Saint-Nabor
Saint-Nabor | |
Une place du village. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Bas-Rhin |
Arrondissement | Molsheim |
Intercommunalité | Communauté de communes des Portes de Rosheim |
Maire Mandat |
Régis Muller 2020-2026 |
Code postal | 67530 |
Code commune | 67428 |
Démographie | |
Gentilé | Saint-Naborois (depuis 2010[1]) |
Population municipale |
505 hab. (2021 ) |
Densité | 267 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 26′ 46″ nord, 7° 25′ 28″ est |
Altitude | Min. 265 m Max. 630 m |
Superficie | 1,89 km2 |
Type | Bourg rural |
Unité urbaine | Bœrsch (banlieue) |
Aire d'attraction | Strasbourg (partie française) (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Molsheim |
Législatives | Sixième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | saint-nabor.fr |
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Saint-Nabor (Sàm Nàwer en alsacien) est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.
Les habitants sont nommés les Saint-Naborois(es)[2].
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Saint-Nabor est située au pied du mont Sainte-Odile, à environ 30 km au sud-ouest de Strasbourg. Le village fait partie du canton et de l'arrondissement de Molsheim. Saint-Nabor se situe sur la Route des Vins d'Alsace.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes :
- Ottrott, 1 km
- Barr, 5 km
- Bernardswiller 4 km
- Obernai, 7 km
- Mittelbergheim, 6 km
- Gertwiller, 6 km
- Goxwiller, 7 km
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Le village est situé à 342 mètres d'altitude.
Le site du massif des Vosges, inscrit au titre de la loi du , regroupe 26 communes du Scot situées à l’ouest de la RN et de la RD 422[3].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau le Darsbach[4],[Carte 1].
Le Darsbach, d'une longueur de 14 km, prend sa source dans la commune et se jette dans l'Andlau à Meistratzheim, après avoir traversé six communes[5].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de 1 °C)[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 868 mm, avec 9,8 jours de précipitations en janvier et 11,5 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Hohwald_sapc », sur la commune du Hohwald à 8 km à vol d'oiseau[8], est de 8,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 129,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 35,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −20,5 °C, atteinte le [Note 2],[9],[10].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Nabor est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bœrsch[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[14],[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[15]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16],[17].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (72,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (65,4 %), mines, décharges et chantiers (13,2 %), zones urbanisées (13,1 %), cultures permanentes (7 %), zones agricoles hétérogènes (1,2 %), prairies (0,1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Lieux-dits, hameaux et écarts
[modifier | modifier le code]- Kolisacker
- Niedermunster
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]Environnée par les communes de Ottrott, Bernardswiller, Heiligenstein et Andlau, Saint-Nabor se trouve à 21 km au nord-ouest de Sélestat, la grande ville la plus proche.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Les gares les plus proches se trouvent à Obernai, Barr et Goxwiller.
Voie cyclable
[modifier | modifier le code]Le village est également à proximité de la voie verte Rosheim-Ottrott
Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]La commune est située dans une zone de sismicité modérée[19],[20].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Durant la période de rattachement de l'Alsace-Lorraine à l'Empire allemand (1871-1918), le village est appelé Sankt Nabor, reprenant le nom qui a été le sien jusqu'à la conquête française au XVIIe siècle. Il est toujours utilisé en allemand et en alsacien.
Histoire
[modifier | modifier le code]Saint Nabor est le nom d'un soldat martyr nommé par corruption saint Avold en français et Santderver en allemand, dont le corps fut déposé en 764 dans l'abbatiale Saint-Nabor de Saint-Avold, une abbaye bénédictine, par saint Chrodegang, évêque de Metz[21].
Le village de Saint-Nabor apparait au VIIIe siècle, lorsque les reliques de saint Nabor sont transférées dans la région, depuis Rome par l'évêque de Metz, Chrodegang. En 1050, l'abbaye de Hohenbourg possède des biens dans la localité. Saint-Nabor appartient au couvent de Niedermunster, aujourd'hui ruiné. Vers 1648, le village est donné en gage aux Andlau, puis aux Landsberg en 1482, puis il est cédé pour un quart aux Uttenheim de Ramstein.
