Perrecy-les-Forges
Perrecy-les-Forges | |||||
L'église paroissiale. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Saône-et-Loire | ||||
Arrondissement | Autun | ||||
Intercommunalité | Communauté urbaine Le Creusot Montceau-lès-Mines | ||||
Maire Mandat |
Roland Barnet 2020-2026 |
||||
Code postal | 71420 | ||||
Code commune | 71346 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Perrecycois(e) | ||||
Population municipale |
1 547 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 46 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 36′ 56″ nord, 4° 12′ 56″ est | ||||
Altitude | Min. 264 m Max. 353 m |
||||
Superficie | 33,82 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Montceau-les-Mines (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Vallier (Saône-et-Loire) | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
| |||||
Liens | |||||
Site web | perrecy-les-forges.fr | ||||
modifier |
Perrecy-les-Forges est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.
La commune est située au cœur d'un important bassin houiller exploité dès le Moyen Âge, mais de façon industrielle à partir du XIXe siècle et ce jusqu'en 2000, permettant l'essor de l'industrie sidérurgique et mécanique dans la région.
Géographie
[modifier | modifier le code]Accès
[modifier | modifier le code]Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Saint-Romain-sous-Versigny | Dompierre-sous-Sanvignes | Sanvignes-les-Mines | ||
Marly-sur-Arroux | N | Ciry-le-Noble | ||
O Perrecy-les-Forges E | ||||
S | ||||
Chassy | Oudry | Génelard |
Géologie
[modifier | modifier le code]La commune repose sur le bassin houiller de Blanzy daté du Stéphanien (daté entre -307 et -299 millions d'années)[1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 880 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Guiche », sur la commune de La Guiche à 20 km à vol d'oiseau[4], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 963,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,5 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Perrecy-les-Forges est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montceau-les-Mines, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (64,5 %), forêts (27,7 %), zones urbanisées (5,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]- Villages, hameaux, lieux-dits et écarts
- Champéroux, également appelé Champ-croux d'après les cadastres du XIXe siècle, auparavant considéré comme un village[14], est un hameau situé au sud de la commune et à l'est de l'Oudrache.
- Valtat, hameau dont le nom provient d'une famille ramenée de Bussières par la famille de Jaucourt possédant la seigneurie en partie[réf. souhaitée].
- Laboury, sur la route de Sanvignes.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Monasterium Parriciaci en 1108, Prior de Parreceyo en 1275 (cartulaire église d’Autun, I, 190), Garda de Parreciaco en 1279, Haymonus de Perreciaco en 1299 (cartulaire église d’Autun, II, 177), Preciacum au XIVe siècle (Longnon, Pouillés, p. 116), Perrecy en 1383 et 1384, Parrecy en 1569 (Archives nationales, G 8 1388, no 247), Perrecy les Forges en 1757, Perrecy en 1790 (Archives nationales D IV bis 89), Perrecy-les-Forges en 1801[15].
Histoire
[modifier | modifier le code]Au IXe siècle, dans le testament du comte Ecchard de Mâcon, fils de Childebrand III, on apprend que ce dernier possède une villa à Perrecy, qui lui vient de Childebrand Ier. Cette seigneurie a fait en 874, l'objet d'un conflit jugé par Adalard entre Ecchard et saint Vulfade (866-876), archevêque de Bourges[16],[17].
Des forges ont fonctionné de 1634 à 1840.
1804 : Perrecy-les-Forges est l'une des premières communes de Saône-et-Loire à être cadastrée, conformément aux dispositions de l’arrêté du 12 brumaire an XI établissant le premier système de cadastre dit « par masse de culture » (il s’agissait d’établir la nature des cultures présentes sur le territoire des communes sans introduire toutefois de découpage entre les parcelles, l’administration se chargeant de faire coïncider les déclarations des propriétaires et les superficies concernées)[Note 3].
L'extraction de la houille a duré jusque dans les années 1930[1],[18],[19],[20].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Tête de liste | Liste | Premier tour | Sièges | |||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | CM | CC | |||||
Claudius Michel * | DVD | 583 | 64,49 | 16 | 1 | |||
Jean-Paul Baudin | SE | 321 | 35,50 | 3 | ||||
Inscrits | 1 249 | 100,00 | ||||||
Abstentions | 304 | 24,34 | ||||||
Votants | 945 | 75,66 | ||||||
Blancs et nuls | 41 | 4,34 | ||||||
Exprimés | 904 | 95,66 | ||||||
* Liste du maire sortant |
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[23].
En 2021, la commune comptait 1 547 habitants[Note 4], en évolution de −6,81 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Église Saint-Pierre-et-Saint-Benoît
[modifier | modifier le code]Le prieuré Saint-Pierre-et-Saint-Benoît de Perrecy-les-Forges dépendant de l'abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire, fut institué en 876 par le testament du comte Eccard II, seigneur de Perrecy, mais aussi comte de Mâcon, Chalon, Autun etc. Celui-ci, proche de sa fin, sans descendance, veut effacer le doute sur la légitimité de sa possession de Perrecy, contestée de longue date par l'évêché de Bourges. Eccard II donne donc Perrecy au monastère de Saint-Benoît-sur-Loire, où il avait fait ses études, pour fournir à ce dernier un site propice à l'installation d'un monastère de repli, au milieu des terres, dans le cas d'une attaque viking sur la Loire. Les bénédictins de Saint-Benoît-sur-Loire s'installent immédiatement et construisent un édifice imposant.
L'église actuelle est en effet construite par eux entre 1020 et 1030 environ[25], et ne date donc pas de leur installation directe. Cette église est conservée presque d'un bout à l'autre : seule l'extrémité occidentale (dernière travée de la nef et avant-nef) constitue une reprise du XIIe siècle. Le plan de l'église primitive est largement conservé : il ne manque actuellement en élévation que le bas-côté nord (dont il ne reste qu'un petit fragment) et l'extrémité du croisillon sud du transept, ainsi que le haut vaisseau du chœur.
