Wikipédia:Oracle/semaine 36 2009
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soucis avec mon matériel
modifierBonjour, Je sais, nous ne sommes pas le service etc. Mais je ne connais que vous. Suite au chargement de la dernière version de Gmail, le contenu de mes dossiers a disparu pour partie. J'ai voulu résoudre le problème en faisant une restauration. Le programme m'indique que la restauration est impossible suite a une altération de fichier. Toutes les restaurations sont altérées, dans l'aide de Windows je ne trouve pas le pourquoi de ces altérations. Qui peut m'aider à résoudre ces deux problèmes (j'ai posé la question à Gmail et j'attends une réponse). Merci à vous. --Kkbs (d) 31 août 2009 à 09:08 (CEST)
Ps: je suis sous Vista et mon appareil ne détecte aucun virus ou autre saloperie. --Kkbs (d) 31 août 2009 à 09:12 (CEST)
- Comme tu le dis, nous ne sommes pas le service après-vente (etc.). Et de ce fait, n'avons probablement pas de réponse à ton problème, sauf si par (mal)chance une pythie aurait eu le même récemment. Dans ton cas, le bandeau serait plutôt
- En te souhaitant obtenir une solution. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 31 août 2009 à 10:24 (CEST)
- Es-tu sûr de ne pas confondre Gmail avec Thunderbird ou Outlook ? Tu sembles parler d'un client de messagerie, et non d'un service web comme Gmail. Kfadelk (d) 31 août 2009 à 11:11 (CEST)
Juste il s'agit de Thunderbird. --Kkbs (d) 31 août 2009 à 12:28 (CEST)
- Ah ! Thunderbird ! C'est tout de suite un peu plus facile... Tu pourras consulter avec profit, j'en suis sûr, le site officiel en français. Tu as aussi la page d'aide (en anglais) mais elle ne semble pas correspondre à tes attentes ; il y a le forum de Geekzone sur Thunderbird, (en français) : beaucoup de ressources, mais je ne te jurerai pas qu'il est facile d'y trouver une solution. Il y a cependant une zone de recherche, puis les titres des messages sont souvent assez clairs (c'est à ça qu'on reconnaît un forum sérieux ). Bonne chance ! -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 31 août 2009 à 13:15 (CEST)
- PS. Au cas où tu ne trouves pas ta solution et que tu songes à faire ta propre demande d'aide, songe justement à un titre bien explicite, du genre « Impossible d'accéder à mes messages après une mise à jour de Thunderbird ». -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 31 août 2009 à 13:41 (CEST)
- PS 2. En parlant de titre explicite : tu as un souci avec ton logiciel et non avec ton matériel . -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 31 août 2009 à 13:44 (CEST)
- PS 2 au sens où tu l'entends s'écrit plus souvent PPS. Adrien' [1729] 2 septembre 2009 à 11:05 (CEST)
- Et PS 3 ça serait PPPS ? -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 2 septembre 2009 à 11:14 (CEST)
- PS 2 au sens où tu l'entends s'écrit plus souvent PPS. Adrien' [1729] 2 septembre 2009 à 11:05 (CEST)
Aisance au Zimbabwé
modifierJ'ai trouvé dernièrement une enquête concernant le Degré d'aisance au Zimbabwe
Merci de me le trouver si possible — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 92.39.126.30 (discuter), le 31 août 2009 à 11:49 (CET)
- Pas assez d'éléments d'information pour te trouver ça, désolé. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 31 août 2009 à 19:24 (CEST)
- À tout hasard, je propose ceci, mais les données ne manquent pas : la recherche « pib par habitant zimbabwe» donne 160000 propositions chez yahoo. Colo (d) 31 août 2009 à 20:47 (CEST)
tickets de quai
modifierBonjour,
Quand les tickets de quai ont-ils été abolis à la SNCF ?
MErci.
- Bonjour.
- http://christophe.lachenal.free.fr/francais/infos/gare_france/fr_gare_basel.htm : « Le 03/04/1978, en France, mise en service du compostage des billets et suppression des tickets de quai et du contrôle des billets à l’entrée et à la sortie des gare ».
- De rien. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 31 août 2009 à 14:46 (CEST)
- Ouh là ça c'est un document suisse qui le dit : en France, pour les trains de banlieue par exemple, il y a toujours des contrôles à l'entrée/sortie de quai... Et autant que je sache j'en avais entendu parler après 1978 : il doit y avoir eu modification depuis à nouveau ou alors c'est réservé aux grandes lignes. Mais ce n'est pas généralisé. / DC2 • 1 septembre 2009 à 01:55 (CEST)
- Le fait que ce soit « un document suisse qui le dit » n'induit pas son invalidité : je consulte plein de « documents français » sur tout un tas de pays et ne mets pas en doute leur teneur au prétexte, justement, que « c'est un document français ».
- et corollairement. Un document qui parle de la Suisse n'est pas nécessairement un document suisse ; en l'occurrence c'est le site de l'Association Européenne pour le Développement du Transport Ferroviaire, une chose que tu aurais pu aisément vérifier toi-même avant de contester sa pertinence au prétexte que c'est un document suisse.
- La mise en cause d'une information ne se fait pas en rapportant des anecdotes subjectives qui ne contredisent pas réellement le fait rapporté, mais en produisant d'autres informations – personnelles ou sourcées – qui mettent réellement en doute la précédente.
- Du coup, tu m'obliges (ce qui n'est pas un mal) à confirmer la première information, et bien sûr tu m'amènes à t'expliquer le fait que tu rapportes.
- Pour la seconde chose c'est simple : du fait des contraintes liées au système RER, les gares de banlieue sortent de la règle commune et ne sont pas d'accès libre, on doit être muni d'un titre de transport et non pas d'un ticket de quai, pour y accéder. Ce qu'on y contrôle est donc la détention d'un billet ou d'une carte de train ou de métro, et ça continue à se faire actuellement.
- Pour la première chose, dans cette page, « bien française » mais pas plus fiable que l'autre, on lit ceci : « Le système de compostage des billets a fait son apparition (hors IDF) le 3 Avril 1978. Les tickets de quai ont continué à exister jusqu'au début des années 80 et uniquement pour les gares importantes ». Ce qui confirme largement ma première information en la corrigeant légèrement, et confirme en partie mon explication quant au système hors règle commune en Île-de-France. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 1 septembre 2009 à 07:35 (CEST)
- N'empêche, inutile de faire de longs paragraphes : j'ai encore été contrôlé sur le quai à St-Lazare il y a peu : et ce n'est pas du tout une gare RER mais pur jus SNCF... (Tu te perds aussi un peu dans ton argumentation.) Il a disparu du réseau grande ligne, pas forcément des réseaux locaux. CQFD. C'est bref ainsi. / DC2 • 4 septembre 2009 à 01:11 (CEST)
- Contrôlé, d'accord, mais on t'as demandé ton ticket de quai ou ton billet de train ?
- Comme ancien Parisien, je connais bien ces gares et leur double système : quais « grandes lignes », libres d'accès, et quais « banlieue », contrôlés ; l'accès à la partie « banlieue » nécessite d'avoir un titre de transport, d'où les contrôles sur les quais. Enfin, dans toute gare, passé une certaine heure (entre 19h et 21h pour les petites, entre 22h et 24h pour les plus grandes), les portes sont fermées et l'accès est réservé aux personnes ayant un titre de transport. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 4 septembre 2009 à 02:50 (CEST)
- N'empêche, inutile de faire de longs paragraphes : j'ai encore été contrôlé sur le quai à St-Lazare il y a peu : et ce n'est pas du tout une gare RER mais pur jus SNCF... (Tu te perds aussi un peu dans ton argumentation.) Il a disparu du réseau grande ligne, pas forcément des réseaux locaux. CQFD. C'est bref ainsi. / DC2 • 4 septembre 2009 à 01:11 (CEST)
- J’ai l’impression qu’il n’est peut-être pas inutile de rappeler ce qu’était un ticket de quai : ce n’était pas un titre de transport, c’était un ticket donnant accès au quai et qu’on pouvait acheter indépendamment d’un titre de transport, par exemple pour accompagner quelqu’un jusqu’au train.
- Une fois cette précision donnée, je doute que DC2 affirme encore que les tickets de quai n’ont pas disparus partout en France. rv1729 4 septembre 2009 à 07:31 (CEST)
- Ouh là ça c'est un document suisse qui le dit : en France, pour les trains de banlieue par exemple, il y a toujours des contrôles à l'entrée/sortie de quai... Et autant que je sache j'en avais entendu parler après 1978 : il doit y avoir eu modification depuis à nouveau ou alors c'est réservé aux grandes lignes. Mais ce n'est pas généralisé. / DC2 • 1 septembre 2009 à 01:55 (CEST)
- Ils existaient encore du temps de Boby Lapointe, en tout cas, je cite : "d'étiques coquettes tout en tricotant caquetaient et discutaient et critiquaient / un comte toqué qui comptait en tiquant tout un tas de tickets de quai"... Félix Potuit (d) 1 septembre 2009 à 14:04 (CEST)
Médecine Interne
modifierWesh l'Oracle, j'ai une question à te poser. A quoi sert la médecine interne en réalité ? Est-ce plus ressemblant à ce que font les médecins généralistes ou à ce que fait Dr House? Merci de ta réponse.
- Lis ça : Médecine Interne et ça. Ça se rapproche plus de Dr House en effet. Agrafian Hem Rarko (me parler) 31 août 2009 à 15:28 (CEST)
- Et pour la première question, la réponse est : ça sert à la même chose que toute autre forme de pratique médicale, à (tenter de) soigner les gens. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 31 août 2009 à 16:04 (CEST)
Le GPS en montagne.
modifierBonjour.
J'utilise très souvent mon GPS pour me déplacer, y comprmoins deis dans les alpes le mois dernier. Mais la précision remarquable en plaine semble devenir caduque en altitude (des erreurs de plus de cent mètres, alors qu'en plaine la précision est d'un mètre ou deux). Quand je lis l'article qui traite du sujet, il est bien précisé que trois satellites suffisent à déterminer un point précis sur la surface de la terre, mais qu'il en faut quatre dés que la notion d'altitude intervient. Or, j'en capte en moyenne huit ou neuf. De ce fait, je ne comprends pas d'où provient une telle erreur. Vous avez une idée ?
- Bonjour, c'est peut être dû à la carte elle-même, mais sinon, je ne vois pas. Djynn, le Petit Corbeau 31 août 2009 à 16:38 (CEST)
- Il y a non seulement le nombre de satellites qui intervient, mais aussi la géométrie du système (par exemple, si tous les satellites sont alignés ou dans une cône étroit, ce n'est pas bon). Un autre facteur pourrait être les réflexions. Voir Global dilution of precision (depuis Global Positioning System#Calcul de la position. -- Xofc [me contacter] 31 août 2009 à 16:54 (CEST)
- Attention même avec 10 satellites en vue le GPS ne peut apporter une excellente précision en planimétrie... et encore moins en altimétrie ! De plus ton GPS te fourni peut être une altitude sur l'ellipsoïde et non sur le géoïde, d'où une dégradation importante de la précision. Kfadelk (d) 31 août 2009 à 16:57 (CEST)
- Cet erreur d'altimétrie est dû à ce que l'on nomme "retard troposphérique". À lire recherche/İGN et Géomatik. ViZiT (d) 31 août 2009 à 17:08 (CEST)
- C'est ce que j'ai aussi vu. Apparemment, le problème est très variable d'un modèle de récepteur à un autre, certains étant précisément conçus pour corriger ce défaut. Je te conseille donc de faire des recherches sur Google (ou autre moteur de recherche...) pour voir s'il y a des retours d'expérience sur le modèle que tu possèdes, qui font part d'un manque de précision en montagne et, avec de la chance, qui indiquent comment y remédier. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 31 août 2009 à 17:28 (CEST)
- Les erreurs que vous constatez sont trop vaguement décrites, comme leurs conditions d'observations. L'appareil n'est pas décrit non plus. On est en droit de supposer qu'il s'agit d'un modèle courant, plutôt destiné à l'automobile. Et que vous vous référez à la même utilisation en plaine qu'en montagne. Il est alors tout à fait anormal d'obtenir des imprécisions dépassant l'hectomètre quand vous recevez dix satellites (dix satellites visibles du même point ne peuvent être dans le même plan, ni dans un cône étroit, les orbites ont été calculées pour). Il me parait absurde de supposer que la troposphère intervient plus en montagne qu'en plaine : elle est bien au-dessus, et les surplombe également. Une question qui mérite précision, c'est le côté logiciel. Par exemple, selon que l'on se déplace en automobile, en moto, ou à pied, les trajectoires ne sont pas les mêmes et une bonne estimation des données manquantes permet ou non de "deviner" votre position (ainsi en supposant que vous restez sur une route, d'altitude connue, les estimations de votre vitesse permettent de prolonger votre trajectoire quand vous recevez entre deux et quatre satellites). Pour les randonnées à pied loin des routes, ces extrapolations sont moins pertinentes et moins performantes. La présence de masques en montagne (arbres, reliefs) est aussi à considérer, alors que les réflexions (grands édifices métalliques) sont rares et ne peuvent expliquer les écarts. Mais en montagne, sur un sommet dégagé, la précision horizontale après une immobilité d'environ une minute, avec une réception de cinq satellites ou plus, ne dépasse la vingtaine de mètres pour aucun appareil en bon état, et suppose des renseignements cartographiques furieusement précis pour être évaluée avec plus de précision. Seule l'altitude peut être nettement faussée, la déformation du géoïde par rapport à WGS84 étant dans les alpes comprise entre 45 et 50 mètres. Je vois donc au moins deux réponses possibles à votre question : vous utilisez peut-être un logiciel inadapté, ou alors vous observez mal (par exemple, en auto vous ne vérifiez vos conditions de réceptions que quand la route vous le permet, et quand il y a des zones plus critiques où vous ne captez rien, vous regardez ailleurs). L'extrapolation de trajectoire dans ces zones peut être dramatique, votre vitesse peut être presqu'inversée dans un lacet, où les masques fréquents (arbres et flanc de montagne) limitent le nombre de satellites reçus au point de ne plus pouvoir déterminer un changement de cap. Le trouble persiste alors jusqu'à ce que vous retrouviez une reception continue et simultanée de quatre satellites bien disposés pendant un temps suffisant (plusieurs secondes, voire plusieurs dizaines). Les calculs intermédiaires avec trois satellites sont forcément faux dès que votre altitude a varié. Les appareils utilisent pratiquement tous les mêmes matériels, les mêmes données cartographiques, mais ne sont pas équivalents pour autant, et ne sont pas également adaptés en toutes situation. Colo (d) 31 août 2009 à 19:35 (CEST)
- C'est ce que j'ai aussi vu. Apparemment, le problème est très variable d'un modèle de récepteur à un autre, certains étant précisément conçus pour corriger ce défaut. Je te conseille donc de faire des recherches sur Google (ou autre moteur de recherche...) pour voir s'il y a des retours d'expérience sur le modèle que tu possèdes, qui font part d'un manque de précision en montagne et, avec de la chance, qui indiquent comment y remédier. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 31 août 2009 à 17:28 (CEST)
- Cet erreur d'altimétrie est dû à ce que l'on nomme "retard troposphérique". À lire recherche/İGN et Géomatik. ViZiT (d) 31 août 2009 à 17:08 (CEST)
- Attention même avec 10 satellites en vue le GPS ne peut apporter une excellente précision en planimétrie... et encore moins en altimétrie ! De plus ton GPS te fourni peut être une altitude sur l'ellipsoïde et non sur le géoïde, d'où une dégradation importante de la précision. Kfadelk (d) 31 août 2009 à 16:57 (CEST)
- Il y a non seulement le nombre de satellites qui intervient, mais aussi la géométrie du système (par exemple, si tous les satellites sont alignés ou dans une cône étroit, ce n'est pas bon). Un autre facteur pourrait être les réflexions. Voir Global dilution of precision (depuis Global Positioning System#Calcul de la position. -- Xofc [me contacter] 31 août 2009 à 16:54 (CEST)
- Grand merci pour notre questionneur à Kfadelk et Colo que je découvre sur l'Oracle. Au plaisir de vous relire, --Égoïté (d) 1 septembre 2009 à 01:41 (CEST)
Quelqu'un connaîtrait-il l'adresse d'un site (style heavens-above) qui simulerait le diagramme polaire (azimut/hauteur ([1] ou [2])) que l'on trouve sur les GPS, en fonction du lieu (lat/lon) et du temps (date et heure), à partir des éphémérides (TLE)? Merci. -- Xofc [me contacter] 1 septembre 2009 à 06:03 (CEST)
- Un site ça ne me dit rien, mais un logiciel comme Orbitron (ou autre) doit être capable de le faire, non ? Kfadelk (d) 1 septembre 2009 à 10:06 (CEST)
Merci pour vos réponses. Colo, ta compétence en la matière est impressionnante et je te remercie spécialement pour cette réponse qui t'a pris pas mal de temps. Merci aussi pour les autres interventions. L'erreur dont je parlais ne se présentait pas tout le temps, mais souvent lorsque je circulais sur une petite route en pente, à flanc de montagne et entouré de sapins. Ces conifères peuvent ils être un obstacle aux ondes ?