Avec la dissolution du couvent en 1543, le village passe sous la dépendance du chapitre de la cathédrale de Strasbourg qui reste propriétaire des lieux jusqu'à la Révolution. La paroisse de Saint-Nabor reste autonome jusqu'en 1666 et relève du chapitre rural du Bruderberg à Rosheim. Elle devient ensuite une filiale d'Ottrott-le-Haut. Christian Geyer était prévôt de Saint-Nabor en 1730 au mariage de sa fille Elisabeth avec Jacques Wach.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]Commune membre de la communauté de communes des Portes de Rosheim.
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Budget et fiscalité 2016
[modifier | modifier le code]En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[25] :
- total des produits de fonctionnement : 591 000 €, soit 1 215 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 540 000 €, soit 1 112 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 296 000 €, soit 610 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 275 000 €, soit 566 € par habitant.
- endettement : 673 000 €, soit 1 384 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 20,96 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 14,49 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 77,47 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0, % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : 26 617 €[26].
Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Établissements d'enseignements[27] :
- École primaire[28],
- Écoles maternelles à Ottrott, Heligenstein, Boersch,
- Collèges à Barr, Obernai,
- Lycées à Obernai, Barr.
Santé
[modifier | modifier le code]- Professionnels de santé à Ottrott, Bernardswiller, Boersch, Obernai[29].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].
En 2021, la commune comptait 505 habitants[Note 6], en évolution de +5,21 % par rapport à 2015 (Bas-Rhin : +3,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte catholique, communauté de paroisses du Mont Sainte Odile (BOERSCH – GRENDELBRUCH – KLINGENTHAL – MOLLKIRCH – OTTROTT – SAINT-NABOR), zone paroissiale Molsheim-Bruche, diocèse de Strasbourg[34].
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]- Agriculture et élevage[35].
Tourisme
[modifier | modifier le code]- Carrières d'Ottrott-Saint-Nabor. La communauté de communes des Portes de Rosheim a mené plusieurs études de faisabilité et de réaménagement pour la reconversion du site en parc paysager et botanique.
Commerces et services
[modifier | modifier le code]- Commerces et services : boulangerie et activités immobilières à Saint-Nabor et autres commerces et services à Rosheim, Boersch.
- Artisanat d'art.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Vestiges de l'abbaye de Niedermunster
[modifier | modifier le code]Le monastère de Niedermunster a été fondé vers 700 par sainte Odile pour accueillir les pèlerins qui ne pouvaient pas accéder à celui de Hohenbourg. Elle y construisit aussi une église qu'elle dédie à saint Martin et une maison pour l'accueil des pèlerins. Les deux monastères ont d'abord le même nom et partagent les revenus indivis. C'est sa nièce, Gundelinde qui sera la première abbesse de ce monastère. Au tout début du IXe siècle, Hugues III, comte de Tour et de la Haute Alsace, descendant d'Aldaric (père de sainte Odile) remplace l'établissement mérovingien par un ensemble monastique adaptée à la nouvelle liturgie romaine et à la règle bénédictine fraichement introduite dans l'empire carolingien. Avec son épouse Ava, il dote la nouvelle fondation de la croix miraculeuse, offerte par Charlemagne et apportée depuis la Bourgogne à dos de chameau jusqu'à Niedermunster, qui deviendra ainsi un lieu de pèlerinage fort réputé dans tout l'Occident chrétien.
Dès 1016, l'empereur Henri II accorde à l'abbaye de Niedermunster le droit d'élire librement l'abbesse et le libre choix de ses avoués chargés des affaires militaires et judiciaires… Il sépare les deux monastères (Hohenbourg et Nidermunster) et déclare Niedermunster abbaye impériale en lui accordant l'immunité. Le complexe monastique du XIIe siècle se compose alors de bâtiments claustraux, dominés par trois tours de l'église Sainte-Marie, d'un hospice pour pèlerins et des chapelles Saint-Nicolas et Saint-Jacques.
