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Socx

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Socx
Socx
L'église.
Blason de Socx
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Dunkerque
Intercommunalité Communauté de communes des Hauts de Flandre
Maire
Mandat
Alexandre Rommelaere
2020-2026
Code postal 59380
Code commune 59570
Démographie
Gentilé Socxois
Population
municipale
890 hab. (2021 en évolution de −4,61 % par rapport à 2015)
Densité 111 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 56′ 10″ nord, 2° 25′ 32″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 31 m
Superficie km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Dunkerque
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Wormhout
Législatives Quatorzième circonscription
Localisation
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Socx
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Socx
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Socx
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Socx
Liens
Site web http://socx.reseaudescommunes.fr/

Socx (prononcé [sɔks] ; Soks en néerlandais[1]) est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

La ville est connue pour avoir sur son territoire une des plus grandes usines Coca-Cola d'Europe.

Géographie

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Socx dans son canton et son arrondissement.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Socx
Steene Bierne Bergues
Crochte Socx Quaëdypre
Esquelbecq Wormhout

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Verkerde Becque, le Bierendyck et un autre petit cours d'eau[2],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Socx.

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Delta de l'Aa ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 208 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Aa. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'Institution intercommunale des Wateringues[3].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 752 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Dunkerque à 12 km à vol d'oiseau[6], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,8 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Socx est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dunkerque, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[11]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (89,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,4 %), zones urbanisées (7,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,1 %), prairies (3,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,3 %)[14]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Schokes (1206), Scokas (1218)

Le nom proviendrait, comme Chocques, du gaulois *tsukka, pièce (de bois), souche[15].

En 1067, une charte octroyée par Baudouin V, comte de Flandre, cite « Chocas ». Ce nom devient Chox en 1225, Sox en 1528, avant de prendre son orthographe actuelle. Socx dépendait de la châtellenie de Bergues et du diocèse d'Ypres.

En 1223, un nommé Walter Bloma et sa femme vendent à l'abbaye Saint-Winoc de Bergues une partie de la dîme de Chokes[16].

Du point de vue religieux, la commune était située dans le diocèse de Thérouanne puis dans le diocèse d'Ypres, doyenné de Bergues[17].

En 1692, un tremblement de terre a abîmé plusieurs constructions en Flandre, dont l'église de Socx et celle de Noordpeene[18].

Au moment de la Révolution française, dans le diocèse d'Ypres, le curé de Socx, François Bareel, est un des 5 prêtres, (prêtres d'Uxem, Killem, Quaëdypre, Socx, Rubrouck) sur 67 à accepter de prêter le serment de fidélité à la Révolution (constitution civile du clergé)[19].

En août-, dans le cadre du siège de Dunkerque et de la bataille de Hondschoote, des combats opposèrent à Socx les Français aux ennemis coalisés, notamment le [20].

Plus tard, le 6 thermidor an II (24 juillet 1794), un habitant de Quaëdypre rapporte au district de Bergues, l'attitude des soldats cantonnés dans les environs de Quaëdypre, Socx, et communes proches : ils confisquent des denrées dans les fermes et habitations, profèrent des menaces, en particulier vis-à-vis des femmes, rôdent dans les environs, ont déjà tué un enfant en déchargeant leurs armes sans précautions, etc.[21].

En 1914-1918, Ferdinand Foch a établi un temps son quartier général à Socx.

En début 1917, des éléments du Ministère de la guerre belge stationnent à Socx[22]. Ils sont arrivés le 9 octobre 1916, et comprennent un général, quatre commandants, un lieutenant et quarante-trois hommes[23].

La commune fait partie du commandement d'étapes installé à Rexpoëde de 1915 à 1918 et de celui ayant son siège à Bergues en 1917-1918[24]. Socx fait encore partie en 1917 du commandement d'étapes basé à Quaëdypre et en 1917-1918 celui basé à Bergues. Un commandement d'étapes est un élément de l'armée organisant le stationnement de troupes, comprenant souvent des chevaux, pendant un temps plus ou moins long, sur les communes dépendant du commandement, en arrière du front. Socx a donc accueilli des troupes de passage[24]. Parmi celles-ci peuvent être citées un convoi d'âniers, comptant un officier, 128 hommes de troupe et 840 ânes, ou encore en janvier 1918, un escadron de chasseurs d'Afrique[25].

En temps de guerre, on ne pouvait circuler librement sans avoir de laissez-passer établi par le maire de sa commune. Le 2 juin 1916, le chef de poste de la prévôté des étapes (gendarmerie) de Socx, dépendant du commandement d'étapes de Rexpoëde, a arrêté deux cultivateurs de Quaëdypre convoyant à Bergues, l'un une voiture de trèfle, l'autre une voiture de paille. Ils n'avaient pas de laissez-passer du maire de leur village. Alerté, le responsable du commandement d'étapes de Rexpoëde a averti téléphoniquement l'intendance des étapes de Dunkerque. Celle-ci a répondu ne pas avoir besoin ni de fourrage ni de paille en ce moment. Les deux cultivateurs pouvaient donc en disposer après avoir demandé un laissez-passer au maire de Quaêdypre[26].