- Tout à fait, de la même façon que les ondes radios sont perturbées par les obstacles : perte de signal, réflexion multiple, etc... Kfadelk (d) 1 septembre 2009 à 16:23 (CEST)
Introduction dans l'architecture italienne
modifierSalut à tous,
J'étais en train de rechercher des informations sur l'architecture italienne, ou du moins les origines de ce type d'architecture, seulement voilà, je m'y perd bien vite avec toute les descriptions qui sont données. La raison de cette recherche est simple, avec des amis on fait un forum de Role play et donc on créer notre petit monde fictif en s'inspirant des civilisations passées. Donc voilà j'ai besoin de votre aide pour trouver les type d'architecture utilisées dans l'Italie médiévale ou antique. Ce n'est pas des lieux précis que je cherche mais le courant qui à inspiré les monuments et autres bâtiments Italien.
Merci d'avance ! Djynn, le Petit Corbeau 31 août 2009 à 16:31 (CEST)
- Mis au bon endroit par --Serged/♥ 31 août 2009 à 17:06 (CEST)
- Salut. Ta demande manque un peu de contexte : tu cherches des informations sur l'architecture citadine ou rurale ? Ordinaire ou monumentale . Puis il faudrait mieux cadrer tes époques : dans la Péninsule italique l'architecture a autant évolué que partout ailleurs en Europe. Et bien sûr, le lieu a son importance : on ne bâtit pas de même au sud et au nord, en Vénétie ou en Campanie, à Naples ou à Rome. Un conseil : un petit tour sur le Portail:Italie et ses sous-portails (Rome, Sicile, etc.), et surtout sur l'arborescence des articles du portail devrait t'aider à trouver des réponses à tes interrogations.
- Bonne chance dans tes recherches ! -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 31 août 2009 à 19:42 (CEST)
- Ainsi que le Portail: Architecture si tu ne l'as pas déjà consulté ;) .Anja. (d) 31 août 2009 à 20:58 (CEST)
- J'ai déjà visiter le portail de l'architecture (c'est d'ailleurs là bas que j'ai commencer mes recherches), mais au lieu de trouver une description des courants architecturaux, il y a la description de lieux connus. Ce que je recherche c'est surtout le type d'architecture (bizantyne, gothique, etc.) étant apparu à l'époque médiévale. Merci pour vos réponses tout de même. Djynn, le Petit Corbeau 1 septembre 2009 à 14:28 (CEST)
- Sans vouloir vous vexer, vous raisonnez un peu "à reculons" ; les courants sont définis par rapports aux monuments, et non l'inverse. L'architecte qui travaille à l'époque médiévale en Italie ne se dit pas qu'il est "gothique" ou "byzantin", des termes par ailleurs très larges et génériques qui ne veulent pas dire grand chose employés sans contexte. Ainsi, on qualifie de gothique des édifices très différents, qui ont souvent des points communs, visibles (des formes d'arc, par exemple) ou sous-entendus (comme une certaine conception de l'artiste), mais qui chacun ont des spécificités liés à leur contexte. Dire que l'art gothique est pratiqué en Italie (ce qui d'ailleurs peut se discuter) ne signifie pas qu'un architecte italien aurait pu y faire Notre-Dame de Paris.
- L'architecture italienne est très diversifiée au Moyen-Âge, période qui dure tout de même un bon millier d'années. Êtes-vous intéressé par une période particulière ? Sinon, jettez un coup d'oeil à art lombard, architecture romane#Italie (pas de résumé général, seulement des exemples) et architecture gothique#en Italie (très peu développé).
- Si vous avez quelque chose de plus précis chronologiquement, n'hésitez pas, mais là c'est vraiment trop large pour faire un résumé. Calame (d) 2 septembre 2009 à 11:09 (CEST)
- Il est vrai que je n'avais pas prit le problème dans le bon sens, en fait, je peux difficilement être plus précis sans restreindre les possibilités de recherche, car ce n'est pas un univers tirés strictement d'une période précise du moyenne age, mais qui s'en inspire. Cependant, les liens proposer m'ont l'air prometteur. Je vais voir si j'y trouve tout ce qu'il me faut (à première vue c'est le cas). Je pense qu'après avoir lu ces articles, je serais en mesure de préciser ma recherche. Merci bien ! Djynn, le Petit Corbeau 2 septembre 2009 à 14:24 (CEST)
- J'ai déjà visiter le portail de l'architecture (c'est d'ailleurs là bas que j'ai commencer mes recherches), mais au lieu de trouver une description des courants architecturaux, il y a la description de lieux connus. Ce que je recherche c'est surtout le type d'architecture (bizantyne, gothique, etc.) étant apparu à l'époque médiévale. Merci pour vos réponses tout de même. Djynn, le Petit Corbeau 1 septembre 2009 à 14:28 (CEST)
- Ainsi que le Portail: Architecture si tu ne l'as pas déjà consulté ;) .Anja. (d) 31 août 2009 à 20:58 (CEST)
Bonjour chers tous,
je me demandais à quoi correspondait le jour de fermeture de la bourse de Londres en ce lundi 31 août ? Est-ce que cela est dû au fait que le 31 août, jour symbolique de la veille de la rentrée, tombe un lundi ? Ainsi il serait plus pertinent de n'ouvrir le marché qu'à partir du 1er septembre ? Et si le 1er septembre tombe un vendredi, sera-t-il également un jour de fermeture pour que les premiers échanges du mois commencent le lundi 4 ? Blue [ -02- ] 31 août 2009 à 17:26 (CEST)
- Le dernier lundi d'août est un jour férié en Grande-Bretagne (mais pas en Écosse). C'est le 'summer bank holiday'. La raison de cette date est de «célébrer la fin de l'été». Dhatier jasons-z-en 31 août 2009 à 18:05 (CEST)
- Hé, on a ça chez nous ! Félix Potuit (d) 31 août 2009 à 18:09 (CEST)
- Ou alors, un vibrant hommage de l'ancienne puissance tutélaire à l'indépendance de la Malaisie et de Trinité-et-Tobago ? -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 31 août 2009 à 19:23 (CEST)
- Ok merci !! Un moment j'ai cru qu'ils avaient fériérisé la disparition de Lady Di, mais en fait non . Merci pour les infos, la prochaine fois je prendrai au moins la peine d'aller consulter la liste des jours fériés du pays en question... Blue [ -02- ] 31 août 2009 à 23:05 (CEST)
- Ou alors, un vibrant hommage de l'ancienne puissance tutélaire à l'indépendance de la Malaisie et de Trinité-et-Tobago ? -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 31 août 2009 à 19:23 (CEST)
- Hé, on a ça chez nous ! Félix Potuit (d) 31 août 2009 à 18:09 (CEST)
Film Thriller
modifierBonjour, Je fais de nouveau appel aux Pythies cinéphiles. En 1973 est sorti un film dont le titre (et bien sûr le genre) était Thriller, le réalisateur est, je crois, Anglais. Quel est ce réalisateur? Particularité: Il y a dans ce film un suspense insoutenable alors qu'il ne se passe rien pendant la plupart du film. Intrigue: Une baby sitter est seule dans une maison et ce même soir un dangereux psychopathe s'évade d'un hôpital psychiatrique. Merci Domingue (d · c · b)
- Un truc qui aide souvent ici, le lien interne : Thriller devrait normalement être une page d'homonymie ou renvoyer vers elle. Je vérifie.
- Rien de significatif. Du coup, je jette un œil à l'article anglophone. Ma foi, ça donne quelque chose : en:Thriller - A Cruel Picture. Titre et année Ok, mais l'histoire n'a rien à voir, et en plus ça a l'air franchement trash et explicite comme film. Au fait, c'est pour un concours ? Si c'est la cas on a un avertissement :
- Celle-là on me l'a déjà faite la semaine dernière! Non ce n'est pas pour un concours. J'aimerais bien que lorsqu'on utilise ce bandeau, on cite les références du soi-disant concours. Domingue
- Quoi qu'il en soit, je cherche encore un peu... -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 31 août 2009 à 19:54 (CEST)
- Merci
- Oh ! Je m'interrogeais, c'est tout. C'est qu'il y a des manières de poser des questions qui, j'en suis désolé, font irrésistiblement penser à un possible concours, mais malgré le bandeau on à tendance à répondre...
- Là-dessus, il semble que le seul film de ces années et de ce titre soit celui cité plus haut. Par contre, il y a un épisode de 1973 de la série télé britannique Thriller (1973-1976) qui correspond en partie à ta description, voir ce résumé en anglais de l'épisode. Ou encore, cet autre résumé où cette fois on indique qu'il « escapes from the asylum to which he has been confined ». -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 31 août 2009 à 21:23 (CEST)
- Ce qu'il y a d'extraordinaire dans ce film c'est la technique cinématographique. Par l'amplification de sons de la vie courante, gouttes d'eau dans un évier, télévision et des tressautements, sursauts de caméra, la tension devient terrible, alors qu'il ne se passe rien. Une critique de l'époque s'intitulait les ongles dans le fauteuil (ou l'accoudoir, je ne sais plus). Domingue (d · c · b)
- L'année ne correspond pas ni le titre mais l'histoire assez, semble-t-il : en:When a Stranger Calls (1979 film), avec son remake Terreur sur la ligne (film, 2006) (en:When a Stranger Calls (2006 film). Détail supplémentaire (et difficile à trouver), Fred Walton, réalisateur de la version de 1979, est « né à Paisley (Écosse) », semble-t-il, donc un Britannique sinon un Anglais. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 31 août 2009 à 23:05 (CEST)
- Ce qu'il y a d'extraordinaire dans ce film c'est la technique cinématographique. Par l'amplification de sons de la vie courante, gouttes d'eau dans un évier, télévision et des tressautements, sursauts de caméra, la tension devient terrible, alors qu'il ne se passe rien. Une critique de l'époque s'intitulait les ongles dans le fauteuil (ou l'accoudoir, je ne sais plus). Domingue (d · c · b)
- En fait le bandeau peut aussi vouloir dire que les questions formulées comme des questions de concours n’emballent pas tout le monde... rv1729 31 août 2009 à 22:28 (CEST) Enfin bref y a pas de quoi en faire un plat, quoi qu’il en soit.
- Merci
Le film doit dater de 1973, éventuellement avant, ça fait des années que je le recherche, mais avec un titre comme celui là, ce n'est de loin pas la première réponse des moteurs de recherche. Domingue (d · c · b)
- Allez, encore une proposition : Fright de Peter Collinson, 1971, Angleterre. Le synopsis correspond : « A homicidal escaped from a mental asylum terrorizes a babysitter and her charge ». Il y a aussi une critique en français sur cette page qui évoque un point concordant avec ta description du film : « Collinson a fait un beau boulot et nous gratifie d'une étonnante photographie, le travail au niveau de la caméra est discret mais efficace, celle-ci bougeant quasiment sans cesse sans forcément qu'on le remarque ». -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 1 septembre 2009 à 10:35 (CEST) Remarque, le synopsis des autres propositions correspondait aussi, donc ça n'est pas significatif . -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O-
- Je me souviens avoir vu à la télé étant ado un film qui m'avait pas mal marqué et qui correspond bien: la manière de filmer était très habile et tenait le spectateur en haleine, avec des accélérations de tensions assez impressionnantes par moment (genre la babysitter terrorisée par le psychopathe depuis 1h au téléphone et qui se rend compte soudain que celui-ci appelle depuis la chambre des enfants...). Je suis par contre incapable de me souvenir du réalisateur. .: Guil :. causer 1 septembre 2009 à 17:33 (CEST)
Merci à tous, c'est probablement Fright, mais il n'est pas facile de mettre la main sur le dvd. --Domingue (d) 3 septembre 2009 à 17:30 (CEST)
Evidemment, j'imagine que tu avais fait une recherche sur imdb?... --TwøWiñgš Boit d'bout 5 septembre 2009 à 10:04 (CEST)
- Oui bien sûr.
