Aller au contenu

Nauroy

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Nauroy
Nauroy
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Saint-Quentin
Intercommunalité Communauté de communes du Pays du Vermandois
Maire
Mandat
Jean-Jacques Froment
2020-2026
Code postal 02420
Code commune 02539
Démographie
Gentilé Nauroisien(ne)s
Population
municipale
686 hab. (2021 en évolution de −4,85 % par rapport à 2015)
Densité 109 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 57′ 15″ nord, 3° 15′ 21″ est
Altitude Min. 93 m
Max. 152 m
Superficie 6,27 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Quentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bohain-en-Vermandois
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Nauroy
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Nauroy
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Voir sur la carte topographique de l'Aisne
Nauroy
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Nauroy

Nauroy est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Géographie

[modifier | modifier le code]
Représentations cartographiques de la commune
Carte
La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]
Communes limitrophes de Nauroy
Estrées
Bellicourt Nauroy Joncourt
Bellenglise Magny-la-Fosse

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Baraque[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Nauroy[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Haute Somme ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 798 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Haute Somme est constitué d'un réseau hydrographique complexe de cours d'eau, de marais, d'étangs et de canaux. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[1].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 751 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Épehy à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 752,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Nauroy est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,4 %), zones urbanisées (6,6 %)[12].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le village apparaît pour la première fois au XIIe siècle sous le nom de Nogaridum. L'appellation variera ensuite de manières différentes en fonction des transcriptions latines : Nouroi, Villa de Noeroi, Noueroi, Nourroi, Norroir, Noroy, Saint-Léger de Noroy, Nouroir sur la carte de Cassini vers 1750[13].

De l'oïl *noerei, *noeray, *noeroi « ensemble de noyers », qui a dû exister à côté de la variante féminine noeroie[14].

Carte de Cassini du secteur
(vers 1750).
Dessin de l'église de Nauroy par Joachim Malézieux en 1874.
Carte postale du village avant la guerre 14.

Religion : le protestantisme

En 1691, alors que la France connaît les rigueurs de la révocation de l'édit de Nantes (1685), le village, ainsi que six autres localités environnantes (Hargicourt, Jeancourt, Templeux-le-Guérard, Lempire, Vendelles et Montbrehain), voit une partie de ses habitants se convertir au protestantisme à la suite des visites du prédicant itinérant Gardien Givry. Les prédications clandestines ont lieu au lieu-dit la Boîte à Cailloux, vallon isolé situé sur le terroir d'Hesbécourt[15]. Une communauté protestante restera dès lors implantée dans le village. Le temple est aujourd'hui désaffecté.

Carte de Cassini

Sur la carte de Cassini ci-contre datant du XVIIIe siècle, Nauroy est une paroisse. Un moulin à vent en bois existait au sud vers Étricourt. Étricourt (Ostricourt en 1158 dans un cartulaire de l'abbaye du Mont-Saint-Martin puis Estricourt et Étrecourt) était au Moyen Âge plus important que Nauroy avant d'être un hameau au XVIIIe siècle et une simple ferme aujourd'hui[16].
Joachim Malézieux (1851-1906) a écrit en 1874 dans son livre "Promenades dans le Vermandois " un historique sur Nauroy et Étricourt consultable sur le site de la Bibliothèque Nationale[17].

En 1875, une sucrerie propriété de Gondreron et Cie fonctionne à Etricourt[18].

La guerre de 1914-1918
Le 28 août 1914, moins d'un mois après la déclaration de guerre, Nauroy voit l'arrivée des premiers Allemands[19] après la retraite de l'armée française.
Pendant toute, le village se trouve en arrière du front, qui est stabilisé à une vingtaine de kilomètres à l'ouest, vers Péronne. Pendant cette période, les habitants connaissent la dure loi des occupants. Des arrêtés de la kommandantur obligent, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, la population à fournir sous peine de sanctions : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien. Ce n'est que début octobre 1918 que le village sera libéré par les troupes britanniques après de violents combats et des bombardements qui occasionneront de nombreux dégâts aux constructions.

Après l'armistice, nombre d'habitants ne reviennent pas s'installer dans la commune, mais, grâce aux indemnités pour dommages de guerre, commencent une nouvelle vie en d'autres lieux. Pour les autres débute une longue période de plus de dix ans de reconstruction des habitations (maisons provisoires), des fermes, des bâtiments publics, des routes. De 1 199 habitants en 1911, Nauroy n'en comptait plus que 576 en 1921, soit moins de la moitié.

