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Perrecy-les-Forges

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Perrecy-les-Forges
Perrecy-les-Forges
L'église paroissiale.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Autun
Intercommunalité Communauté urbaine Le Creusot Montceau-lès-Mines
Maire
Mandat
Roland Barnet
2020-2026
Code postal 71420
Code commune 71346
Démographie
Gentilé Perrecycois(e)
Population
municipale
1 547 hab. (2021 en évolution de −6,81 % par rapport à 2015)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 36′ 56″ nord, 4° 12′ 56″ est
Altitude Min. 264 m
Max. 353 m
Superficie 33,82 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Montceau-les-Mines
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Vallier (Saône-et-Loire)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Perrecy-les-Forges
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Perrecy-les-Forges
Liens
Site web perrecy-les-forges.fr

Perrecy-les-Forges est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

La commune est située au cœur d'un important bassin houiller exploité dès le Moyen Âge, mais de façon industrielle à partir du XIXe siècle et ce jusqu'en 2000, permettant l'essor de l'industrie sidérurgique et mécanique dans la région.

Géographie

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Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap.
Carte topographique.

Communes limitrophes

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La commune repose sur le bassin houiller de Blanzy daté du Stéphanien (daté entre -307 et -299 millions d'années)[1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 880 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Guiche », sur la commune de La Guiche à 20 km à vol d'oiseau[4], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 963,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −19,5 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Perrecy-les-Forges est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montceau-les-Mines, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (64,5 %), forêts (27,7 %), zones urbanisées (5,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

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Villages, hameaux, lieux-dits et écarts

Le nom de la localité est attesté sous les formes Monasterium Parriciaci en 1108, Prior de Parreceyo en 1275 (cartulaire église d’Autun, I, 190), Garda de Parreciaco en 1279, Haymonus de Perreciaco en 1299 (cartulaire église d’Autun, II, 177), Preciacum au XIVe siècle (Longnon, Pouillés, p. 116), Perrecy en 1383 et 1384, Parrecy en 1569 (Archives nationales, G 8 1388, no 247), Perrecy les Forges en 1757, Perrecy en 1790 (Archives nationales D IV bis 89), Perrecy-les-Forges en 1801[15].

Au IXe siècle, dans le testament du comte Ecchard de Mâcon, fils de Childebrand III, on apprend que ce dernier possède une villa à Perrecy, qui lui vient de Childebrand Ier. Cette seigneurie a fait en 874, l'objet d'un conflit jugé par Adalard entre Ecchard et saint Vulfade (866-876), archevêque de Bourges[16],[17].

Des forges ont fonctionné de 1634 à 1840.

1804 : Perrecy-les-Forges est l'une des premières communes de Saône-et-Loire à être cadastrée, conformément aux dispositions de l’arrêté du 12 brumaire an XI établissant le premier système de cadastre dit « par masse de culture » (il s’agissait d’établir la nature des cultures présentes sur le territoire des communes sans introduire toutefois de découpage entre les parcelles, l’administration se chargeant de faire coïncider les déclarations des propriétaires et les superficies concernées)[Note 3].

L'extraction de la houille a duré jusque dans les années 1930[1],[18],[19],[20].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Résultats de l'élection municipale du à Perrecy-les-Forges[21]
Tête de liste Liste Premier tour Sièges
Voix % CM CC
Claudius Michel * DVD 583 64,49 16 1
Jean-Paul Baudin SE 321 35,50 3
Inscrits 1 249 100,00
Abstentions 304 24,34
Votants 945 75,66
Blancs et nuls 41 4,34
Exprimés 904 95,66
* Liste du maire sortant