C'est bien de Fright qu'il s'agit. Le titre français est Triller selon cinéfiches([3]) et La voûte ([4]). Encore Merci--Domingue (d) 6 septembre 2009 à 11:57 (CEST)
témoin sur batterie
modifierBonjour, j'aurais aimé savoir comment fonctionnait le témoin mécano-électro-chimico-je ne sais quoi que l'on trouve désormais sur certaines batteries. Je parle bien du témoin mécanique situé sur la batterie (pas celui du tableau de bord). Le mien a un centre rouge et un rond bleu autour quand tout va bien. L'absence du cercle indique un manque de charge et le cercle devient rouge sans point au centre s'il manque de l'électrolyte. Alors... comment est-ce donc que ça fonctionne ces capteurs là ? (je ne sais même pas comment ça s'appelle) Merci.... / DC2 • 1 septembre 2009 à 01:59 (CEST)
- Autrement appelé "oeil magique", c'est un pèse-acide intégré dans un des éléments de la batterie, dont la partie visible est le réfractomêtre. ViZiT (d) 2 septembre 2009 à 09:46 (CEST)
chute libre
modifierBonjour, j'aimerais connaître la vitesse maximale d'un corps en chute libre et pourqoi le corps ne peut plus accélerer sachant que l'accélération gravitationnelle est de 9.8m/s2. Merci!
- Ça dépend... Dans le vide, avec une accélération constante de 9.81 m/s² (et sans tenir compte des effets relativistes), il n'y a pas de limite (ou, elle est très loin). Mais, comme il s'agit de 9.8 m/s², on va considérer que c'est sur Terre au niveau de la mer et là, on est dans un cas de 'chute avec résistance de l'air'. La vitesse maximum est atteinte lorsque la 'force du vent' sur l'objet atteint la force provoquée par l'attraction gravitationnelle (F=g.m), c'est une question de poids et d'aérodynamisme. (Voir aussi Cx). (En négligeant la flottabilité, importante dans le cas d'un aérostat) -- Xofc [me contacter] 1 septembre 2009 à 06:18 (CEST)
- Je n'arrive plus à mettre la main sur les références, mais pour un parachutiste dont le parachute ne serait pas ouvert, on l'estime à environ 220 Km/h, là résistance de l'air sur le corps les vêtements, etc. l'empêchant d'aller au delà. Domingue
- Comment ça pas de limite ? J'ai bien envie de croire qu'étant donné un référentiel galiléen, un point matériel lâché sans vitesse initiale et soumis à son seul poids est limité par la vitesse de seconde libération
- (Voir aussi frottement visqueux)
- S.M. | D.S.M. (4) 1 septembre 2009 à 11:02 (CEST)
- mmm... la vitesse de libération en chute libre ... moi je dis plutôt que la limite de vitesse... bah c'est quand on touche le sol ! et puis c'est tout :) / DC2 • 1 septembre 2009 à 13:30 (CEST)
oui, c'est bien à cause du frottement de l'air qui exerce un force proportionnelle à la vitesse. Plus le corps va vite, plus il est freiné, à un moment, les deux forces (gravitationnelle et de friction) sont égales, et la vitesse limite est atteinte. Après, bien sur, nous sommes dans un mode fini, et la force de gravitation est créée par une planète ou une étoile, donc on s'arrête bien à un moment... Si on creusait un trou qui traverserait la Terre de part en part (trou blindé avec protection thermique pour passer près du noyau terrestre...), on tomberait, ressortirait de l'autre coté, mais avant la surface (perte d'énergie potentielle gravitationnelle à cause du frottement de l'air), puis on serait ré-attiré, on ferait donc une oscillation jusqu'à rester au centre de la terre, bien seul ! Manonoc (d) 1 septembre 2009 à 17:19 (CEST)
- J'aime bien ce mouvement perpétuel : chiche on le fait ! Qui a une perforeuse (pour faire le trou) ? :) en pure innocence ... / DC2 • 1 septembre 2009 à 19:00 (CEST)
- Cette expérience de pensée illustre parfaitement que le syndrome chinois est une idiotie. Si une masse radioactive s'enfonçait dans la Terre, elle s'arrêterait au centre, et ne ressortirait pas en Chine. --Seymour (d) 1 septembre 2009 à 23:18 (CEST)
- Désolé / DC2 • , mais comme le dit Manonoc, ça ne serait pas un mouvement perpétuel puisque le corps finirait par se stabiliser et s'arrêter au centre de la Terre...Je pense d'ailleurs que, même en dehors de la Terre, le mouvement perpétuel n'existe malheureusement pas (j'entends par perpétuel : qui ne s'arrête jamais...Jamais de jamais, qui dure à l'infini). -Deva (d) 2 septembre 2009 à 06:21 (CEST)
- Cette expérience de pensée illustre parfaitement que le syndrome chinois est une idiotie. Si une masse radioactive s'enfonçait dans la Terre, elle s'arrêterait au centre, et ne ressortirait pas en Chine. --Seymour (d) 1 septembre 2009 à 23:18 (CEST)
- Pour redevenir (à moitié) sérieux, c'est vrai que mon 'accélération constante de 9.81 m/s²' n'était pas très réaliste et que S.M. a raison mettre la limité à la vitesse de seconde libération. Dans la vie de tout les jours, cela ne joue pas vraiment, mais si on cherche vraiment à lâcher l'objet du plus haut possible, l'attraction due à la masse de la Terre diminue (évolue comme l'inverse du carré de la distance | a. m = F = G M m/d² => a = G.M/d²). Et donc, on n'ira pas aussi vite que l'on veut en le lâchant aussi haut que l'on peut. (Exercice : on lâche un petit poids de la hauteur de la Lune. 1- Quelle accélération y subit-il? 2- Combien de temps va-t-il mettre avant de s'écraser sur Terre? 3- Quelle sera sa vitesse juste avant l'impact (si on ignore les frottements?) ;-) -- Xofc [me contacter] 2 septembre 2009 à 07:26 (CEST)
- mouais, enfin, je ne suis pas d'accord : la direction et le sens de la chute comptent. Je ne vois pas bien en quoi la vitesse de libération serait "la" bonne limite quand on est en chute "vers le sol" en permanence... Quand on décolle : oui ! sinon... / DC2 • 2 septembre 2009 à 18:06 (CEST)
- Parce qu’on suppose implicitement que la vitesse initiale est nulle. En partant de l’infini, on atteint la vitesse de libération « quand on touche le sol ! et puis c'est tout. » rv1729 2 septembre 2009 à 21:59 (CEST)
- Mouai, j'avais en partie bien compris, mais bon, vouloir faire plus réaliste et ne pas tenir compte des frottements... enfin, bon... je maintiens que cette réponse me semble peu réaliste. :p / DC2 • 3 septembre 2009 à 11:56 (CEST)
Expérience « barbare » acquistion du langage.
modifierJe me souviens que lors de mes études de psycho un prof nous avait fait part du récit d'une expérience faite, je crois, en Russie du temps des Tsars, où on avait isolé un enfant de tout contact, le but était de savoir quel langue allait-il développé (latin/grec, russe?) évidemment l'enfant ne développera jamais le langage...
Je ne suis pas parvenu à retrouver trace de cette expérience, si ce n'est dans "Le cas Kaspar Hauser Autres possibilités Il a également été évoqué le fait que Kaspar Hauser ait été le fruit d'une expérience cruelle. Une question qui agita beaucoup le XVIIIe et le XIXe siècle était de savoir si un enfant éloigné de tout contact humain développerait ou non une sorte de langage, et quelle serait en ce cas la langue primale qui se dégagerait ainsi.
Pourriez-vous m'éclairer?
Merci
Denis (posté par Minibus32 (d · c · b) - 30 août 2009 à 21:49}}
- L'expérience est prêtée à Frédéric II du Saint-Empire (voir partie Une large ouverture d'esprit) et, contrairement à ta perception, elle n'avait rien de barbare, au contraire c'est la preuve d'un esprit éclairé et très en avance sur son temps en ce qui concerne la démarche de type scientifique. Par contre, question respect du droit des personnes, il fut nettement moins éclairé... -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 31 août 2009 à 00:14 (CEST)
- Hérodote rapporte déjà une telle expérience (mythique), mais je n'ai pas la référence sous la main. Félix Potuit (d) 31 août 2009 à 08:00 (CEST)
- C'est dans l'Enquête, II, 2, à propos du pharaon Psammétique III (Psammitichus). Cf. [5]. Les enfants auraient fini, après deux ans (...), par prononcer βεκός (bécos, soit pain en Phrygien) devant le souverain (mais Apollonius de Rhodes supposait qu'ils avaient prononcé bec, le cri des chèvres). ouala. Piero (d) 31 août 2009 à 14:20 (CEST) Merci Félix Potuit, pour la piste !
- Je ne suis pas expert en la matière, mais selon toute logique, si l'enfant n'est réellement exposé à aucun contact, il ne développera aucun langage du tout. Il n'y a qu'à voir l'exemple des personnes qui naissent sourdes, et qui donc n'ont jamais entendu parler les autres personnes : elles sont muettes...Du moins elles peuvent pousser de petits cris ou babiller, mais on ne peut pas vraiment parler de langage. -Deva (d) 31 août 2009 à 20:04 (CEST)
- Je suis d’accord sur le fait que l’expérience est très probablement fictive, et que le résultat en serait l’absence de langage ; mais je trouve l’argument de la surdité congénital insuffisant : le sourd ne s’entend pas parler, au contraire d’enfants élevés ensemble qui peuvent entendre leur propre babil et le babil de l’autre enfant. Enfin bref. rv1729 31 août 2009 à 23:37 (CEST)
- C'est dans l'Enquête, II, 2, à propos du pharaon Psammétique III (Psammitichus). Cf. [5]. Les enfants auraient fini, après deux ans (...), par prononcer βεκός (bécos, soit pain en Phrygien) devant le souverain (mais Apollonius de Rhodes supposait qu'ils avaient prononcé bec, le cri des chèvres). ouala. Piero (d) 31 août 2009 à 14:20 (CEST) Merci Félix Potuit, pour la piste !
- Hérodote rapporte déjà une telle expérience (mythique), mais je n'ai pas la référence sous la main. Félix Potuit (d) 31 août 2009 à 08:00 (CEST)
Je reviens sur cette discussion de la semaine dernière pour soulever un autre sujet: J'avais quant à moi lu dans un bouquin de Weber que les bambins étaient mort, ceci prouvant soi disant que le langage est vitale. Il est dit aussi sur l'article Frédéric II du Saint-Empire qu'ils sont également mort. Mais est-ce du à l'absence de langage? --LeBelot (d) 1 septembre 2009 à 08:49 (CEST)
- On dira : oui et non. C'est non si tu considères la seule absence de langage articulé humain : les cas restreints mais suffisants d'enfants sauvages montrent qu'un humain peut survivre dans un environnement sans langage humain ; c'est oui si tu prends le terme en un sens plus large : ce qui les a tué, et qui tue un certain nombre d'enfants chaque année, est l'absence de communication, ou pour le dire de manière encore plus large, l'absence de contacts. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 1 septembre 2009 à 09:03 (CEST)
- (conflit d'édith) On ne peut pas mourir d'absence de language. Ils sont peut-être donc mort d'autre chose (les morts infantiles n'étaient pas rare à l'époque). Bon, il est aussi possible qu'ils n'aient jamais existé.
- Pour le bouquin, vous voulez parler de Werber, non ? Si c'est le cas, ne croyez jamais ce qu'il écrit dans ses livres, ce n'est que de la fiction. Agrafian Hem Rarko (me parler) 1 septembre 2009 à 09:08 (CEST)
- tout à fait d'accord pour werber. sinon j'ai trouvé cette page sur le wiki anglophoneet ça résume les différentes "expériencesé. --Pytra (d) 1 septembre 2009 à 10:53 (CEST)
Dans la même idée, voir aussi La Dispute (Marivaux). Turb (d) 8 septembre 2009 à 16:58 (CEST)
Voie de bus
modifierBonjour,
Qui a le droit de circuler dans les voies de bus? Les bus, bien sûr, les taxis, la police/gendarmerie j'imagine. Je pose la question car j'y ait vu circuler des convoyeurs de fond. Ont-ils le droit de circuler dans les voies réservées aux bus (ou ont-ils pris le gauche?). Skiff (d) 1 septembre 2009 à 09:16 (CEST)
- Il n'y a pas de règle standard en France, C'est fixé par arrêté municipal ou d'échelon supérieur (cantonal ou départemental) pour des réseaux de transports publics intercommunaux, plus rarement par arrêté préfectoral. Le plus souvent, les seuls véhicules autres que ceux du réseau de transport qui peuvent emprunter ces couloirs sont ceux de la police et de la gendarmerie, non parce qu'on le précise mais parce qu'aucun arrêté ne peut le leur interdire, assez souvent on prévoit que les véhicules des sapeurs-pompiers et les ambulances peuvent y rouler en cas d'urgence, et certaines municipalités autorisent aussi leur usage par les deux-roues non ou faiblement motorisés.
- Quoi qu'il en soit, ces règlements prévoient toujours des dérogations pour les véhicules ne pouvant accéder à leur lieu d'activité qu'en empruntant brièvement un couloir de bus,ce qui est le cas des transports de fonds, mais si tu en vois qui y roulent sur une distance importante (cent mètres et plus) tu peux partir du principe qu'ils sont très probablement en tort. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 1 septembre 2009 à 10:22 (CEST)
- Rappelons que les taxis louent ce droit (c'est taxé : donc entre ça ou une amende ça se vaut) et que les ambulances simples (pas les véhicules du SAMU ou autres SMUR) ne sont pas des véhicules d'urgence ! (Les infirmiers n'ont pas la compétence ni le droit de transporter des malades non déjà stabilisés). / DC2 • 1 septembre 2009 à 13:29 (CEST)
- Et une ambulance transportant un convoyeur de fonds ? HaguardDuNord (d) 1 septembre 2009 à 16:30 (CEST).
