse la commune du nord au sud, et le bourg en retrait est desservi par la RD 336[6].
La station de chemin de fer la plus proche est la gare de Luxé à 10 km, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Poitiers et Bordeaux.
Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Moutonneau est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Charente. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999 et 2013[18],[16].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 57,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 69 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 19 sont en aléa moyen ou fort, soit 28 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[21].
La commune est en outre située en aval du barrage de Mas Chaban, un ouvrage de classe A[Note 1]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[23].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Les formes anciennes sont Mustonello en 1309, Mutonello[24].
Le nom de Moutonneau est un diminutif en -ello de celui de Mouton, dont l'origine remonterait à un nom de personne gaulois Multo- (dont dérive aussi le français « mouton »)[25].
Histoire
[modifier | modifier le code]L'histoire de la paroisse de Moutonneau est liée à celle de sa voisine, Mouton.
Temps modernes
[modifier | modifier le code]Au bourg de Moutonneau, l'ancien logis du XVIe siècle était le siège d'une seigneurie dépendant de la baronnie de Verteuil.
Au XVIIe siècle, cette seigneurie était la propriété de la famille Jay, qui possédait également le fief de Puypatrot, dans la paroisse de Taizé-Aizie. Au XVIIIe siècle, Moutonneau passa par mariage à la famille d'Esparbès de Lussan.
Les plus anciens registres paroissiaux remontent à 1681, mais comportent de nombreuses lacunes[26].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Les terres qui dépendaient du château de Moutonneau étaient assez étendues et ne furent morcelées et mises en vente qu'en 1875.
Au début du XXe siècle tournait encore sur la Charente un moulin à blé, qui était autrefois le moulin banal de la paroisse et qui dépendait du logis seigneurial.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement d'Angoulême du département de la Charente[I 1].
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Mansle[2]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Boixe-et-Manslois[I 1]
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de la Charente.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Moutonneau était membre de la communauté de communes du Pays Manslois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1994 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Cœur de Charente, dont est désormais membre la commune[I 1].
Liste des maires
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Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Espaces publics
[modifier | modifier le code]Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[34].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].
En 2021, la commune comptait 111 habitants[Note 2], en évolution de +3,74 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 40,9 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 61 hommes pour 55 femmes, soit un taux de 52,59 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[40].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église est accessible par le cimetière, dans le bourg.
- Le château de Moutonneau est composé d'un vaste corps de logis flanqué de deux tours rondes coiffées de poivrières. La façade présente une tour polygonale avec une porte à décor flamboyant. D'autres bâtiments plus récents et les restes du donjon du XIVe siècle complètent cet ensemble[41].
-
L'église vue de la mairie.
-
Façade de l'église.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Catillus Carol, « Moutonneau », (consulté le )
- « Dossier complet : Commune de Moutonneau (16238) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, (consulté le ).
- « Moutonneau » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[22].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Moutonneau » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- « Code Officiel Géographique au 1er janvier 2024 », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres clés - Logement en 2020 à Moutonneau » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Moutonneau - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Moutonneau - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la Charente » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Carte du BRGM sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ruffec », sur Infoterre, (consulté le ).
- Carte IGN sous Géoportail
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
- Thierry Cordeboeuf, « Un jour, un village: Moutonneau, blotti au bord de l’eau : Moutonneau est un gros bourg de charme niché dans un méandre de la Charente, entre Lichères et Aunac. Un village secret, à l’écart de tout, qui cache un très joli patrimoine. Deux fontaines, un château, un cimetière carolingien. Et de belles balades romantiques », Charente libre, (lire en ligne , consulté le ).
- « Fiche communale de Moutonneau », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
- « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Moutonneau », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Moutonneau », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 223,283
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 485.
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 258
- « Les maires de Moutonneau », sur francegenweb.org (consulté le ).
- Thierry Cordeboeuf, « Un ingénieur en chef à la tête de Moutonneau : Jean-Yves Beau est le nouveau maire de la commune. L’ingénieur a notamment travaillé sur la ligne LGV. Il veut animer le village et valoriser son patrimoine », Charente libre, (lire en ligne , consulté le ).
- Céline Aucher, « Moutonneau : Jean-Yves Beau jette son chapeau de maire : Élu en 2020, Jean-Yves Beau vient de démissionner du poste de maire de Moutonneau, déplorant «une ambiance délétère de bac à sable». Une démission suivie de celle du conseiller municipal Albert-Alexis Galland », Charente libre, (lire en ligne , consulté le ).
- Céline Aucher, « Moutonneau rappelle ses électeurs aux urnes : Les habitants de Moutonneau devront revoter les dimanches 5 et 12 septembre. Des élections destinées à pourvoir les quatre sièges vacants. Après trois démissions et des querelles en coulisses », Charente libre, (lire en ligne, consulté le ).
- « Marc Naffrichoux est le nouveau maire de Moutonneau : Il succède comme prévu à Jean-Yves Beau, démissionnaire. », Charente libre, (lire en ligne , consulté le ).
- Julien Prigent, « A Moutonneau, les maires se suivent et démissionnent : Marc Naffrichoux, le maire de Moutonneau, 115 habitants, vient de démissionner. Son prédécesseur avait fait de même en mai 2022. Illustration de la difficulté à administrer de petites communes », Charente libre, (lire en ligne , consulté le ).
- « Moutonneau : Céline Bouysset a été élue maire », Charente libre, (lire en ligne , consulté le ).
- Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Moutonneau (16238) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
- Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne), p. 399