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1712 1738 Thomas Saulnier   Avocat à la Cour
1738 1779 Jean Busnel   Notaire
1779 1790 Benoit de Gouvenain   Lieutenant de justice
1790 1791 Claude-François Maire    
1791 1792 Jean-Baptiste Trahand   Lieutenant Garde Nationale
1792 1793 Benoit de Gouvenain   Lieutenant de justice
1793 1794 Jean-Louis Buchon   Armurier
1794 1795 Jean-Baptiste Trahand   Lieutenant de Garde nationale
1795 1796 Fiacre Cuzin   Marchand
1796 1800 Louis Trahand   Fermier
1800 1815 François Favre   Notaire
1815 1816 Jean-Charles Favre    
1816 1826 Benoit Devillard   Géomètre
1826 1848 Michel Auguste Favre    
1848 1870 René Doeuf    
1870 1874 Jean-Baptiste Bouillin    
1874 1876 Edmond de Gommegnier    
1876 1877 Jean-Baptiste Bouillin    
1877 1878 René Gonnot    
1878 1879 Jean-Baptiste Bouillin   Notaire
1879 1904 Jean Ducarouge Républicain Marchand de vin
1904 1908 René Chasserot   Quincallier
1908 1919 Jacques Chapuis   Boucher
1919 1925 Pierre Blanc   Mercier et cafetier
1925 1938 Jean-Marie Lagrost   Délégué mineur
1938 1943 Louis Barle   Mineur
1943 1945 Pas de maire officiel    
1945 1947 Denis Furcy   Tailleur d'habits
1947 1953 Charles Douheret   Mineur
1953 novembre 1960 Louis Perrier   Cultivateur
1961 mars 1977 Rémi Satinet   Meunier
mars 1977 juin 1995 Robert Delès PCF  
juin 1995 mars 2001 Paul Jacquet DVD  
mars 2001 2002 Jean Labarre DVD  
2002 mars 2008 Paul Gaumont DVD  
mars 2008 juin 2020 Claudius Michel DVD Facteur
juin 2020   Roland Barnet DVD  
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[23].

En 2021, la commune comptait 1 547 habitants[Note 4], en évolution de −6,81 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3541 3521 4121 7341 8182 0251 9811 9211 805
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7291 8091 8211 6941 7741 8931 9931 9141 956
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8341 8921 8711 7031 7821 7181 5101 6012 014
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
2 1692 1462 1752 2052 0231 8231 7461 7071 726
2014 2019 2021 - - - - - -
1 6691 5681 547------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Église.
Une sculpture du porche roman.
Bénédictin de la réforme de Perrecy - (Gosselin - 1718 - Histoire Des Ordres Monastiques).

Lieux et monuments

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Église Saint-Pierre-et-Saint-Benoît

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Le prieuré Saint-Pierre-et-Saint-Benoît de Perrecy-les-Forges dépendant de l'abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire, fut institué en 876 par le testament du comte Eccard II, seigneur de Perrecy, mais aussi comte de Mâcon, Chalon, Autun etc. Celui-ci, proche de sa fin, sans descendance, veut effacer le doute sur la légitimité de sa possession de Perrecy, contestée de longue date par l'évêché de Bourges. Eccard II donne donc Perrecy au monastère de Saint-Benoît-sur-Loire, où il avait fait ses études, pour fournir à ce dernier un site propice à l'installation d'un monastère de repli, au milieu des terres, dans le cas d'une attaque viking sur la Loire. Les bénédictins de Saint-Benoît-sur-Loire s'installent immédiatement et construisent un édifice imposant.

L'église actuelle est en effet construite par eux entre 1020 et 1030 environ[25], et ne date donc pas de leur installation directe. Cette église est conservée presque d'un bout à l'autre : seule l'extrémité occidentale (dernière travée de la nef et avant-nef) constitue une reprise du XIIe siècle. Le plan de l'église primitive est largement conservé : il ne manque actuellement en élévation que le bas-côté nord (dont il ne reste qu'un petit fragment) et l'extrémité du croisillon sud du transept, ainsi que le haut vaisseau du chœur.

En élévation, il subsiste donc de la construction initiale (début du XIe siècle) :

  • la totalité du mur sud de la nef, très déversé ;
  • la totalité de la croisée du transept, jusqu'à la coupole surplombant la tour-lanterne ;
  • les murs du chœur avec ses deux travées de bas-côtés ;
  • la base de l'abside polygonale[26].

Tous ces éléments sont construits en maçonnerie de petit moellon carré, très caractéristique du XIe siècle et bien distinct des autres parties. La sculpture manque presque complètement : les seuls chapiteaux sont ceux des baies géminées formant claire-voie intérieure au-dessus des grands arcs de la croisée. Seules des impostes moulurées, ayant servi d'appui pour les cintres, viennent animer la nudité des murs, lesquels ne comportent aucune lésène ni bandeau. Cette muralité semble faite pour recevoir des peintures, dont la prospection reste à faire.