- Et inversement ? Patschw
- Et une ambulance transportant un convoyeur de fonds ? HaguardDuNord (d) 1 septembre 2009 à 16:30 (CEST).
- Rappelons que les taxis louent ce droit (c'est taxé : donc entre ça ou une amende ça se vaut) et que les ambulances simples (pas les véhicules du SAMU ou autres SMUR) ne sont pas des véhicules d'urgence ! (Les infirmiers n'ont pas la compétence ni le droit de transporter des malades non déjà stabilisés). / DC2 • 1 septembre 2009 à 13:29 (CEST)
Merci à tous pour vos réponses. Skiff (d) 2 septembre 2009 à 07:17 (CEST)
courants vagabonds
modifierbonjour je voudrai savoir comment peut on eviter les courants vagabonds? --41.209.162.194 (d) 1 septembre 2009 à 10:53 (CEST)
- L'article courant vagabond donne les causes les plus fréquentes. Il faut donc chercher à éliminer les défauts d'isolation et/ou disposer d'une bonne 'terre' et tout brancher dessus...(?) -- Xofc [me contacter] 1 septembre 2009 à 12:02 (CEST)
- tu peux (faire) installer un disjoncteur différentiel 30 mA, pour plus de sureté. Après tu peux chercher quelle partie de ton système génère le pb, ou si c'est un courant extérieur qui te pose problème.
- Quels problèmes as-tu au fait ? Manonoc (d) 1 septembre 2009 à 17:31 (CEST)
- Soyons logiques : s'il y a trop de courants vers la terre, alors en avoir une "meilleure" ne ferait qu'augmenter ces courants... (Quand R diminue...) Là en plus on ne sait même pas de quelles circonstances on parle. Si un appareil a un défaut d'isolation, certes il faut réparer l'appareil concerné. Sinon, s'il s'agit de petits courants de fuites capacitives : leur présence est normale mais le total est supposé rester "faible" (relativement à l'installation). En fait pour qu'on vous réponde, il faudrait en effet savoir exactement les symptomes (et probablement pouvoir analyser les lieux). / DC2 • 1 septembre 2009 à 19:03 (CEST)
- Oui, mais, quand on subit des courants vagabonds provenant de l'extérieur? (Je ne suis pas spécialiste, mais on m'a une fois parlé d'un local où certains équipements (réseau informatique?) fonctionnaient quand on utilisait une prise de courant, mais pas quand on en utilisait une autre et c'était près d'une ligne de chemin de fer... (?))-- Xofc [me contacter] 2 septembre 2009 à 11:48 (CEST)
Bonjour,
J'ai remarque que meme les filles qui n'ont pas du tout de poitrine portent toujours un soutien-gorge. Comme c'est un peu deplace de leur demander directement, je vous pose la question: pourquoi portent-elles un soutien-gorge alors que de toute evidence, elles n'en ont pas plus besoin que les hommes. Est-ce que le soutien-gorge a une reelle utilite ou est-ce juste un accessoire de mode? Merci.
- Salut. La réponse est dans la question : si l'accessoire n'est pas utilisé dans le but que son nom semble induire c'est qu'on en use pour sa fonction esthétique. Par ailleurs, tu peux aussi le voir comme un élément de marquage du genre : porter un soutien-gorge indique qu'on se classe dans le genre féminin, d'où le port, fonctionnellement inutile, d'un haut de bikini par les fillettes et de soutien-gorge par les travestis. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 1 septembre 2009 à 12:52 (CEST)
- À quoi servirait sinon le wonderbra ? --Serged/♥ 1 septembre 2009 à 13:35 (CEST)
- (Étant très éloignée de la mode vestimentaire que je trouve absolument ridicule, ne côtoyant pas chaque jour mes siphonnés congénères, évidemment, je ne suis pas vraiment au fait de la chose ). > La mode et le souhait de se faire valoir (voir) comme une adulte bien que précoce peut-être ? L'appartenance à un sexe déterminé... Je répondrai comme Olivier Hammam ci-dessus. Mais : ne généralisons pas s.v.p le comportement de quelques filles ! .Anja. (d) 1 septembre 2009 à 13:42 (CEST)
- Voir aussi la documentation sur cette page. - Mu (d) 1 septembre 2009 à 14:02 (CEST)
- (Étant très éloignée de la mode vestimentaire que je trouve absolument ridicule, ne côtoyant pas chaque jour mes siphonnés congénères, évidemment, je ne suis pas vraiment au fait de la chose ). > La mode et le souhait de se faire valoir (voir) comme une adulte bien que précoce peut-être ? L'appartenance à un sexe déterminé... Je répondrai comme Olivier Hammam ci-dessus. Mais : ne généralisons pas s.v.p le comportement de quelques filles ! .Anja. (d) 1 septembre 2009 à 13:42 (CEST)
- On peut cacher pas mal de choses dans un soutien-gorge : des billets doux, des billets de banque, de la drogue, un téléphone portable, des boules de pétanque,
une table de camping pliante... Félix Potuit (d) 1 septembre 2009 à 14:11 (CEST)- --TwøWiñgš Boit d'bout 1 septembre 2009 à 16:33 (CEST)
- C'est toujours mieux une fille qui n'a pas ou peu de poitrine qui porte un soutien gorge plutôt qu'une fille qui à une énoooorme poitrine (genre bonnet D ou E) qui ne porte pas de soutien gorge (parce que ça pendouille...)-Deva (d) 2 septembre 2009 à 06:28 (CEST)
- Pas d'accord, naturisme powa! :-D .: Guil :. causer 2 septembre 2009 à 08:34 (CEST)
- on va pas discuter des gouts et des couleurs, mais je parierai volontiers que dans certaine circonstance tu marquerais une nette préférence pour l'absence d'accessoire vestimentaire, quelque soit la taille du bonnet ;-) gem (d) 4 septembre 2009 à 16:32 (CEST)
- C'est toujours mieux une fille qui n'a pas ou peu de poitrine qui porte un soutien gorge plutôt qu'une fille qui à une énoooorme poitrine (genre bonnet D ou E) qui ne porte pas de soutien gorge (parce que ça pendouille...)-Deva (d) 2 septembre 2009 à 06:28 (CEST)
- --TwøWiñgš Boit d'bout 1 septembre 2009 à 16:33 (CEST)
« Petit village au grand nom rendu célèbre par son barde, qui l'a chanté et rechanté à travers ses personnages légendaires, Natashquan a gardé tout le charme et sa poésie «d'avant la route». On y arrive préférablement avec le CD d'accompagnement routier, un guide audio disponible à 150 kilomètres et plus avant d'arriver au village. »
Malheureusement, l'article n'indique pas la signification (ni la langue) du grand nom rendu célèbre, quelqu'un aurait-il l'information ?
Merci d'avance. --Szyx (d) 1 septembre 2009 à 16:01 (CEST)
- Pourtant, plus bas tu as une rubrique "Personnalités", où sont cité deux chanteurs connus, c'est un indice... Non, ce n'est pas Gilbert Bécaud. --Serged/♥ 1 septembre 2009 à 16:23 (CEST)
- Non, je parle de la signification du nom du village, Natashquan (pas du nom du barde, relit la phrase). --Szyx (d) 1 septembre 2009 à 16:25 (CEST)
- Hum, voilà qui m'a l'air d'un bon gros copyvio sauvage, que je pose en commentaire. Un renvoi vers une source quelconque ferait mieux notre affaire. gem (d) 3 septembre 2009 à 16:51 (CEST)
- C'est bien vrai. Allez, un bon coup de balai, et voilà l'affaire ! -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 3 septembre 2009 à 17:04 (CEST)
- Pourtant, plus bas tu as une rubrique "Personnalités", où sont cité deux chanteurs connus, c'est un indice... Non, ce n'est pas Gilbert Bécaud. --Serged/♥ 1 septembre 2009 à 16:23 (CEST)
- D'après [6] “Le terme Nutashkuan a pour traduction la plus exacte «là où l’on chasse l’ours»” (en langage innu). --Serged/♥ 1 septembre 2009 à 16:32 (CEST)
- Merci beaucoup . Accessoirement, l'article aurait besoin d'être réécrit dans un style un peu plus encyclopédique, non ? --Szyx (d) 1 septembre 2009 à 17:11 (CEST)
- Sur le site memoireduquebec.com dans l'article Natashquan (municipalité de canton), on donne : « Natashquan vient d'un mot montagnais composé de nat signifiant «aller», «quérir» et ask signifiant «ours», le tout signifiant “là où l'on chasse l'ours”, ou “là où on a pris l'ours noir”, ou “aller chasser l'ours” ». -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 1 septembre 2009 à 17:15 (CEST)
Bonjour, est-ce que quelqu'un connaît ce qui est caché sous l'acronyme COREP lorsqu'on fait référence à la société de reprographie (connue des étudiants français!) --TwøWiñgš Boit d'bout 1 septembre 2009 à 16:11 (CEST)
- Copie-reprographie ? --Serged/♥ 1 septembre 2009 à 16:25 (CEST)
- Ben j'avais aussi pensé à Copie-reproduction mais j'aurai aimé avoir une réponse sûre (avec source si possible évidemment!) --TwøWiñgš Boit d'bout 1 septembre 2009 à 16:32 (CEST)
- Ça semble être un acronyme de « Copie Service - Reprographie », voir sur le site de la boîte. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 1 septembre 2009 à 17:21 (CEST)
- D'après euridile, il y a aussi l'enseigne SARL Correspondance Reproduction Assistance, qui a le sigle COREP Assistance (31400 Toulouse). Celle d'O.M.H, semble dépendre de SEMACO, elle aussi à Toulouse, toute les deux dans le secteur 8219Z - Photocopie, préparation de documents et autres activités spécialisées de soutien de bureau. Peut-être la même société, mais pas sur. Piero (d) 1 septembre 2009 à 19:01 (CEST)
- En effet, c'est la même : une recherche "Correspondance Reproduction Assistance" via Google donne accès à ce résultat ; une recherche COREP dans les "Pages Jaunes" renvoie un « Corep, 15 r Albert Lautman 31000 TOULOUSE », donc même adresse que l'autre résultat, avec un lien vers son site qui est... http://www.corep.fr/fr/repro-copie/ que j'indiquais plus haut. Conclusion : COREP signifie « quelque chose » qui est un peu ce qu'on veut... -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 1 septembre 2009 à 20:14 (CEST)
- OK merci à vous tous. --TwøWiñgš Boit d'bout 2 septembre 2009 à 09:54 (CEST)
- En effet, c'est la même : une recherche "Correspondance Reproduction Assistance" via Google donne accès à ce résultat ; une recherche COREP dans les "Pages Jaunes" renvoie un « Corep, 15 r Albert Lautman 31000 TOULOUSE », donc même adresse que l'autre résultat, avec un lien vers son site qui est... http://www.corep.fr/fr/repro-copie/ que j'indiquais plus haut. Conclusion : COREP signifie « quelque chose » qui est un peu ce qu'on veut... -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 1 septembre 2009 à 20:14 (CEST)
- D'après euridile, il y a aussi l'enseigne SARL Correspondance Reproduction Assistance, qui a le sigle COREP Assistance (31400 Toulouse). Celle d'O.M.H, semble dépendre de SEMACO, elle aussi à Toulouse, toute les deux dans le secteur 8219Z - Photocopie, préparation de documents et autres activités spécialisées de soutien de bureau. Peut-être la même société, mais pas sur. Piero (d) 1 septembre 2009 à 19:01 (CEST)
Cormoran et Noé
modifierBonjour
où, dans la Bible, Noé maudit-il le cormoran ?
Merci beaucoup
- Essaie La Bible sur Wikisource, spécialement la Genèse, partie « Déluge ». Si cette anecdote est rapportée dans cet ouvrage, ça se trouvera là. Perso, je n'ai rien trouvé de tel... -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 1 septembre 2009 à 23:12 (CEST)
- En complément. Autant qu'il semble, les seules parties ou le cormoran apparaisse sont le Deutéronome et le Lévitique, et dans les deux cas pour la même raison : il fait partie de la longue liste des animaux faisant l'objet d'un interdit alimentaire. Lévitique : « Voici, parmi les oiseaux, ceux que vous aurez en abomination, et dont on ne mangera pas : l'aigle, l'orfraie et l'aigle de mer ; [...] le cygne, le pélican et le cormoran ; [...] » ; Deutéronome : « Vous mangerez tout oiseau pur. Mais voici ceux dont vous ne mangerez pas : l'aigle, l'orfraie et l'aigle de mer ; [...] le pélican, le cormoran et le plongeon ; [...] ». -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 2 septembre 2009 à 00:02 (CEST)
- Et aussi. Les parties du Coran qui traitent du déluge ne font pas mention d'un tel incident. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 2 septembre 2009 à 00:30 (CEST)
- Justement je n'avais pas trouvé plus. Enfin c'est indiqué dans le figaro récent, mais sans explication. Tout comme l'article ici et semble-t-il selon les commentaires du figaro, dans linternaute.com. Si personne ne trouve rien, il faudra probablement supprimer le passage sur Noé dans l'article Cormoran.
- Merci
- J'ai retrouvé le coupable ! Il s'agit de Klipper (d · c · b). Du coup, je lui ai demandé de préciser dans l'article sa source pour l'anecdote, et s'il n'y en a pas il ne restera qu'à la supprimer de l'article.