En élévation, il subsiste donc de la construction initiale (début du XIe siècle) :
- la totalité du mur sud de la nef, très déversé ;
- la totalité de la croisée du transept, jusqu'à la coupole surplombant la tour-lanterne ;
- les murs du chœur avec ses deux travées de bas-côtés ;
- la base de l'abside polygonale[26].
Tous ces éléments sont construits en maçonnerie de petit moellon carré, très caractéristique du XIe siècle et bien distinct des autres parties. La sculpture manque presque complètement : les seuls chapiteaux sont ceux des baies géminées formant claire-voie intérieure au-dessus des grands arcs de la croisée. Seules des impostes moulurées, ayant servi d'appui pour les cintres, viennent animer la nudité des murs, lesquels ne comportent aucune lésène ni bandeau. Cette muralité semble faite pour recevoir des peintures, dont la prospection reste à faire.
Cet édifice, un très bel exemple d'architecture religieuse des XIe et XIIe siècles, a naturellement subi de nombreuses réparations au cours de sa longue histoire. On notera :
- vers 1095, le voûtement ou le re-voûtement du croisillon nord du transept, en voûte d'arêtes, avec renforcement de la structure par des contreforts intérieurs (ronds) et extérieurs (aux angles, mais non diagonaux) ;
- vers 1120, un agrandissement ou reconstruction spectaculaire : allongement de la nef et construction entièrement neuve, en grande partie en pierre de taille de fort appareil, d'une avant-nef à deux niveaux richement ornés, et surmonté d'une tour-beffroi à deux niveaux également ;
- au XVe siècle, une reconstruction du chœur, également en pierre de taille, avec d'immenses baies en lancette à remplages ; le remplacement du cloître, adossé au bas-côté sud de la nef, par un cloître voûté d'ogives, dont seuls les culs-de-lampe subsistent.
Le mur nord de la nef a été presque entièrement reconstruit, à une date indéterminée de l'époque gothique, sur l'emprise de la grande arcade nord, disparue avec le bas-côté nord presque entier.
À l'initiative du père Laborier, curé de Perrecy de 1941 à 1949, le chevet de l'église est orné depuis 1946 d'un vitrail à la gloire de saint Benoît, patron de l'église[27].
La tour lanterne est typique romane : elle est montée sur trompes et s'éloigne donc des modèles carolingiens, tels que la chapelle palatine d'Aix-la-Chapelle, en plan octogonal et couronnée en arêtes. Ses dimensions sont considérables pour l'époque (hauteur : 18 mètres). Son état de conservation est exceptionnel.
Autres
[modifier | modifier le code]- Tour du château de Versigny
- Château de Commerson
- Château de Bellevue
- Maisons anciennes
- Forges, mines de charbon, carrières
- Musée municipal
- Vallée de l'Oudrache
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- André Blondel, fondateur du dispensaire Labaune en 1909[28].
- Josiane Bost, championne du monde de cyclisme sur route en 1977.
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Perrecy-les-Forges et son prieuré, article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » no 9 (), p. 3-6.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Perrecy-les-Forges sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- La démarche était expérimentale : 1800 communes avaient été retenues pour l’ensemble du territoire national. Tirées au sort, elles devaient être au moins deux par arrondissement et pas plus de huit, théoriquement. Pour le département de Saône-et-Loire, il subsiste aujourd’hui une quarantaine de plans, disponibles sur le site internet des archives départementales, avec une répartition inégale d’un arrondissement à l’autre. Techniquement, le plan devait être réalisé à l'échelle du 1/5000e, après arpentage et triangulation. Le territoire de la commune était divisé en masses colorées figurant de la même manière les terrains portant des récoltes identiques. Source : Annie Bleton-Ruget, Un département à l'aube du XIXe siècle : images et représentations de la Saône-et-Loire, article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire », no 199-200 de novembre 2019, p. 18-24.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- [PDF] C. Raymond, Synthèse géologique sur les ressources charbonnières de la Bourgogne, BRGM, (lire en ligne).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Perrecy-les-Forges et La Guiche », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « La Guiche », sur la commune de La Guiche - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « La Guiche », sur la commune de La Guiche - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Perrecy-les-Forges ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montceau-les-Mines », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Cartes, plans et autres documents iconographiques », sur archives71.fr (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Joseph Rosny, Histoire de la ville d'Autun..., Autun, 1802, Impr. Dejussieu rue de l'Arbalète. p. 162.
- Congrès archéologique de France, Société française d'archéologie, 1848, Volume 14
- « Concession de Perrecy-les-Forges », sur montceaulesmines.e-monsite.com, Histoire de Montceau (consulté le ).
- « Concession des Porrots », sur montceaulesmines.e-monsite.com, Histoire de Montceau (consulté le ).
- IRSP, Perrecy-les-Forges – Ligne des puits de Romagne et de Bonnin-Bonnot, (lire en ligne [PDF]).
- Résultats officiels pour la commune Perrecy-les-Forges
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Laule Ulrike, Bourgogne. Art, architecture et paysages, Ullmann, 2007, p. 220-222 ; voir aussi le site assez bien fait des Amis de l'église de Perrecy.
- Voir les absides polygonales de Saint-Vital de Ravenne, de la chapelle palatine d'Aix et de Cluny III.
- « L'église de Perrecy-les-Forges », article de Georges Chavron paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » no 116 de décembre 1998, pages 14 à 16.
- « André Blondel (1863-1938) », sur Montceau-news (consulté le ).