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Roger Souchal

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Roger Souchal
Fonctions
Député français

(3 ans et 24 jours)
Élection 12 mars 1967
Réélection 30 juin 1968
Circonscription 1re de Meurthe-et-Moselle
Législature IIIe et IVe (Cinquième République)
Groupe politique UD-Ve (1967-1968)
UDR (1968-1970)
Prédécesseur Christian Fouchet
Successeur Jean-Jacques Servan-Schreiber

(8 ans, 3 mois et 24 jours)
Élection 30 novembre 1958
Réélection 25 novembre 1962
Circonscription 1re de Meurthe-et-Moselle
Législature Ire et IIe (Cinquième République)
Groupe politique UNR (1958-1962)
UNR-UDT (1962-1967)
Prédécesseur Circonscription créée
Successeur Christian Fouchet
Maire de Soulosse-sous-Saint-Élophe

(24 ans)
Successeur Patrick Roger
Conseiller général de Meurthe-et-Moselle

(16 ans)
Circonscription Canton de Coussey
Prédécesseur Raymond Beigue
Successeur Claude Philippe
Biographie
Nom de naissance Roger Jean Gilbert Souchal
Date de naissance
Lieu de naissance Saint-Dié (Vosges)
Date de décès (à 87 ans)
Lieu de décès Vandœuvre-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle)
Nationalité Française
Parti politique UNR, UDR, RPR
Profession Avocat

Roger Souchal, né le à Saint-Dié et décédé le au CHU de Nancy[1],[2], est un résistant, avocat et homme politique français.

Marié, il a quatre enfants — dont l'un décède à seize ans, le , dans un accident de moto — et sept petits-enfants.

Il est membre du Sénat de la Communauté, et conseiller municipal de Nancy de 1959 à 1969.

Plus tard, de 1971 à 1995, il est maire de Soulosse-sous-Saint-Élophe, et, de 1985 à 2001, conseiller général du canton de Coussey.

Le , il est élu député pour la Première circonscription de Meurthe-et-Moselle avec le groupe UNR[3]. Réélu trois fois, il siège à l'Assemblée Nationale jusqu'à sa démission le pour son désaccord au sujet du tracé de l'autoroute A4 trop favorable à Metz et rentre alors en conflit avec Jean-Jacques Servan-Schreiber qui sera élu à sa place.

En 1973, il se représente en candidat indépendant dans la première circonscription de Meurthe-et-Moselle , mais sans l'investiture de la majorité présidentielle. Il accède au deuxième tour mais n'est pas élu.

Sous les couleurs du RPR, il est le candidat gaulliste aux élections législatives de 1978 dans la deuxième circonscription des Vosges (Saint-Dié). Devancé par le candidat UDF Lionel Stoléru, il n'accède pas au deuxième tour, qui voit la victoire du socialiste Christian Pierret.

Professionnellement, il plaide sa dernière affaire devant la cour d'assises d'Épinal, concernant des délibérations municipales, prétendument fausses, qu'il aurait prises dans les années 2000.

Il est président de l’amicale de Viombois et du Groupe mobile Alsace Vosges (GMA Vosges).

Références

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Liens externes

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