- Fait assez étonnant, l'ajout a tenu plus de trois ans avant d'être mise en doute grâce à cette question. Il a même été « amélioré » (wikification, rationalisation, ajout de titre) à plusieurs reprises... Ah ça ! La culture biblique se perd ! Tout ça, c'est à cause de la bombe atomique... -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 2 septembre 2009 à 08:27 (CEST)
- Quel rapport avec la bombe atomique ? Agrafian Hem Rarko (me parler) 2 septembre 2009 à 08:56 (CEST)
- C'est avec des mentions de ce genre qu'on trahit son âge... antédiluvien. Dans les années 1960-1670 l'un des running gags les plus courants était de tout mettre sur le compte de la bombe atomique : l'inflation, la crise économique, le (supposé, à l'époque) dérèglement climatique, la montée du prix du pétrole, l'inculture historique, politique ou religieuse, etc. La phrase canonique était, « Ah ! Ma bonne dame / mon bon monsieur, tout ça c'est à cause de la bombe atomique ! ». -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 2 septembre 2009 à 10:00 (CEST)
- Sacré époque. Agrafian Hem Rarko (me parler) 2 septembre 2009 à 10:11 (CEST)
- C'est avec des mentions de ce genre qu'on trahit son âge... antédiluvien. Dans les années 1960-1670 l'un des running gags les plus courants était de tout mettre sur le compte de la bombe atomique : l'inflation, la crise économique, le (supposé, à l'époque) dérèglement climatique, la montée du prix du pétrole, l'inculture historique, politique ou religieuse, etc. La phrase canonique était, « Ah ! Ma bonne dame / mon bon monsieur, tout ça c'est à cause de la bombe atomique ! ». -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 2 septembre 2009 à 10:00 (CEST)
- Quel rapport avec la bombe atomique ? Agrafian Hem Rarko (me parler) 2 septembre 2009 à 08:56 (CEST)
- Triste chose : pas de sources donc passage supprimé. Dommage, l'histoire me plaisait bien... -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 2 septembre 2009 à 10:59 (CEST)
Texte de loi sur le droit des étrangers.
modifierBonjour les phyties et bonne rentrée.
Malgré mes recherches dans les articles et liens externes sur légifrance, je bute sur une référence: quel est le texte du début juillet 2009 transmis aux consulats français qui impose désormais qu'un étranger dont le titre de séjour ( pas seulement un récépissé de première demande, mais un titre de résident de 10 ans ) expire durant un séjour en dehors du territoire français ne peut plus bénéficier du visa de retour en France préfectoral ( ça j'ai trouvé, mars 2009 ), mais non plus du visa de retour consulaire, et doit refaire à partir de zéro une demande regroupement familial ?
Merci, et si une phytie connait un indice, elle aura un karma à illuminer l'univers . ViZiT (d) 2 septembre 2009 à 10:19 (CEST)
- Sans le jurer, le décret n° 2009-477 du 27 avril 2009 relatif à certaines catégories de visas pour un séjour en France d'une durée supérieure à trois mois est peut-être le texte que tu cherches : j'ai commencé à lire les articles de la partie réglementaire du Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile mais j'ai renoncé à le faire jusqu'au bout. Le décret était applicable au 1° juin 2009. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 2 septembre 2009 à 10:56 (CEST)
- Une recherche secondaire semble confirmer que c'est ce texte, par contre il ne paraît pas rendre plus difficile, ni plus facile d'ailleurs, le renouvellement ou l'obtention de titres de séjours à l'étranger, il s'agit surtout d'un changement des modalités administratives, ses effets principaux ayant plutôt lieu lors du séjour en France (moins de paperasses mais titre plus précaire qu'auparavant). -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 2 septembre 2009 à 11:11 (CEST)
- Merci Olivier,
- en effet toutes les recherches mènent vers ces articles. Néanmoins il s'agit là d'un cas particulier qui ne semble pas se trouver dans ces textes.
- Ma belle-sœur s'est rendue en vacances en Turquie avec ses quatre enfants, son titre de résident est arrivée à expiration neuf jours avant son retour prévu le 18 aout, elle a été refoulée à la frontière. Trois de ses enfants ont poursuivi le voyage avec leurs titres de circulation des mineurs auprès de leur père qui était resté en France pour son travail, elle est restée en Turquie avec son bébé.
- Le consulat a, dans un premier temps, conseillé le visa de retour consulaire, puisque le visa de retour préfectoral n'existe plus.
- Démarches et déplacements faites, le consulat a annoncé que ce visa ne pouvait être délivré suite à un texte du début juillet ( pas plus d'informations, les consulats n'ont pas à motiver leur refus ), et que son mari devait faire une demande de regroupement familial, avec les délais que cela suppose.
- Le plus amusant étant que le service des étrangers de la préfecture n'a pas connaissance d'un tel texte de loi, et se dit prêt à soutenir leur retour, que le consulat n'a qu'à les contacter.
- Bref, je ne sais même pas si une telle loi existe, ou si c'est juste une erreur d'interprétation couteuse et gênante.
- J'essaie donc de réunir le maximum d'informations pour régler cette situation au plus vite, avant d'en arriver à m'énerver sérieusement. ViZiT (d) 2 septembre 2009 à 12:06 (CEST)
- Sur le site du GISTI (Groupe d'information et de soutien des étrangers), on trouve cet article qui peut concerner la question http://www.gisti.org/spip.php?article1664 dont le titre est « L’Anafé dépose un recours contre la note de la PAF du 25 mai 2009 » (voir aussi http://www.anafe.org/index.php et http://www.anafe.org/doc/communiques/com-113.html).
Geralix (d) 2 septembre 2009 à 12:19 (CEST)- Merci, ces textes concernent les cas de récépissé de première demande, ma belle-sœur réside en France depuis plus de vingt ans, y a travaillé ( en congé maternité actuellement ), y a eu quatre enfants et y est co-propriétaire d'une maison. Je ne crois pas que l'administration soit conne au point d'estimer que si son titre de séjour expire durant ses vacances à l'étranger, elle perd tous ses droits ? Si ? ViZiT (d) 2 septembre 2009 à 13:24 (CEST)
- Il ne faut pas douter de la capacité de nos législateurs à produire des situations administratives aberrantes... j'ose tout de même espérer qu'il existe des facilités pour renouveler son titre de séjour, même depuis l'étranger. Bon courage en tout cas ! Asheka [la vie est belle] 2 septembre 2009 à 15:10 (CEST)
- Petit ajout : en explorant le blog de maître Eolas, qui donne des infos sur le droit des étrangers en France (attention, c'est souvent déprimant) Asheka [la vie est belle] 2 septembre 2009 à 15:26 (CEST)
- Merci Asheka, le blog de maître éolas est en bonne place avec l'Oracle dans mes marque-pages. La solution préconisée par le consulat est une demande de regroupement familial, qui prend des mois, souvent plus d'une année, qui ne peut être lancée qu'après trois mois après expiration du titre de séjour...et en attendant le bébé arrête son suivi médical puisqu'ils ne bénéficient pas de la couverture sociale en Turquie, sans compter tous les autres problemes financiers, familiaux, moraux et logistiques que cette situation implique.
- J'espérais juste trouver un article de loi de derrière les fagots qui bousille leur prétendu texte, puisqu'une solution plus rapide doit exister. Je sens que cela va apparaître si le dossier de regroupement est déposé, un fonctionnaire va dire : <<Ah, mais, vous auriez du...!>>. ViZiT (d) 2 septembre 2009 à 18:51 (CEST)
- C'est ce que je pense aussi : quel que soit le pays ou l'administration concernés, on s'aperçoit souvent que les règlements sont largement à la discrétion des fonctionnaires, le truc étant de tomber, à force de revenir réclamer, sur le plus coulant qui dira, « Pas de problème, je vais vous arranger ça ! » . -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 2 septembre 2009 à 19:02 (CEST)
- C'est couru d'avance . Dommage que ma belle-sœur réside a trois heures de trajet du consulat, et que les rendez-vous sont donnés pour la semaine suivante. ViZiT (d) 2 septembre 2009 à 19:21 (CEST)
- C'est ce que je pense aussi : quel que soit le pays ou l'administration concernés, on s'aperçoit souvent que les règlements sont largement à la discrétion des fonctionnaires, le truc étant de tomber, à force de revenir réclamer, sur le plus coulant qui dira, « Pas de problème, je vais vous arranger ça ! » . -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 2 septembre 2009 à 19:02 (CEST)
- Merci, ces textes concernent les cas de récépissé de première demande, ma belle-sœur réside en France depuis plus de vingt ans, y a travaillé ( en congé maternité actuellement ), y a eu quatre enfants et y est co-propriétaire d'une maison. Je ne crois pas que l'administration soit conne au point d'estimer que si son titre de séjour expire durant ses vacances à l'étranger, elle perd tous ses droits ? Si ? ViZiT (d) 2 septembre 2009 à 13:24 (CEST)
- Remarque, en, Turquie, on jette dans un cul de basse-fosse les touristes qui ont eu l'imprudence d'acheter un caillou dans la rue... c'est peut-être une mesure de rétorsion ? Blague à part, je compatis, je me suis assez battu contre l'administration française à propos d'une personne étrangère non-Schengen... son but semblant être de pourrir la vie aux gens de bonne foi et dans leur bon droit, et de laisser passer les autres. Félix Potuit (d) 2 septembre 2009 à 12:31 (CEST)
- Remis par ViZit : "On peut rire de tout, mais pas avec n'importe qui". Cela me ferait mal que le mot de la fin de Félix passe a la trappe, il manquerait quelque chose. ViZiT (d) 2 septembre 2009 à 23:06 (CEST) Enfin quelqu'un qui me comprend... Merci, ViZit. Félix Potuit (d) 3 septembre 2009 à 08:24 (CEST) - Promis, je ne le ferai plus . -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O-
- Sur le site du GISTI (Groupe d'information et de soutien des étrangers), on trouve cet article qui peut concerner la question http://www.gisti.org/spip.php?article1664 dont le titre est « L’Anafé dépose un recours contre la note de la PAF du 25 mai 2009 » (voir aussi http://www.anafe.org/index.php et http://www.anafe.org/doc/communiques/com-113.html).
Mise a jour Vendredi 04 Septembre 2009 : Suite à un courrier reprenant les faits ci-dessus, la Consule adjointe a donné rendez-vous pour lundi matin pour régler cette situation au plus vite. Donc la madame devrait être de retour courant semaine prochaine. Merci à tous pour vos conseils et références. ViZiT (d) 4 septembre 2009 à 12:39 (CEST)
- Heureux de voir que tout ça semble devoir se régler au plus vite et au mieux. J'ai tendance à penser que les êtres humains sont vraiment humains, donc que ta consule agit en fonction de critères moraux, en même temps j'ai constaté à diverses reprises que les administratifs (du public comme du privé) ont une nette tendance à être plus conciliants quand ils ont affaire à des « administrés » qui semblent mieux connaître la loi qu'eux . -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 4 septembre 2009 à 13:59 (CEST)
- Hmm... pour être moi-même fonctionnaire, je rectifie : nous sommes des êtres humains, et sommes donc plus conciliants avec les gens qui nous parlent poliment qu'avec ceux qui entament la conversation en nous disant qu'on est un tas de bons à rien qui passons notre temps à emmerder les brave gens (le fonctionnaire que vous avez en face de vous n'est pas législateur, il ne fait pas les règles de gestion de ses dossiers, il essaie seulement de les appliquer avec humanité). Sinon, quand quelqu'un semble connaître mieux la règlementation que moi, je fais des recherches pour vérifier ce qu'il me dit. Asheka [la vie est belle] 4 septembre 2009 à 15:12 (CEST)
- Mon cher, je ne visais pas les fonctionnaires mais les administratifs, ou bureaucrates, qu'on trouve aussi bien dans le privé que dans le public ; et en outre, comme dit, je présume que ce sont des êtres humains, présomption qui est le plus souvent vérifiée, précisément parce que je fais partie des « gens qui [vous] parlent poliment » et ai le plus souvent en retour une attitude similaire (politesse et bonne volonté). Reste que, chez les administratifs comme dans tout autre corps, il y a une frange d'irréductibles connards, et que pour ceux-là faire la démonstration qu'on pourrait, si nécessaire, être encore plus con et salaud qu'eux, est d'une efficacité certaine. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 4 septembre 2009 à 15:34 (CEST)
- PS. Je viens de voir ma maladresse d'expression : je ne voulais pas dire (ce que j'ai pourtant écrit), « j'ai constaté [...] que les administratifs » mais « j'ai constaté [...] que certains administratifs ». Mes excuses : j'ai rarement de problèmes avec qui que ce soit, dont les administratifs. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 4 septembre 2009 à 15:39 (CEST)
- Ta plus grande maladresse, c'est de me répondre en disant "mon cher" Asheka [la vie est belle] 4 septembre 2009 à 16:29 (CEST)
- Que nenni ! Tu m'es cher, ou chère, comme me le sont toutes les personnes que je ne connais pas et qui me sont chères car participant de notre commune humanité . Allez, va pour : ma chère. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 4 septembre 2009 à 16:41 (CEST)
- Ta plus grande maladresse, c'est de me répondre en disant "mon cher" Asheka [la vie est belle] 4 septembre 2009 à 16:29 (CEST)
- Hmm... pour être moi-même fonctionnaire, je rectifie : nous sommes des êtres humains, et sommes donc plus conciliants avec les gens qui nous parlent poliment qu'avec ceux qui entament la conversation en nous disant qu'on est un tas de bons à rien qui passons notre temps à emmerder les brave gens (le fonctionnaire que vous avez en face de vous n'est pas législateur, il ne fait pas les règles de gestion de ses dossiers, il essaie seulement de les appliquer avec humanité). Sinon, quand quelqu'un semble connaître mieux la règlementation que moi, je fais des recherches pour vérifier ce qu'il me dit. Asheka [la vie est belle] 4 septembre 2009 à 15:12 (CEST)
42?
modifierBonjour à tous et au Grand Oracle. Ma question est la suivante: quelle est la réponse à 42? On m'a répondu quelque chose qui ne m'a pas satisfait, c'était: La grande question sur la vie, l'univers et le reste . Donc que signifie, qu'est-ce que ou qui est 42? Merci de bien vouloir répondre à ma question . Salutations cordiales, --Joe_La_Truite (d) 2 septembre 2009 à 15:54 (CEST).