Cet édifice, un très bel exemple d'architecture religieuse des XIe et XIIe siècles, a naturellement subi de nombreuses réparations au cours de sa longue histoire. On notera :

  • vers 1095, le voûtement ou le re-voûtement du croisillon nord du transept, en voûte d'arêtes, avec renforcement de la structure par des contreforts intérieurs (ronds) et extérieurs (aux angles, mais non diagonaux) ;
  • vers 1120, un agrandissement ou reconstruction spectaculaire : allongement de la nef et construction entièrement neuve, en grande partie en pierre de taille de fort appareil, d'une avant-nef à deux niveaux richement ornés, et surmonté d'une tour-beffroi à deux niveaux également ;
  • au XVe siècle, une reconstruction du chœur, également en pierre de taille, avec d'immenses baies en lancette à remplages ; le remplacement du cloître, adossé au bas-côté sud de la nef, par un cloître voûté d'ogives, dont seuls les culs-de-lampe subsistent.

Le mur nord de la nef a été presque entièrement reconstruit, à une date indéterminée de l'époque gothique, sur l'emprise de la grande arcade nord, disparue avec le bas-côté nord presque entier.

À l'initiative du père Laborier, curé de Perrecy de 1941 à 1949, le chevet de l'église est orné depuis 1946 d'un vitrail à la gloire de saint Benoît, patron de l'église[27].

La tour lanterne est typique romane : elle est montée sur trompes et s'éloigne donc des modèles carolingiens, tels que la chapelle palatine d'Aix-la-Chapelle, en plan octogonal et couronnée en arêtes. Ses dimensions sont considérables pour l'époque (hauteur : 18 mètres). Son état de conservation est exceptionnel.

  • Tour du château de Versigny
  • Château de Commerson
  • Château de Bellevue
  • Maisons anciennes
  • Forges, mines de charbon, carrières
  • Musée municipal
  • Vallée de l'Oudrache

Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Perrecy-les-Forges et son prieuré, article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » no 9 (), p. 3-6.

Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. La démarche était expérimentale : 1800 communes avaient été retenues pour l’ensemble du territoire national. Tirées au sort, elles devaient être au moins deux par arrondissement et pas plus de huit, théoriquement. Pour le département de Saône-et-Loire, il subsiste aujourd’hui une quarantaine de plans, disponibles sur le site internet des archives départementales, avec une répartition inégale d’un arrondissement à l’autre. Techniquement, le plan devait être réalisé à l'échelle du 1/5000e, après arpentage et triangulation. Le territoire de la commune était divisé en masses colorées figurant de la même manière les terrains portant des récoltes identiques. Source : Annie Bleton-Ruget, Un département à l'aube du XIXe siècle : images et représentations de la Saône-et-Loire, article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire », no 199-200 de novembre 2019, p. 18-24.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b [PDF] C. Raymond, Synthèse géologique sur les ressources charbonnières de la Bourgogne, BRGM, (lire en ligne).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Perrecy-les-Forges et La Guiche », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « La Guiche », sur la commune de La Guiche - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « La Guiche », sur la commune de La Guiche - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Perrecy-les-Forges ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montceau-les-Mines », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Cartes, plans et autres documents iconographiques », sur archives71.fr (consulté le ).
  15. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. Joseph Rosny, Histoire de la ville d'Autun..., Autun, 1802, Impr. Dejussieu rue de l'Arbalète. p. 162.
  17. Congrès archéologique de France, Société française d'archéologie, 1848, Volume 14
  18. « Concession de Perrecy-les-Forges », sur montceaulesmines.e-monsite.com, Histoire de Montceau (consulté le ).
  19. « Concession des Porrots », sur montceaulesmines.e-monsite.com, Histoire de Montceau (consulté le ).
  20. IRSP, Perrecy-les-Forges – Ligne des puits de Romagne et de Bonnin-Bonnot, (lire en ligne [PDF]).
  21. Résultats officiels pour la commune Perrecy-les-Forges
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Laule Ulrike, Bourgogne. Art, architecture et paysages, Ullmann, 2007, p. 220-222 ; voir aussi le site assez bien fait des Amis de l'église de Perrecy.
  26. Voir les absides polygonales de Saint-Vital de Ravenne, de la chapelle palatine d'Aix et de Cluny III.
  27. « L'église de Perrecy-les-Forges », article de Georges Chavron paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » no 116 de décembre 1998, pages 14 à 16.
  28. « André Blondel (1863-1938) », sur Montceau-news (consulté le ).