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Rochepaule

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Rochepaule
Rochepaule
Rochepaule, aspect du village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Tournon-sur-Rhône
Intercommunalité Communauté de communes Val'Eyrieux
Maire
Mandat
Jean-Marie Foutry
2020-2026
Code postal 07320
Code commune 07192
Démographie
Gentilé Rochepaulois, Rochepauloises
Population
municipale
238 hab. (2021 en évolution de −11,52 % par rapport à 2015)
Densité 7,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 04′ 39″ nord, 4° 27′ 23″ est
Altitude Min. 553 m
Max. 1 191 m
Superficie 33,34 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Haut-Eyrieux
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Rochepaule
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Rochepaule
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Rochepaule
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Rochepaule

Rochepaule est une commune française, située dans le département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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Situation et description

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Adhérente à la communauté de communes Val'Eyrieux dont le siège est situé au Cheylard, la petite commune de Rochepaule présente un aspect essentiellement rural, à l'instar de ses voisines dans un environnement de moyenne et basses montagnes.

Communes limitrophes

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Rochepaule est limitrophe de sept communes[1], toutes situées dans le département de l'Ardèche à l'exception de Saint-Bonnet-le-Froid (Haute-Loire). Elles sont réparties géographiquement de la manière suivante :

Une enclave de la commune de Saint-André-en-Vivarais se trouve entre les communes de Rochepaule, Saint-Bonnet-le-Froid et Saint-Pierre-sur-Doux.

Géologie et relief

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En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 168 mm, avec 9,6 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Lalouvesc à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 8,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 064,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Hydrographie

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Le territoire communal est traversé par le Doux, un affluent du Rhône en rive droite et qui prend sa source sur la commune de Saint-Bonnet-le-Froid.

Voies de communication

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Avant le XIXe siècle, la circulation à Rochepaule pouvait se faire qu’en empruntant des sentiers, étroits et escarpés, ils étaient accessibles aux mulets mais les chars ne pouvaient pas circuler. Ainsi les habitants vivaient en autarcie car il était difficile de rejoindre les autres villages. Au XVIIe siècle, de grands travaux pour restaurer les chemins furent entrepris dans le pays. Mais les guerres extérieures tels que la Révolution et celle du Premier Empire, ralentissent le processus de reconstruction. Malgré la politique de restauration, les grands travaux entrepris se faisaient principalement autour des grandes villes importantes laissant les villages isolés du reste du territoire. La construction des routes modernes arrivent dans le village qu’à la fin du XIXe siècle. Une première route qui reliait Rochepaule au village de Lalouvesc celle-ci permettait de rejoindre Annonay. Le périple pouvait se poursuivre puisque d’Annonay il était possible de rejoindre la Vallée du Rhône, ainsi qu’aller à Lyon ou Valence. La deuxième route qui a permis de désenclaver Rochepaule au cours du XIXe siècle était la départementale 314. En passant par Saint-André-en-Vivarais il était possible de rejoindre Le Puy et La Chaise-Dieu. Ces routes vont permettre d’ouvrir Rochepaule vers l’extérieur ainsi que de pouvoir circuler facilement et librement. [8]

Au , Rochepaule est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (77,1 %), prairies (13,1 %), zones agricoles hétérogènes (5,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,4 %)[13].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels

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Risques sismiques

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L'ensemble du territoire de la commune de Rochepaule est situé en zone de sismicité no 2 (sur une échelle de 5), comme la plupart des communes situées sur le plateau et la montagne ardéchoise, mais relativement proche de zone de sismicité no 3, située dans la partie orientale du département de l'Ardèche[14].

Terminologie des zones sismiques[15]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 2 Sismicité faible accélération = 1,1 m/s2

Autres risques

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Désertification

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Après la seconde guerre mondiale, les petits villages français comme celui de Rochepaule, voient leur nombre d’habitants diminuer pour se diriger vers les villes industrielles. En effet, la France, pays essentiellement agricole devient une nation industrielle après la guerre. A cette période, Rochepaule connaît le phénomène de «la désertification des campagnes». Pour ralentir ce mouvement de désertification, la commune de Rochepaule et le maire Alphonse Grand mettent en place de nombreux travaux d’aménagements. Notamment la modernisation des équipements communaux, l’amélioration des chemins existants, le désenclavement des fermes les plus éloignées ou encore l’installation d’eau sur l'évier. Ces aménagements permettent l’amélioration des conditions de vies des habitants mais pour autant les recensements continus à être en déclins. La majorité des départs étant liée par le même point commun, trouver une vie plus confortable et plus aisée dans les usines de la Vallée du Rhône.