- Tu en sauras plus en lisant Le Guide du voyageur galactique (pas seulement l'article hein, mais le livre lui-même). Non seulement tu en apprendras plus sur La grande question sur la vie, l'univers et le reste, mais tu feras travailler tes zygomatiques au passage ! Asheka [la vie est belle] 2 septembre 2009 à 16:02 (CEST)
- Mais voyons ! 42 est une réponse ! Il n'y a pas de réponse à une réponse... Pour mémoire :
- Et bien sûr, si ta question réclame la réponse ultime, ce sera 42. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 2 septembre 2009 à 16:51 (CEST)
Pas compliqué, 42 c'est l'âge du capitaine. C"est une référence, quoi, et une fin de non recevoir. "La réponse ultime est 42" est une pirouette, une boutade pour dire qu'on sait pas tout. Mais effectivement c'est pas clair, c't'histoire de dire "sachez néanmoins que la réponse ultime est 42". Bien sûr il y a le lien bleu, on cherche un peu mais on a du mal à comprendre. Moi je viens de comprendre ce soir seulement, là maintenant, que c'est une référence littéraire. Un livre qui parle de la réponse ultime. Perso je dis qu'il y a du jeu dans les mots. Francis Martin (d) 2 septembre 2009 à 22:39 (CEST)
- Il suffisait de lire l'article consacré. Il est en lien bleu dans le bandeau et puis "42" recherché via Wiki, peut y mener aussi grâce aux lien d'homonymie. Mais c'est vrai que de lire l'oeuvre entière sera plus instructif (et plus marrant). Bonne lecture. --Deva (d) 3 septembre 2009 à 06:15 (CEST)
Comme le disait Douglas Adams (cf l'article cité ci-dessus): « La réponse à ceci est très simple. C'était une plaisanterie. Ce devait être un nombre, ordinaire et plutôt petit, et j'ai choisi celui-ci. Les représentations binaires, la base treize, les moines tibétains ne sont que des balivernes. Je me suis assis à mon bureau, j'ai regardé dans le jardin et je me suis dit « 42 ira » et je l'ai écrit. Fin de l'histoire. » --TwøWiñgš Boit d'bout 3 septembre 2009 à 10:22 (CEST)
l'association mondiale
modifierBonsoir. Je voudrais créer une association qui s'appellerait "l'association mondiale pour construire un habitat et un environnement sains, réguler l'économie mondiale et harmoniser les relations". Pouvez vous me dire comment faire? Merci. Francis Martin (d) 2 septembre 2009 à 22:30 (CEST)
- Au niveau mondial ? Dur, même l'ONU, les ONG ou la croix-rouge ne sont pas mondiaux. A moins de créer pays par pays, ou de nommer simplement votre association comme ça...Au niveau de la France, c'est par là. ViZiT (d) 2 septembre 2009 à 23:14 (CEST)
- Je vous conseille aussi d'utiliser l'acronyme. Ça donnerai à peu près : AMCHESREMHR...et encore je n'ai pas utilisé les petits mots......Même comme ça, c'est un peu long...Non ? Je pense, vu l'idée, que vous pourriez la rebaptiser : Association Mondiale Originale et Nouvelle de Création de l'Utopie...Ok désolé pour l'acronyme...Je sors...--Deva (d) 3 septembre 2009 à 06:17 (CEST)
- Sinon, vous pouvez vous inspirer de la biographie d'utopistes célèbres comme Paul Otlet et Henri La Fontaine qui planifiaient une 'Cité mondiale'. -- Xofc [me contacter] 3 septembre 2009 à 08:42 (CEST)
- Je vous conseille aussi d'utiliser l'acronyme. Ça donnerai à peu près : AMCHESREMHR...et encore je n'ai pas utilisé les petits mots......Même comme ça, c'est un peu long...Non ? Je pense, vu l'idée, que vous pourriez la rebaptiser : Association Mondiale Originale et Nouvelle de Création de l'Utopie...Ok désolé pour l'acronyme...Je sors...--Deva (d) 3 septembre 2009 à 06:17 (CEST)
Réacteur nucléaire
modifierBonjour,
Le contrôle des réacteur nucléaire est fait par des barres de contrôle qui absorbe les neutrons. Lorsque que les barres descende l'238U situé en haut cesse de fissioner tandis que celui en bas continue de fissioner et ce tant que les barres ne sont pas totalement descendues. Je sais que la puissance ne se module pas comme le son de ma chaine hifi, mais la puissance mise sur le réseau varie quand même un peu au cours de la journée. Les barres descendent donc un peu en fonction de la puissance désirée. Question: comment fait-on pour que l'238U sont usé uniformément en haut et en bas? Skiff (d) 2 septembre 2009 à 22:47 (CEST)
- Et qui a dit que les pastilles de combustibles s'usaient uniformément ? le pilotage de la réaction en chaîne n'en fait pas mention, précise même le contraire. mais la partie recyclage précise bien que les résidus sont réutilisés plusieurs cycles, donc si on met les pastilles du bas en haut... J'aurais du mieux suivre lors de mon stage à Cattenom ViZiT (d) 2 septembre 2009 à 23:33 (CEST)
- Les centrales nucléaires sont des dispositifs à très haute inertie. Comme la variation de la demande d'électricité dans la journée est importante, il est possible de déconnecter un réacteur du réseau (la chaleur produite est alors envoyée (et perdue) dans les tours de refroidissement), ou, et c'est moins connu, d'utiliser le courant pour remonter de l'eau du bas d'un barrage en haut. On peut aussi inciter certains consommateurs à utiliser le courant dans les heures creuses. Je n'ai jamais pu savoir comment on régulait les variations instantanées. Je suppose que l'on tolère un légère sur tension, ou que l'on joue sur la fréquence.
- Je doute qu'on puisse déconnecter une centrale, mais il y a une page sur le pompage-turbinage. Et, en Belgique, nous avons la centrale de Coo-Trois-Ponts, une grosse 'batterie' d'une capacité de 5 Gwh. La réponse à la question devrait se trouver quelque part dans les articles 'réseau électrique', 'centrale nucléaire' et 'réacteur nucléaire'. -- Xofc [me contacter] 3 septembre 2009 à 11:57 (CEST)
- Remonter l'eau vers le haut des barrages grâce à l'énergie nucléaire, ça, c'est une idée que je n'aurais jamais eu tout seul... Ça ouvre effectivement des perspectives fabuleuses... Ces technocrates, quels types, tout de même. Félix Potuit (d) 4 septembre 2009 à 09:17 (CEST)
- Je doute qu'on puisse déconnecter une centrale, mais il y a une page sur le pompage-turbinage. Et, en Belgique, nous avons la centrale de Coo-Trois-Ponts, une grosse 'batterie' d'une capacité de 5 Gwh. La réponse à la question devrait se trouver quelque part dans les articles 'réseau électrique', 'centrale nucléaire' et 'réacteur nucléaire'. -- Xofc [me contacter] 3 septembre 2009 à 11:57 (CEST)
- Sans y connaitre grand chose, je pense comme Vizit que tu te pose probablement une question inutile : en pratique, la différence d'usure entre le "haut" et le "bas" doit être faible, notamment parce que l'électronucléaire est d'autant plus intéressant qu'il fonctionne plus, et que c'est donc la dernière électricité qu'on module (après avoir stopper tout le reste et les exports, et remplit tous les réservoirs). Si ce n'était pas le cas, et que ça pose vraiment problème, le premier moyen de le régler est de moduler la charge initiale en tenant compte des habitudes de contrôle : si le haut s'use à 90% quand le bas est à 100%, il suffit de mettre au départ une charge en haut de 90% de celle du bas pour qu'à la fin il reste à peu près rien partout. On peut aussi prévoir des barres un peu plus subtiles que "tout ou rien sur le haut du cœur " : par exemple des faisceaux de barres qu'on enfonce toujours à fond, mais qui n'absorbe qu'un peu, et dont règle la capacité d'absorption par le nombre enfoncé (et la position). gem (d) 4 septembre 2009 à 12:30 (CEST)
- Les centrales nucléaires sont des dispositifs à très haute inertie. Comme la variation de la demande d'électricité dans la journée est importante, il est possible de déconnecter un réacteur du réseau (la chaleur produite est alors envoyée (et perdue) dans les tours de refroidissement), ou, et c'est moins connu, d'utiliser le courant pour remonter de l'eau du bas d'un barrage en haut. On peut aussi inciter certains consommateurs à utiliser le courant dans les heures creuses. Je n'ai jamais pu savoir comment on régulait les variations instantanées. Je suppose que l'on tolère un légère sur tension, ou que l'on joue sur la fréquence.
- Bonjour. D'abord, sans vouloir passer pour un rabat-joie, c'est l'U-235 qui fissionne, pas tellement l'U-238. Ceci étant dit, ça ne change pas grand'chose à la réponse.
- Ensuite, il faut bien voir que les neutrons ont une distribution très lissée, et que mettre plus ou moins de barre ne change pas radicalement la forme du nuage neutronique, qui est assez lisse - ça change juste son intensité globale. Ceci étant dit, c'est vrai que la puissance d'un réacteur de type classique PWR s'exprime un peu plus en bas (là où généralement il n'y a pas de barre) qu'en haut (où les barres sont généralement présentes). Ça pourrait se compenser par une différence du taux d'enrichissement le long des barres, ou par l'insertion de mécanismes fixes d'absorbtion de neutrons, mais en réalité la solution est beaucoup plus simple : ça n'a pas d'importance que l'uranium soit usé uniformément entre le haut et le bas. Il y a des différences d'irradiation, et ces différences conduisent à des différences d'usure entre le haut et le bas des éléments combustibles. En quoi est-ce un problème?...
- Biem (d) 4 septembre 2009 à 22:08 (CEST)
- Merci tout d'abord d'avoir relevé ma boulette sur les isotopes et ensuite pour la réponse. Ma question venait de la lecture du fil suivant, qui indique que la puissance d'un réacteur peut être modulée (un peu) en fonctionnement normal. Comme cela se fait par des barres qui descende, je me demandais comment on faisait pour que l'usure du combustible soit complete. En y reflechissant un peu, j'ai vaguement entendu parler d'injection de bore (ou de sel de bore?) dans le circuit primaire pour faire baisser l'intensité neutronique, peut être que c'est cela que c'est ce procédé qui est utilisé en fonctionnement normal, les barres étant réservées aux situations d'urgence, ou pour l'arrêt du coeur. Skiff (d) 6 septembre 2009 à 17:01 (CEST)
- Je n'y connais peu là-dedans, mais assez pour te proposer une autre approche des choses : les barres dont tu parles sont probablement des barres de graphite qui sont, comme le dit notre article, utilisées en tant que modérateurs dans des réacteurs nucléaires. Quand on utilise ces barres, les autres éléments sont des modérateurs secondaires et non, comme tu sembles le croire, le graphite un modérateur secondaire de modérateurs primaires. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 6 septembre 2009 à 17:38 (CEST)
- Tu as effectivement raison, avec l’insertion des barres de commande, l’usure du combustible n’est pas uniforme sur toute la hauteur. Tout d’abord, il faut rappeler que dans les REP (réacteurs construits en France par exemple) les barres de contrôle sont constituées de matériau absorbant les neutrons. Cela peut être un alliage AIC (Argent Indium Cadmium) ou bien du Carbure de Bore (B4C).
- L’usure moins forte en haut des assemblages combustibles est due principalement à 2 facteurs. D’une part l’insertion des barres de commande comme tu le mentionnais, pour éviter cela, les variations de puissance lentes (réduction de charge pour la nuit par exemple) sont réalisées en faisant varier la concentration de Bore (sous forme d’acide borique, qui absorbe les neutrons) de l’eau du circuit primaire. Pour des réduction de puissance plus rapides ou bien de court terme ou utilise les barres (ou grappes) de commande. D’autre part, le coefficient modérateur de l’eau varie sur la hauteur du cœur. En effet, pour que la réaction nucléaire ait lieu, il faut que les neutrons émis soient ralentis (on dit modérés), c’est l’eau qui joue ce rôle. Malheureusement, plus l’eau est chaude, moins elle « modère » bien. Le cœur étant parcouru de bas en haut par l’eau du circuit primaire, l’eau est plus chaude en haut qu’en bas ; elle s’est réchauffée en remontant le long des assemblages combustibles. Donc la réaction nucléaire se fait moins bien en haut qu’en bas, amenant à une combustion plus rapide en bas qu’en haut.
- Juste après un rechargement du cœur, la réaction nucléaire se fait donc plutôt en bas. Mais petit à petit, le bas des assemblages va commencer à « s’user », donc à moins produire de puissance. Au cours du cycle la puissance va donc lentement remonter plus haut dans le cœur. En espérant que j’ai répondu à tes questions.--Franssoua (d) 4 janvier 2011 à 10:42 (CET)
- Merci tout d'abord d'avoir relevé ma boulette sur les isotopes et ensuite pour la réponse. Ma question venait de la lecture du fil suivant, qui indique que la puissance d'un réacteur peut être modulée (un peu) en fonctionnement normal. Comme cela se fait par des barres qui descende, je me demandais comment on faisait pour que l'usure du combustible soit complete. En y reflechissant un peu, j'ai vaguement entendu parler d'injection de bore (ou de sel de bore?) dans le circuit primaire pour faire baisser l'intensité neutronique, peut être que c'est cela que c'est ce procédé qui est utilisé en fonctionnement normal, les barres étant réservées aux situations d'urgence, ou pour l'arrêt du coeur. Skiff (d) 6 septembre 2009 à 17:01 (CEST)
Mao et la valse musette
modifierBonsoir ! Dans un documentaire sur le Grand Timonier diffusé ce soir sur Arte, on voit Mao danser une valse musette au son de l'accordéon et de la trompette. Ceci semble bien éloigné du puritanisme national chinois de cette époque (vers 1950-1960). La valse musette ne fut-elle pas rejetée comme symbole de l'Occident décadent ? Merci pour ce tout tout petit point d'histoire.Philippe Nusbaumer (d) 2 septembre 2009 à 23:53 (CEST)
- Patience ! Je m'occupe de ta question mais n'ai pas encore de réponse (ou de non réponse...). -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 4 septembre 2009 à 09:40 (CEST)
- Pour m'éviter de visualiser tout ce pensum indigeste, la séquence dont tu parles se situe-t-elle dans le premier ou le deuxième épisode, et plutôt au début, au milieu ou à la fin ? Merci d'avance pour la réponse. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 4 septembre 2009 à 16:59 (CEST)
- Le « puritanisme national chinois de cette époque » ? Je pense que tu confonds avec la période suivante, celle de la Révolution culturelle, qui commence seulement en 1966. Le bout de film qu'on voit dans ce documentaire est à coup sûr antérieur puisqu'on y voit des officiels de type européen, visiblement soviétiques ou est-européens, donc ça se passe, selon toute vraisemblance, au plus tard en 1960. À l'époque, la Chine communiste est proche de l'URSS et très internationaliste, et l'on y rejette bien plutôt tout ce qui peut rappeler la chine traditionnelle.