Dès son élection, au trône impérial en 1155, Frédéric Ier Barberousse se fait un devoir expiatoire de reconstruire les deux monastères, Niedermunster et Hohenbourg (mont Sainte-Odile) ruinés par son père Frédéric Le Borgne durant la Querelle des investitures (1075-1122). Il charge une de ses parentes, Relindis, abbesse augustine de Ratisbonne de reconstruite le monastère. À la mort de Relindis en 1167, Frédéric Barberousse nomme magister operis, Herrade à Hohenbourg et Edelindis à Niedermunster, les deux abbesses issues de la noble famille de Landsberg. La liturgie monastique, la prière perpétuelle, la gestion du pèlerinage et l'éducation des jeunes filles de la noblesse rythment jusqu'au début du XVe siècle le quotidien des chanoinesses de Niedermunster suivant la règle de saint Augustin.
Au cours du XVIe siècle, une succession malheureuse d’événements tragiques scelleront le destin de l'abbaye. En 1525, les paysans révoltés contre l'autorité seigneuriale du sud du Saint-Empire romain germanique investissent Niedermunster et y causent d'importants dégâts. La Réforme protestante et les idées luthériennes ont jeté le trouble dans les consciences et contribué à l'insurrection paysanne. En 1542, le feu détruit les bâtiments conventuels et l'évêque de Strasbourg, Érasme de Limbourg, avec l'accord du pape Pie V intègre le monastère à la mense épiscopale (patrimoine de l'évêque).
En 1545, la dispersion des chanoinesses, puis l'incendie de la collégiale en 1572 par la foudre ruinent définitivement l'abbaye et marquent la fin du pèlerinage de la Croix qui disparaîtra lors de la Révolution à Molsheim. Abandonnée, Niedermunster servira alors de carrière de pierres pour diverses constructions : les fortifications de Benfeld, l'église des Prémontrés du mont Sainte-Odile, le clocher de l'église d'Erstein, la banque Faulieb à Barr… jusqu'à son inscription sur la liste des Monuments historiques au milieu du XIXe siècle[36],[37].
Église Saint-Nabor (XIIe, XVIIIe et 1899)
[modifier | modifier le code]L'église paroissiale de Saint-Nabor est un édifice composite. La tour-cœur remonte au XIIe siècle et conserve une tête en relief, en façade caractéristique de la sculpture de l'époque. Un transept et un chœur d'entrée est alors transféré sous la tour[38]. La cloche est de 1812[39] et le mobilier de l'église date du début du XXe siècle.
Chapelle Saint-Nicolas (Niedermunster)
[modifier | modifier le code]Cette chapelle située à Niedermunster sert d'oratoire à l'hospice des pèlerins. Elle est composée d'une nef rectangulaire, couverte d'une voûte en berceau brisé, et d'une tour-chœur avec un toit à deux versants. Le premier étage du chœur est dédié à saint Martin, le second à saint Michel. Deux escaliers latéraux élevés contre les parois donnent accès à l'autel du haut, la balustrade qui les unit faisant office de tribune. L'édifice est entièrement restauré depuis 1848[40],[41].
Chapelle Saint-Jacques (Niedermunster)
[modifier | modifier le code]Située à mi-parcours et mi-hauteur entre Niedermunster et Hohenbourg, cette chapelle est élevée sur un tertre artificiel consolidé par une enceinte de pierres sèches. Elle comporte une nef rectangulaire à deux travées et un chœur carré couvert d'ogives. L'édifice est consacré en 1180 par l'évêque de Mantoue. Il n'en reste aujourd'hui que des ruines[42] ,[43].
Au XVIIe siècle, il existe dans la localité de Saint-Nabor des carrières de roches particulièrement dures, utilisées pour la construction des routes et à partir du XIXe siècle des voies ferrées[44].
Chapelle des morts
[modifier | modifier le code]Chapelle des Morts de 1730[45].
Tombe d'Ursula Zu Triebel (fin du XVe siècle)
[modifier | modifier le code]Fille du bailli de Rouffach, Ursula Zu Triebel est envoyée au couvent de Niedermunster avec sa sœur et élue abbesse à la mort de celle-ci. Sa tombe porte une crosse, signe d'autorité épiscopale, ainsi que des chevrons rappelant les armes de son père et une tête de pape coiffée de la tiare évoquant sa mère, une Bapts von Bolsenheim[46].