Le 10 novembre 1916, à la suite de travaux de récolte, a été découvert dans un champ un trou provenant semble-t-il d'un obus non éclaté. Informé par des cultivateurs de Socx, le sergent casernier du commandement d'étapes a prévenu l'arsenal de Bergues. Un maréchal des logis d'artillerie s'est déplacé pour constater par lui-même : il a confirmé la présence d'un obus et va le faire enlever[27].

Le 16 décembre 1916, le sergent casernier représentant le commandant d'étapes à Socx informe ce dernier qu'un officier supérieur belge ne respecte pas les consignes de sécurité en matière d'occultation de la lumière. Dans la propriété où séjourne cet officier général belge, l'électricité fonctionne dès le matin 6 heures 15 jusqu'au jour, et le soir à partir de 16 heures sans que les volets soient fermés. Les rideaux ou stores installés sont insuffisants pour masquer la lumière. L'éclairage le plus visible est celui fourni par une lampe située dans le vestibule, l'imposte de la porte d'entrée vitrée n'est munie d'aucun rideau[28].

Le 15 janvier 1917, a eu lieu un accident entre un civil habitant Socx et un train circulant sur la ligne de chemin de fer anglaise : la voiture du civil a été heurtée par un train qui manœuvrait, au passage à niveau situé près de la ferme des Quatre tours, sur le chemin rural de la Croix rouge allant vers les Cinq chemins. Le civil a été très grièvement blessé et conduit à l'hôpital de Bergues, l'enquête est faite par la gendarmerie de Bergues[29].

La présence de troupes belges va être directement à la source du décès d'un habitant de Socx, un aide-cantonnier de 17 ans, appelé Vanest, circulant à bicyclette, tué sur le coup le vers 15 h 30 à proximité de Bissezeele, lors d'un accident de voiture, dans laquelle se trouvait un officier belge[30].

Le 6 février 1917, entre 21 h 30 et 22 h, un avion ennemi a lancé deux bombes. L'une est tombée à Socx, faubourg de Cassel, sur le hangar d'une ferme, dans lequel il y avait deux voitures. L'autre est tombée à Quaëdypre, dans un champ à proximité du garage des automobiles belges. Il n'y a eu aucune victime humaine[31].

Le 5 juillet 1917, vers 18 heures, un avion anglais marqué A 3976 a atterri, à la suite d'une panne de moteur, au nord de la commune, dans un champ de foin fauché récemment, en bordure du chemin d'intérêt communal no 110. Les soldats du train cantonnés sur le village ont fourni un piquet de surveillance. L'avion est parti par ses propres moyens le 6 juillet vers 11 heures. Il n'y eut ni victimes, ni dégâts[32].

Fin août 1917, Socx accueille de l'ordre de 2 000 soldats sur son territoire[33].

Le 30 août 1917, l'estaminet Belle avenue, tenu par Mme Plancke Louise à Socx est consigné à la troupe (interdit d'accès) pour une période de 8 jours au motif d'avoir reçu des militaires à une heure interdite[34].

Seconde Guerre mondiale

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Pendant la Seconde Guerre mondiale, l'hôpital de Dunkerque occupée fut transféré dans les bâtiments d'un couvent. Un obus traversa d'ailleurs la tour de l'église, fin XVIe siècle, qui fut restaurée entre 1957 et 1961.

Héraldique

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Les armes de Socx se blasonnent ainsi : D'argent au lion de sable armé et lampassé de gueules à la bordure de gueules

Politique et administration

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Maire en 1802-1803 : Pierre Gailliaert[35].

Maire en 1807 : Christiaens[36].

Maire en 1854 : Mr Vandamme[37].

Maire en 1883 : Jean Louis Poublanc[38]

Maire de 1892 à 1894 : René Dehaene[39].

Maire de 1895 à 1914 : R. Dejonghe[40].

Maire de 1922 à 1925 : I. Van Haecke[41].

Maire de 1925 à 1931 : I.E. Boonefaes[42].

Maire de 1931 à 1935 : J. Dewaele (intérim)[43].

Maire de 1935 à 1939 : Paul Vandaele[44].

Maire de 1951 à 1959 : O. Thibouw[45].

Maire de 1959 à 1965 : Roger Declercq[46].

Maire de 1965 à 1977 : Marcel Dewaele[47].

Maire de 1977 à 1978 au moins : Charles Vandaele[48].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2008 Charles Vandaele    
mai 2020 Christian Ley    
mai 2020 En cours Alexandre Rommelaere[49]    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[51].