- Sinon, je ne sais exactement ce que dansent Mao & Co, mais en tout cas pas la musique qu'on entend pendant ce petit bout de film : l'orchestre montré est composé, comme tu le remarques, d'au moins une trompette et de plusieurs accordéons, celle qu'on entend est jouée par une fanfare. Le style de cette fanfare semble est-européen et ça semble plutôt une polka qu'une valse (rythme vif à deux temps). -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 7 septembre 2009 à 19:04 (CEST)
Le feu
modifierBonjour. Tout le monde connaît la chanson de supporters Ce soir on vous met le feu, qui a été adaptée par IAM dans l'album Ombre est lumière. Je recherche désespérément l'origine de cet air. Je crois qu'il s'agit d'une chanson patriotique anglaise ou américaine ou quelque chose du genre. J'aimerais trouver le titre exact de la chanson d'origine. Merci pour votre aide. Rāvən (d) 3 septembre 2009 à 00:56 (CEST)
- Ben je ne connaissais pas... c'est une marche allemande qui s'appelle:"Beer Barrel Polka" autrement dit:"La polka du fût de bière", entre temps Annie Cordy est passée par là avec son titre "Frida oum papa", puis les supporters ont scandé le refrain et enfin "I AM" l'a repris... ViZiT (d) 3 septembre 2009 à 01:39 (CEST)
- Merci beaucoup pour cette information. J'ai trouvé grâce à cela l'article anglais à ce sujet : en:Beer Barrel Polka. J'ai cru que c'était une chanson patriotique parce que je l'ai entendu chanter par des Anglais dans un reportage sur la Seconde Guerre mondiale. En effet, l'article indique qu'en juin 1939, le titre était n° 1 au hit-parade. Merci encore. Rāvən (d) 3 septembre 2009 à 13:21 (CEST)
La physique quantique pour les nuls
modifierOracle, salut. Je suis en train de lire un bouquin de vulgarisation (Charpak et Omnès) qui concerne notamment la physique quantique, à laquelle je ne connais à peu près rien, et j'essaie de dégager d'un verbiage pénible et plus ou moins inspiré quelques concepts fondamentaux, vu qu'en gros il y a environ 20 pages de blabla pour une idée (et évidemment, surtout pas de synthèse !) Jusqu'ici, j'ai donc cru comprendre :
- qu'à l'échelle de l'atome, la notion de causalité n'existe pas, il n'y a que du hasard
- qu'à notre échelle humaine, la causalité est une notion tout à fait raisonnable à utiliser en pratique, mais il ne s'agit que d'un cas particulier de la physique quantique (il n'y a pas de rupture entre les deux)
- que le caractère infime, mais non nul, du risque que la causalité soit mise en défaut à notre échelle (par exemple, qu'une pomme tombe vers le ciel au lieu de tomber sagement au pied de l'arbre), s'explique d'une façon ou d'une autre par l'énormité de la différence d'échelle
- que cette différence d'échelle explique pourquoi une expérience de pensée comme celle du chat de Schrödinger part d'une hypothèse fausse (on essaie d'appliquer à un chat un raisonnement qui ne tient qu'à l'échelle atomique)
- que l'hypothèse comme quoi l'observateur interviendrait dans les résultats d'une expérience est fausse (enfin, sauf s'il triche, bien évidemment)
- que le déterminisme est une théorie qui s'est révélée erronée, mais que celle des univers parallèles est quant à elle purement métaphysique, et n'a pas d'incidence scientifique.
Je voudrais donc savoir si :
- j'ai à peu près pigé dans l'ensemble
- ce que racontent Charpak et Omnès est à peu près admis dans le monde scientifique aujourd'hui, ou au contraire fortement contesté
- pour prolonger la réflexion sur la causalité, on peut dire qu'il y a plus de causalité au niveau d'un gros objet comme une galaxie, que d'une bactérie par exemple (même si la différence est infime, et en supposant qu'il n'y ait pas d'autres lois qui viennent mettre la pagaille).
Merci et le bonjour chez toi, Félix Potuit (d) 3 septembre 2009 à 08:13 (CEST)
- Une première suggestion : cherche un ouvrage de vulgarisation moins indigeste, il y en a plein. Sinon, si Charpak est reconnu pour ses compétences dans son domaine et admiré pour ses initiatives dans le domaine de l'enseignement, il est aussi connu pour ses positions d'un scientisme un peu borné et assez intransigeant, et pour ses fortes réticences à l'encontre de la recherche fondamentale qu'il estime être souvent trop spéculative. Bref, un gars doué et intéressant mais quelque peu terre-à-terre et aux idées bien tranchées.
- Prends le cas des univers parallèles : au moins depuis Schrödinger et son fameux félin indéterminé, ils sont utilisés en tant qu'hypothèses et que variables dans des théories scientifiques très sérieuses, et Hugh Everett se situe dans ce courant avec la théorie qui porte son nom, et qui est plutôt une hypothèse ou, comme le dit l'article, c'est « une interprétation plus que d'une théorie ». Ni Schrödinger ni Everett, et ni les tenants de la théorie des cordes, ne postule l'existence réelle d'univers parallèles ni ne disent ce qu'ils sont et en tous les cas, ne les supposent pas semblable au notre, mais en tout cas ces hypothèses et ces expériences de pensée montrent que l'opinion tranchée de Charpak et Omnès sur la valeur scientifique des univers parallèles est douteuse.
- Tiens, je m'aperçois à l'instant que tu parles du chat de Schrö, et eux aussi, et en mal bien sûr, ça va avec leur opinion sur la scientificité des univers parallèles.
- Est-tu sûr du point sur « l'hypothèse comme quoi l'observateur interviendrait dans les résultats d'une expérience [qui serait] fausse » ? Ceci est bien admis par la majorité des physiciens mais pas dans cette formulation, voir pour cette question l'article sur l'etat quantique :: « En mécanique quantique, il n'est pas possible de supposer que les grandeurs physiques telles que la position ou la vitesse aient une valeur définie que l'on puisse mesurer sans perturber le système. Au lieu de cela, les observations effectuées sur un système vont modifier son état, de sorte que les résultats des mesures ultérieures vont dépendre de l'ensemble des mesures effectuées précédemment ». L'idée générale, et assez évidence de mon point de vue, est que l'observation de phénomènes à un niveau atomique ou subatomique ne peut se faire sans qu'il y ait une interférence de l'appareillage d'observation sur l'objet observé ; ceci n'induit pas qu'une observation est obligatoirement fausse ou inexacte mais qu'il faut tenir compte de cette influence de l'observateur sur l'objet observé pour comprendre et analyser les observations faites.
- Ces deux commentaires peuvent je pense te faire apprécier qu'à l'évidence, et pour autant que tu les rapporte ici assez fidèlement (ce qui est probable, connaissant les opinions de Charpak sur ces sujets), les positions de Charpak et Omnès ne sont pas, loin de là, unanimement acceptées par les physiciens.
- En ce qui concerne la causalité en physique, j'ose espérer que tu as mal lu. Comme le dit notre article, « En physique, le principe de causalité affirme que si un phénomène (nommé cause) produit un autre phénomène (nommé effet), alors l'effet ne peut précéder la cause ». Ce à quoi il ajoute, « À ce jour, il n'a pas été mis en défaut par l’expérience ». Si vraiment ils affirment, comme tu le rapportes, que « à l'échelle de l'atome, la notion de causalité n'existe pas », alors je pense qu'ils sont l'illustration de cet aphorisme gaullien, « la vieillesse est un naufrage »...
- Sinon, une bactérie n'est pas plus ou pas moins « causale » qu'une galaxie : pour l'une et l'autre, et aussi pour un atome ou une particule subatomique, un événement consécutif suit un événement antécédent et jamais l'ordre ne s'inverse. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 3 septembre 2009 à 10:07 (CEST)
- Heu, pour la causalité, je me suis peut-être mal exprimé, ou j'ai mal compris : je n'ai pas lu jusqu'ici que les auteurs prétendaient qu'un effet pouvait précéder une cause (en revanche, il me paraît très clair par ailleurs que ce n'est pas parce qu'un événement B suit dans le temps un événement A que A est la cause de B, comme le dit bien l'article Post hoc ergo propter hoc). Ce que j'ai compris, c'est qu'au niveau atomique, les événements se produisent au hasard, donc de manière non prévisible, ce qui n'est généralement pas le cas à notre échelle, sauf pour des événements très complexes comme la météo (et de plus, on ne peut pas les observer). C'est cela qui m'intéresse essentiellement. Félix Potuit (d) 3 septembre 2009 à 10:33 (CEST)
- Mouais... Dans tous les cas, leur position est douteuse : la causalité simple (A cause B qui cause C qui cause D – etc.) n'est observable qu'à une échelle restreinte et localisée ; dès qu'on s'en éloigne vers le micro ou le macro elle ne se constate plus. Enfin, ça n'est pas si simple, ça dépend de ce qu'on observe... En même temps, si vraiment les auteurs affirment que les phénomènes atomiques ou subatomiques ne sont pas soumis à la causalité physique telle que définie plus haut, et ont lieu « au hasard », c'est du n'importe quoi : rien n'a lieu au hasard dans notre univers. De l'autre côté, est-ce qu'ils parlent de hasard ou de prédictibilité ? Dans le second cas, l'emploi du mot « hasard » sert juste à nommer des phénomènes sans que ça ait le sens ordinaire d'événement imprévisible et sans cause apparente.
- Pour prendre un cadre local que toi et moi connaissons bien, celui de la Terre, vers le micro existe un phénomène décrit depuis assez longtemps déjà, le mouvement brownien : d'un sens il est prévisible et calculable, de l'autre il est imprévisible à long terme parce qu'il y a trop d'interactions à prendre en compte ; la théorie du chaos s'applique à des phénomènes macro eux aussi imprévisibles à long terme, et pour des raisons identiques : trop d'interactions sont en jeu pour qu'on puisse prévoir l'évolution exacte de ces phénomènes. L'un et l'autre exemple montrent que la causalité simple a ses limites à un niveau supra-atomique, et montrent aussi que le « hasard » à niveau atomique entre dans le lot commun des phénomènes de cet univers.
- Là dessus, les phénomènes à niveau atomique ou subatomique sont hautement prévisibles et prédictibles, et on fait tout un tas de joujous (de joujoux ? J'ai un doute : ça fait-il partie de la liste « chou, bijou, caillou (etc.) » ou non ?), genre cyclotron ou synchrotron, parce que l'on peut prévoir un certain effet à partir d'une certaine cause.
- Bref, soit tu les lis mal, soit (ce qui est plus probable) ils écrivent n'importe quoi, donc je te renouvelle mon conseil : lis d'autres ouvrages de vulgarisation, ça te permettra de remettre tes idées en place. Tu peux essayer les bouquins de Jean-Marc Lévy-Leblond ou Françoise Balibar, question style, clarté du propos et précision des faits discutés, c'est du solide (de mon point de vue). Et en plus, ils ont de l'humour, ce qui n'est pas négligeable. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 3 septembre 2009 à 11:36 (CEST)
- Bon. Je croyais avoir réussi à résumer quelques idées essentielles, qu'elles soient vraies, fausses ou discutables, et là, maintenant, je ne comprends plus ma propre question. Je crois que je vais tout recommencer à zéro et recommencer à lire de la page 1. Pénible quand même de tomber sur des bouquins de vulgarisation (qui présentent tout de même le gros avantage de ne pas assommer le lecteur d'équations) et de ne rien pouvoir en tirer de clair. Si j'allais me coucher, plutôt ? Merci quand même... Sinon, j'ai lu un bouquin de Lévy-Leblond, c'était intéressant et assez clair, mais ça ne concernait pas directement cette question. Il me semble qu'avec Gamow, pourtant, je comprenais... ou alors j'étais plus jeune... Félix Potuit (d) 3 septembre 2009 à 13:00 (CEST)
- Oui mais si le vulgarisateur lui-même n'est pas au clair, et pas clair, sur les questions qu'il traite, il est malaisé d'en faire quelque chose de consistant. Si, comme tu le disais plus haut, le bouquin se compose surtout de verbiages et ne fait aucun effort de synthèse, qu'est-ce que tu peux en tirer de substantiel ?
- Pour Lévy-Leblond, je crois que son ouvrage De la matière – relativiste, quantique, interactive discute les sujets qui t'intéressent ici, et l'autre paru la même année 2006, La vitesse de l'ombre, semble intéressant. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 3 septembre 2009 à 14:06 (CEST)
- Bon. Je croyais avoir réussi à résumer quelques idées essentielles, qu'elles soient vraies, fausses ou discutables, et là, maintenant, je ne comprends plus ma propre question. Je crois que je vais tout recommencer à zéro et recommencer à lire de la page 1. Pénible quand même de tomber sur des bouquins de vulgarisation (qui présentent tout de même le gros avantage de ne pas assommer le lecteur d'équations) et de ne rien pouvoir en tirer de clair. Si j'allais me coucher, plutôt ? Merci quand même... Sinon, j'ai lu un bouquin de Lévy-Leblond, c'était intéressant et assez clair, mais ça ne concernait pas directement cette question. Il me semble qu'avec Gamow, pourtant, je comprenais... ou alors j'étais plus jeune... Félix Potuit (d) 3 septembre 2009 à 13:00 (CEST)
- Heu, pour la causalité, je me suis peut-être mal exprimé, ou j'ai mal compris : je n'ai pas lu jusqu'ici que les auteurs prétendaient qu'un effet pouvait précéder une cause (en revanche, il me paraît très clair par ailleurs que ce n'est pas parce qu'un événement B suit dans le temps un événement A que A est la cause de B, comme le dit bien l'article Post hoc ergo propter hoc). Ce que j'ai compris, c'est qu'au niveau atomique, les événements se produisent au hasard, donc de manière non prévisible, ce qui n'est généralement pas le cas à notre échelle, sauf pour des événements très complexes comme la météo (et de plus, on ne peut pas les observer). C'est cela qui m'intéresse essentiellement. Félix Potuit (d) 3 septembre 2009 à 10:33 (CEST)
Puis-je moi aussi poser une question de physique quantique ? Je vais tenter de vulgariser à mon niveau ce que je crois avoir compris. Si je dit une grosse bêtise, arrêtez moi ! C'est justement le but de la manœuvre.