Dalle mèmoriale de Marguerite de Senin
[modifier | modifier le code]Marguerite de Senin est issue d'une famille faisant partie de la petite noblesse impériale. Abbesse à la collégiale de Niedermunster, elle meurt en 1370. Cette dalle funéraire représente sa mémoire, une religieuse en linceul, le suaire encore relevé, avec les mains jointes en prière[47],[48].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Nabor de Lodi
- Abbesses de l'abbaye Sainte-Marie de Niedermunster
Héraldique
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Les armes de Saint-Nabor se blasonnent ainsi : |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- L’abbaye de Niedermunster à Saint-Nabor : parcours d’un monument emblématique à travers les fonds du Service des patrimoines
- Remèdes et soins aux malades dans les monastères alsaciens du Moyen Âge (VIIIe au XIIe siècle), par Pierre Bachoffner, Revue d'Histoire de la Pharmacie Année 1975 224 pp. 329–339 : L'Abbaye de Niedermunster
- Dominique Toursel-Harster, Jean-Pierre Beck, Guy Bronner, Dictionnaire des monuments historiques d’Alsace, Strasbourg, La Nuée Bleue, , 663 p. (ISBN 2-7165-0250-1)Saint-Nabor, pp. 375 à 377
- L'abbaye Sainte-Marie de Niedermunster, l'autre abbaye de Sainte Odile
- La Chapelle Saint-Nicolas de Niedermunster
- Mystères, légendes et curiosités, sur www.lunetoile.com/ Saint-Nabor :
- Abbaye Sainte-Marie de Niedermunster.
- Article des Dernières Nouvelles d'Alsace - Reconstitution virtuelle de l'abbaye de Niedermunster
- Article des Dernières Nouvelles d'Alsace - Un long travail de sauvetage virtuel du patrimoine
- Site internet du Pays du Mont Sainte-Odile - Page consacrée à Saint-Nabor
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Saint-Nabor : Statistiques sur la commune
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Carrière de Saint Nabor et Ottrott. Analyse des conditions de stabilité à long terme des front de taille définitifs. Recommandations BRGM, par Michel Morisseau et Francis Wojtkowiak, , 106 pages
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Saint-Nabor sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Alsace
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Bœrsch comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Saint-Nabor » sur Géoportail (consulté le 11 juin 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Triangle magique
- Décision du conseil municipal du 17 décembre 2009
- Le schéma interrégional du massif des Vosges à l'horizon 2020 : un projet de développement durable, une ambition pour le massif
- « Fiche communale de Saint-Nabor », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « le Darsbach »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Nabor et Le Hohwald », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Le Hohwald_sapc », sur la commune du Hohwald - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Le Hohwald_sapc », sur la commune du Hohwald - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Bœrsch », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Nabor ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Fiche communale d’informations sur les risques naturels, miniers et technologiques
- Didacticiel de la règlementation parasismique
- Oratoire fondé au XVIe siècle à l'origine du monastère qui recueille les reliques de Saint Nabor
- Guillaume Muller, « Saint-Nabor. Coronavirus : le décès du maire François Lantz », Dernières nouvelles d'Alsace, (lire en ligne, consulté le ).
- [PDF] Liste des maires au 1er avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- Établissements d'enseignements
- École élémentaire
- Professionnels de santé
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- [1]
- Sébastien Fernex partage sa vie entre sa passion pour la sculpture et son métier d'agriculteur
- « Ruines de l'abbaye Niedermunster », notice no PA00084922, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Abbaye », notice no IA00075715, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Eglise paroissiale Saint-Nabor », notice no IA00075708, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IM67001362, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de l'église paroissiale Saint-Nabor
- « Chapelle Saint-Nicolas », notice no PA00084924, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Chapelle Saint-Nicolas », notice no IA00075716, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Chapelle Saint-Jacques », notice no PA00084923, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Chapelle Saint-Jacques », notice no IA00075717, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Carrière et usine de taille de matériaux de construction de la Société des Carrières de Saint-Nabor », notice no IA67007858, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « chapelle des Morts », notice no IA00075709, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IM67001366, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture dalle funéraire : d'Ursula Zum Tribel
- Notice no IM67001367, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture dalle funéraire : de _Margarethe de _Senin (n° 1)
- Notice no IM67001368, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture dalle funéraire : de _Margarethe de _Senin (n° 2)
- Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur labanquedublason2.com (consulté le ).