Implantation de la Semelle moderne

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Dans les années 50, avant d’occuper le poste de maire, Alphonse Grand vendait du bois pour les mines de charbon de Saint-Étienne et pour l’usine la Semelle Moderne à Roman sur Isère en Drome. L’usine avait des difficultés de trésoreries car il lui manquait du personnel. Au contraire à Rochepaule les agriculteurs manquaient de travail. Ainsi Monsieur Grand pris l’initiative de proposer un arrangement avec le directeur de la Semelle Moderne. Le projet était de délocaliser l’entreprise de Roman sur Isère pour l’installer dans le village de Rochepaule, ce qui lui permettrait de relancer son économie. Le projet connaît des difficultés avant d’être complètement aboutit et installé. En 1958, l’usine ouvre enfin ses portes dans la commune de Rochepaule, assuré par la direction provisoire de monsieur Grand avant que son fils André lui succède. L’entreprise fut un succès, la clientèle basé à Roman s’ouvre à des plus grands marchés dans toute la France. Puis les semelles seront exportées hors des frontières françaises dans les années 90 notamment en Espagne et au Portugal. [16],[17].

Politique et administration

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Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 André Bergeron    
mars 2008 En cours
(au )
Jean-Marie Foutry[18],[19] SE Retraité de l'enseignement

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21].

En 2021, la commune comptait 238 habitants[Note 1], en évolution de −11,52 % par rapport à 2015 (Ardèche : +2,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 6501 3781 6721 7641 5431 6191 7531 9291 768
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6941 8101 8741 8471 9371 9792 0122 1082 009
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8871 8941 7591 4991 3771 3061 2841 045784
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
709589480464404341316308290
2014 2019 2021 - - - - - -
270242238------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Deux organes de presse écrite de niveau régional sont distribués dans la commune :

  • L'Hebdo de l'Ardèche, journal hebdomadaire français basé à Valence et diffusé à Privas depuis 1999. Il couvre l'actualité pour tout le département de l'Ardèche ;
  • Le Dauphiné libéré, journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition du Nord-Ardèche (Annonay - Le Cheylard).

La communauté catholique et l'église de Rochepaule (propriété de la commune) sont rattachées à la paroisse Saint Agrève en Vivarais qui compte huit autres communes. Cette paroisse dont le presytère (maison paroissiale) est située dans la commune de Saint-Agrève est, elle même, rattachée au diocèse de Viviers[24].

Culture et patrimoine

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Lieux et monuments

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Calvaire de Rochepaule.

Rochepaule est une commune internationalement réputée pour la richesse de sa myrmécofaune, avec plus de 60 différentes espèces de fourmis recensées (environ 0,46 % des espèces de fourmis connues[27],[28]) sur 34 km2 en seulement quelques années[29],[30].

Personnalités liées à la commune

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Reine Francon née à Rochepaule en 1770, et morte à Saint-Étienne (Loire) le 22 décembre 1842. A dirigé l'hospice de la Providence à Saint-Étienne.

Héraldique

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Rochepaule possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Institut national de l'information géographique et forestière (IGN), « Communes - Géoportail », sur geoportail.gouv.fr, (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Rochepaule et Lalouvesc », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Lalouvesc », sur la commune de Lalouvesc - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Lalouvesc », sur la commune de Lalouvesc - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. Henri Faure, Rochepaule son histoire et ses légendes "à l'abri de la Burle" Tom2, Frère des écoles chrétiennes, , page 100
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  10. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  14. Préfecture du Rhône, page sur les risques sismiques
  15. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  16. Henri Faure, Rochepaule son histoire et ses légendes "à l'abri de la Burle" Tom 2, Frère des écoles chrétiennes, , page 115 Tom 2
  17. « Fabriquer des semelles, un métier à part », sur hebdo-ardeche.fr (consulté le )
  18. « Liste des maires du département de l'Ardèche » [PDF], sur le site de la préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
  19. Liste des maires de l'Ardèche [PDF], Préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Site ardeche.catholique.fr, page sur la paroisse de Saint-Agrève en Vivarais.
  25. site de la paroisse Saint-Agrève en Vivarais
  26. Site hebdo-ardeche.fr, article « Rochepaule- Quand un jeune charpentier sauve le calvaire du village ».
  27. « fourmis.lenoir.pagesperso-oran… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  28. « Antbase.org », sur antbase.org (consulté le ).
  29. « Rochepaule myrmécofaune locale, liste des espèces de fourmis - », sur antarea.fr (consulté le ).
  30. http://fourmi-camponotusligniperdus.over-blog.com/pages/Liste_des_especes_de_fourmis_recensees_sur_la_commune_de_Rochepaule_Ardeche_07320-4466326.html