Le 17 octobre 1920, vu les souffrances endurées par la population pendant les trois années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune se voit décerner la Croix de guerre 1914-1918[20]. Nauroy fait partie des communes officiellement destinée à "ne pas être reconstituée"[21] mais, contrairement à Hurlus ou Moronvilliers, elle ne sera pas supprimée.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Découpage territorial

[modifier | modifier le code]

La commune de Nauroy est membre de la communauté de communes du Pays du Vermandois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Bellicourt. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[22].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Quentin, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[9]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Bohain-en-Vermandois pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[9], et de la deuxième circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[23].

Administration municipale

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
maire en 1968 ? André Vatin PCF Agent SNCF, suppléant du député Daniel Le Meur (1973-1978)
mars 2001 mars 2014 Jean Harnoux[24] PCF  
mars 2014[25] En cours
(au 6 juin 2020)
Jean-Jacques Froment SE Employé
Réélu pour le mandat 2020-2026[26]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

En 2021, la commune comptait 686 habitants[Note 3], en évolution de −4,85 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9008381 0111 0351 1711 2411 2761 3001 319
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3311 3831 3291 3041 2681 1801 1971 1681 220
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2441 2021 199576796736733606638
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
663666683685728681683683714
2017 2021 - - - - - - -
703686-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • Église Saint-Léger du XVe siècle grandement endommagée pendant la Grande Guerre et reconstruite dans un style néo-roman par l'architecte M. Bonnemaison et l'entrepreneur L. Vatin en 1926. Les baies sont ornées de verrières de la maison Bottu datant de 1926.
  • Temple protestant[31] construit en 1867, rue Bernard Palissy : le temple a servi au culte protestant pendant plus d'un siècle[32] puis a porté le nom d'église Saint-Louis de culte catholique gallican[33], jusqu'en juin 2015. Actuellement en restauration, il abrite des expositions temporaires d'art contemporain et un atelier de céramique permanent. Il est ouvert au public lors des journées du patrimoine[34].
  • Monument aux morts.
  • Au cimetière, tombe de guerre de la Commonwealth War Graves Commission.
  • Calvaire.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Désiré François Laugée (1823-1896), peintre et poète, maire de Nauroy dans les années 1880.
  • Georges Laugée (1853-1937), artiste peintre, fils du précédent, situa à Nauroy une part de son œuvre dédiée à la vie des paysans aux champs. Sa fille Désirée Françoise se maria à Nauroy le 18 juillet 1914 avec le professeur Edmond Eggli (de) (1881-1956).
  • Maurice Vernes (1845-1923), théologien français, né à Nauroy

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « SAGE Haute Somme », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Nauroy et Épehy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Epehy_sapc » (commune d'Épehy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Epehy_sapc » (commune d'Épehy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Quentin », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques » Accès libre, sur Gallica, (consulté le ).
  14. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 1325
  15. Louis Rossier, Histoire des Protestants de Picardie, Grassart, Paris, 1861, p. 267.
  16. « Promenades dans le Vermandois Par J. Malézieux » Accès libre, sur Gallica, (consulté le ).
  17. « Promenades dans le Vermandois Par J. Malézieux » Accès libre, sur Gallica, (consulté le ).
  18. « Almanach-annuaire de la ville, de l'arrondissement de Saint-Quentin et du département de l'Aisne » Accès libre, sur Gallica, (consulté le ).
  19. « Cartographie 1914-1918 - Carte des positions au 28 aout 1914 », sur carto1418.fr (consulté le ).
  20. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
  21. Le Petit journal illustré, s.n., (lire en ligne), p. 212
  22. « communauté de communes du Pays du Vermandois - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  24. Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
  25. « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le ).
  26. « Jean-Jacques Froment entame un nouveau mandat à Nauroy avec une équipe un peu changée », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jean-Louis Caire est le nouveau premier adjoint de Jean-Jacques Froment. Il succède à Romain Gajenski ».
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Temple protestant
  32. Eglise Saint Louis Nauroy sur journees-du-patrimoine.com
  33. culte Catholique Gallican
  34. journées du patrimoine.
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Nauroy » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :