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Page:Souvestre - Les Derniers Bretons (tome 2), 1836.djvu/250

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les derniers bretons.

où je pourrai trouver un lit et de la litière pour mon coursier ?

» — Messire, allez chez mon beau-frère, et vous serez logé ; allez chez mon beau-frère, et vous trouverez de la litière pour votre coursier.

» — Merci, jeune fille ; mais, dites-moi, votre état est-il donc de garder les moutons ainsi ?

» — Mon mari est à l’armée, et c’est pourquoi on m’a forcée de garder les moutons.

» C’était un beau jeune homme, mon mari, et il avait des cheveux blonds, des cheveux blonds comme les vôtres, messire.

» — Regardez-moi bien, jeune femme ; oh !