En 2021, la commune comptait 890 habitants[Note 2], en évolution de −4,61 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
675710728678771769761779771
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
760728685697740727730750765
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
776790682762728703696823802
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
722710773801962980972956934
2021 - - - - - - - -
890--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,8 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 469 hommes pour 459 femmes, soit un taux de 50,54 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[54]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,9 
7,8 
75-89 ans
9,6 
20,5 
60-74 ans
20,6 
26,4 
45-59 ans
25,9 
12,9 
30-44 ans
15,1 
16,1 
15-29 ans
12,1 
15,8 
0-14 ans
15,8 
Pyramide des âges du département du Nord en 2021 en pourcentage[55]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,3 
75-89 ans
8,1 
14,8 
60-74 ans
16,2 
19,1 
45-59 ans
18,4 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,7 
15-29 ans
19,1 
20,2 
0-14 ans
18 

Lieux et monuments

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Château de Socx.
  • Le château de Socx - Il date de la fin du XVIIIe siècle (1785) tout comme le parc au lieu-dit « le klap-houck », le potager est plus récent. Le château est inscrit à l'I.S.M.H. depuis le 2/11/1976[56]. Le parc et jardin sont inscrits depuis le 2/5/2006. Il s'agit d'une propriété privée.

Agriculture

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Socx est située dans la Flandre maritime, riche région agricole.

Socx accueille depuis trente ans une usine Coca-Cola. Il s'agit de la plus grosse usine française de la compagnie qui y emploie près de 350 salariés. En 2018, l'usine a ouvert une septième ligne de production de bouteilles en verre pour boissons gazeuses ou plates et a créé 23 emplois. Coca-Cola investit régulièrement dans son usine de Socx[57].

Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Socx » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
  2. « Fiche communale de Socx », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
  3. « SAGE Delta de l'Aa », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Socx et Dunkerque », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Dunkerque » (commune de Dunkerque) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Dunkerque » (commune de Dunkerque) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Socx ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Dunkerque », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. « Maurits Gysseling: Toponymisch Woordenboek (1960) p. 924 », sur bouwstoffen.kantl.be (consulté le ).
  16. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome VII, 1re partie, Année 1223.
  17. Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862-1864, neuvième volume, p. 65, lire en ligne.
  18. Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1866-1867, douzième volume, p. 72, lire en ligne.
  19. Abbé L. Harrau, Edmond-Louis Blomme, « Le manuscrit de M. P.-C. Blanckaert, curé-doyen de Wormhoudt », dans Bulletin Union Faulconnier, tome V, Dunkerque, 1902, p. 204, lire en ligne.
  20. Commandant Lévy, La défense nationale dans le Nord en 1793, Dunkerque, (lire en ligne), p. 171-172.
  21. Joseph Deschuytter, L'esprit public et son évolution dans le Nord, de 1791 au lendemain de Thermidor, An II, Tome I, (ISBN 978-2-307-02260-2)
  22. Journal de marche du commandement d'étapes de Rexpoëde, janvier à avril 1917, p. 14, lire en ligne.
  23. Journal de marche du commandement d'étapes de Stenvoorde puis Rexpoëde août - novembre 1916, p. 60, lire en ligne.
  24. a et b « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  25. Commandement d'étapes de Bergues, p. 73, lire en ligne.
  26. Journal de marche du commandement d'étapes de Rexpoëde, p. 248, lire en ligne.
  27. Journal de marche du commandement d'étapes de Steenvoorde puis Rexpoëde août - novembre 1916, p. 92, lire en ligne.
  28. Journal de marche du commandement d'étapes de Steenvoorde puis Rexpoëde novembre 1916 - juillet 1917, p. 35, lire en ligne.
  29. Journal de marche du commandement d'étapes de Steenvoorde puis Rexpoëde novembre 1916 - juillet 1917, p. 59, lire en ligne.
  30. Journal de marche du commandement d'étapes de Rexpoëde, janvier à avril 1917, p. 27, lire en ligne.
  31. Journal de marche du commandement d'étapes de Rexpoëde janvier-avril 1917, p.31, lire en ligne.
  32. Journal de marche du commandement d'étapes de Spycker, p. 58, lire en ligne.
  33. Journal de marche du commandement d'étapes de Quaëdypre, p. 64, lire en ligne.
  34. Journal de marche du commandement d'étapes de Quaëdypre, p. 66, lire en ligne.
  35. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 272, lire en ligne.
  36. « Annuaire statistique du département du Nord. Année 1807. », p. 150-151 (images 180-181)..
  37. Almanach du commerce Département du Nord 1854
  38. Annuaire Ravet Anceau du département du Nord Années 1883 et de 1887 à 1890
  39. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1892 à 1894
  40. Annuaire Ravet Anceau département du Nord Années 1896 à 1914
  41. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1922 à 1925
  42. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1926 à 1931
  43. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1931 à 1935
  44. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1936 à 1939
  45. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1952 à 1959
  46. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1960 à 1965
  47. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1966 à 1977
  48. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1978 et 1979
  49. « Cafeyn - reader », sur cafeyn.co (consulté le ).
  50. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  51. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  52. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  53. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  55. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
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