Si j'ai bien compris, le nœud de la physique quantique est de considérer les probabilités comme une réalité. C'est à dire que puisqu'il est impossible de savoir si l'électron est à gauche ou à droite au moment X, puisque ça ne fait même pas de sens de le savoir puisqu'il me faudrait savoir simultanément la position de chaque particules et non seulement celle qui m'intéresse, la seule chose raisonnable que je puisse tenter, c'est de supposer que l'électron est tantôt à gauche, tantôt à droite voir carrément (et c'est l'idée de base de la physique quantique) qu'il est 50% à droite et 50% à gauche et procéder au calculs à me basant sur cette prémisse (tout à fait comme si c'était le cas).
Et comme j'applique finalement ma formule, pas à un atome isolé, pas à dix, pas à cent, pas à mille, mais bien à quelques mols d'atomes, la Loi de probabilité s'occupe de me donner raison. Même si chacun des électrons de ma main a des chance de voyager à la vitesse de la lumière et se retrouver à hong-kong l'instant d'après, même si ma formule affirme même que 1/10^345 % des électrons de ma main sont effectivement là bas et que ma main est donc à 1/10^345 % désintégré, qu'à chaque fois que je l'observe y a des chances qu'elle n'y soit plus, j'obtiens surtout comme résultat qu'elle est 99,99999% bien à sa place et je sais pourquoi (à peu près).
- À l'échelle de l'atome, la causalité existe, mais il est réputé impossible de la connaitre.
- À notre échelle humaine, les aberration sont aberrantes. :D
- Même si disons il y avait 45% de chance qu'un atome de pomme soit propulsé par le haut pendant un millionième de seconde à cause de la gravité plutôt que l'inverse.
- Alors il y a 45%^(6,022×10²³)% de chance qu'une mole d'atome de pomme le fasse simultanément.
- Erf, désolé, mais ma calculatrice plante dans le calcul, j'aurais aimer te donner le résultat exacte, mais disons qu'avec le maigre 662256000000000000000000 millionièmes de seconde que représente 7 milliards d'humain pendant 3 millions d'années. On aurait pu observer des barils de pomme tomber en permanence qu'on aurait eu raisonnablement aucune chances.
J'ai du dire mon lot d'inexactitudes pour la journée moi :D . --Iluvalar prophète de malheur 4 septembre 2009 à 06:38 (CEST)
- Charpak & Omnès disent, à propos du chat, que "l'appareil prodigieux qui révèlerait tout [d'un seul] chat quantique exigerait à lui seul infiniment plus de matière qu'il n'en existe dans tout l'Univers". Je veux bien les croire sur parole. Et que le théoricien passe "une éponge mathématique" sur l'inconnaissable par principe (et non pas par les moyens, ils insistent sur ce point), et à ce moment-là se produit un effet "prodigieux" de "décohérence", qui fait disparaître toute trace des nombres complexes et de la montre du spectateur (non, ça c'est moi qui l'ajoute), suite à quoi, si j'ai bien compris, on retombe dans la physique newtonienne. Ils suggèrent qu'ils pourraient expliquer tout ça mathématiquement mais que de toutes façons on n'y comprendrait rien : je veux bien les croire là aussi. J'aimerais mieux qu'ils agitent un peu moins de mystère et d'effets de manches, mais bon... Convoquer André Gide et Nathanaël n'ajoute pas vraiment grand chose à la clarté de l'exposé, à mon avis, mais donner un peu plus d'exemples, de faits et d'analogies, et résumer le propos de chaque chapitre dans un petit tableau, ou une liste à puces (même quantiques, je ne suis pas sectaire), ça pourrait être utile. J'ajoute qu'à la fin du bouquin il y a un tas de considérations sur la philosophie (ce qui m'intéresse encore un peu), la religion (pas du tout) et la pédagogie (mouais...), pages qu'ils auraient pu remplir plus utilement, à mon avis. Félix Potuit (d) 4 septembre 2009 à 09:07 (CEST)
- On verra après pour le reste, en tout cas il y a une inexactitude de base dans tout ça : ce que tu décris n'est en aucun cas la base de la mécanique quantique, qui part d'une observation de Max Planck qui déboucha sur la pierre angulaire de la physique quantique : la constante de Planck qui, comme le dit notre article, « est une constante utilisée pour décrire la taille des quanta ». Et voilà la chose : la mécanique quantique et la mécanique des quanta.
- Je crois comprendre à-peu-près ce que tu racontes mais je pense que tu confonds deux choses : le constat que la théorie quantique oblige à « [abandonner] la notion de valeur déterminée pour certains états physiques (comme la position et la vitesse) en faveur de probabilités », et le développement de certaines hypothèses ou de certaines expériences de pensées ultérieures, une fois les principaux postulats de la mécanique quantique et les trois axiomes de la mécanique quantique établis, la plus connue de ces hypothèses étant le paradoxe du chat de Schrödinger qui, comme le dit notre article, est donc une expérience de pensée et non une hypothèse basée sur une observation empirique. Il y a aussi la question des particules indiscernables qui vient formellement en contradiction du principe d'exclusion de Pauli mais, encore une fois, non empiriquement pour la raison même qu'on ne peut vérifier par l'observation une hypothèse qui s'appuie précisément sur le fait qu'un certain phénomène est inobservable.
- Tout ça pour dire que la question des « états probables » en mécanique quantique n'implique pas qu'un objet peut se trouver « n'importe où » entre deux observations ; on ne sait pas réellement où il se trouve mais on peut calculer avec assez de vraisemblance sa position, notamment du fait que la constante de Planck a une valeur extrêmement faible : « h ≈ 6,6260755×10-34 » avec, ajoute l'article, « une incertitude standard de ±0,00000033×10-34 » (rien sur la valeur d'incertitude de l'incertitude, en revanche ). Qu'on l'applique à la vitesse, à la distance ou à la durée, dans un intervalle aussi bref les électrons de ta main n'ont pas franchement les moyens de faire le voyage Nancy-Hong Kong (ou Montpellier-Hong Kong) et retour...
- Sinon, ta remarque sur le fait que « à l'échelle de l'atome, la causalité existe, mais il est réputé impossible de la connaitre » est tout-à-fait juste. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 4 septembre 2009 à 09:30 (CEST)
- C'est le coeur de la question. Si, comme dit plus haut, elle est inconnaissable par principe (et non en raison de la limitation des moyens humains), alors quelle différence qu'elle existe ou non, et comment sait-on qu'elle existe, puisque par principe on ne peut rien en savoir ? Félix Potuit (d) 4 septembre 2009 à 09:37 (CEST)
- Exactement. Et c'est justement ce qui a permis des expériences de pensée comme celle du Chat de Schrö. D'un sens je suis d'accord avec Sharpak et Olmès, sauf que leur scientisme borné leur fait rater un fait indubitable : les sciences exactes ne progressent que grâce aux expériences de pensée, qui peuvent finalement se révéler inexactes mais ont l'intérêt de pointer des zones d'ombre dans les plus beaux édifices théoriques. Comme le rappelle notre article, la « méthode [de l'expérience de pensée] remonte initialement à Galilée qui en faisait la clé de ses recherches scientifiques », et c'est vrai pour ses successeurs : les théories de la relativité restreinte et de la relativité générale n'ont été validées empiriquement qu'après avoir été proposées.
- Tes Dupont-Dupond de la physique m'ont tout l'air d'essayer d'assommer un moustique avec un marteau-pilon : en proposant son exemple de « chat quantique » Schrödinger ne fait rien de plus que de pointer cet autre paradoxe : « La difficulté principale tient donc dans le fait que si l'on est généralement prêt à accepter ce genre de situation pour une particule, l'esprit refuse d'accepter facilement une situation qui semble aussi peu naturelle quand il s'agit d'un objet plus familier comme un chat ». Bref, il pointe le fait qu'on ne peut se contenter d'une « explication » indémontrable, qu'un objet peut être dans deux états incompatibles au même instant.
- Je ne voulais pas être méchant avec eux précédemment mais ça change : « deux états incompatibles en même temps » est une sorte de théorie de la génération spontanée, Schrödinger est Pasteur et se dit, il doit y avoir une autre explication, Sharpak et Olmès sont l'Académie des sciences et disent, « c'est l'évidence des faits, ne cherchons pas plus loin »... -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 4 septembre 2009 à 10:12 (CEST)
- Olivier, dans mon exemple d'électron à Hong-Kong, j'avais bien spécifié "à la vitesse de la lumière". Ce qui lui donne techniquement le temps d'être l'électron de tout plein d'autre atomes et plus celui de ma main. Si on peux s'entendre comme ça... Reste que Équation de Schrödinger qui nous donne les orbitale atomique spécifie que l'électron y est à 95%. Ce qui implique qu'il est aussi à 5% je ne sais où. Je me trompe en disant que peu importe de combien on s'éloigne, il y a toujours une chance non-nulle que l'électron que je supposais pourtant dans ma main s'y trouve ? --Iluvalar prophète de malheur 4 septembre 2009 à 14:39 (CEST)
- Ouais, mais non, mais oui, mais... Bon : on ne sait pas.
- Pour le voyage Honk Kong-Bruxelles ou Hong Kong-Sydney, j'indiquais seulement que 6,6260755×10-34 (6 virgule quelque chose fois 10 puissance moins 34) est une valeur très faible – et même, trèèèèèèèèèèèèèèèèèèèès faible. Qu'on l'exprime en durée ou en distance, ça ne mène pas loin : en gros, on ne sait pas où est l'électron durant le temps qu'il lui faut pour passer d'une position à une autre dans son parcours autour du noyau d'un atome ; la distance Hong Kong-Montréal représentant probablement la valeur inverse (6,6260755×1034) en nombre d'atomes contigus, durant le temps d'«incertitude » un électron ne peut, même à la vitesse de la lumière, très nettement inférieure (à peine 300.000km/s), parcourir cette distance.
- Cela posé, reste ce que tu relèves : les 5% de temps / distance / vitesse où l'on ne sait pas ce qui se passe. C'est précisément ce qui permet de développer des hypothèses ou des expériences de pensée qui ouvrent sur les univers parallèles, sur les chats quantiques et sur les cordes ou les supercordes, ou sur les
évergétismeseverettismes. Et c'est ça qui est beau : la science n'avance que sous la poussée des philosophes, des rêveurs et des poètes. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 4 septembre 2009 à 15:25 (CEST)
- Olivier, dans mon exemple d'électron à Hong-Kong, j'avais bien spécifié "à la vitesse de la lumière". Ce qui lui donne techniquement le temps d'être l'électron de tout plein d'autre atomes et plus celui de ma main. Si on peux s'entendre comme ça... Reste que Équation de Schrödinger qui nous donne les orbitale atomique spécifie que l'électron y est à 95%. Ce qui implique qu'il est aussi à 5% je ne sais où. Je me trompe en disant que peu importe de combien on s'éloigne, il y a toujours une chance non-nulle que l'électron que je supposais pourtant dans ma main s'y trouve ? --Iluvalar prophète de malheur 4 septembre 2009 à 14:39 (CEST)
- Protestations véhémentes ! Le principe d'incertitude, ce n'est pas simplement une impossibilité d'en prendre connaissance, c'est une vraie inexistence de la chose qu'on voudrait mesurer. Ça a été une longue et difficile controverse sur l'existence ou non de "variables cachées" (pour faire simple, l'idée des "variables cachées", c'est que nous ne pouvons pas savoir où se trouve l'électron, mais lui, il est bien quelque part précisément, et il le sait), et d'expériences difficiles, fondamentales, et relativement récentes (Expérience d'Aspect) qui prouvèrent que l'électron ne sait pas lui-même où il est tant qu'on ne fait pas la mesure. Pour les conséquence sur la notion de causalité, voir le développement dans l'article cité. gem (d) 4 septembre 2009 à 16:10 (CEST)
- Ne véhémente point trop : sauf à supposer que l'électron soit doté de conscience, ce à quoi je ne m'aventurerai pas, il ne sait jamais où il est. L'incertitude est du côté de l'observateur : à un instant donné on ne peut déterminer, soit la vitesse, soit la position de l'objet observé. Ce que la mécanique quantique explique très bien. Les disputes dont tu fais part ne concernent pas cette évidence mais « ce qui se passe pendant le moment inobservable », cf. les articles sur l'observabilité et les observables. Et ce qui ce passe en ces moments là, ni toi, ni moi, ni l'électron ni quiconque ne peut le dire, puisque c'est précisément inobservable, y compris par l'électron. D'où les hypothèses et les expériences de pensée, qui ne permettent pas (pour l'heure) de résoudre la question mais qui permettent de penser qu'on peut travailler à résoudre cette question avec des arguments, sinon falsifiables, du moins recevables pour aller plus loin. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 4 septembre 2009 à 16:35 (CEST)
- Mais ne peut-on dire que la question de savoir "où est l'électron à un certain moment" n'a tout simplement pas de sens, et que nous essayons d'appliquer des concepts vérifiés dans notre propre monde (à l'échelle humaine) à une échelle qui n'en a tout simplement rien à faire ? Ce ne serait pas la première fois que nous sommes amenés à nous défaire de façons de penser ancestrales et que nous butons sur des choses qui nous semblent absurdes ou inimaginables, tout simplement parce que nous sommes habitués, depuis des centaines de milliers d'années, à penser comme cela ? Charpak et Omnés suggèrent d'ailleurs que nous en sommes à une "mutation" de l'espèce, mutation bien plus radicale et rapide que celle du néolithique. Félix Potuit (d) 4 septembre 2009 à 17:36 (CEST)
- La question "où est, précisément, l'électron", est une bonne question qui reste pertinente. Le fait qu'on ne puisse répondre (non pas, je le répète pour OHM, pour une question d'incapacité technique, mais pour une question fondamentale) est très important. Et, n'oublie jamais, tout cela n'est que modélisations mathématiques qui ont le mérite de répondre aux contraintes posées par les résultats d'expériences. Pour les objets de grandes tailles aussi, on a des problèmes de position / vitesse, notamment lorsqu'ils sont déformables (ex : déterminez position et vitesse d'un liquide qu'on transvase d'un verre à un autre : que du bonheur...), il n'est donc pas spécialement surprenant qu'on a le même genre d'embrouilles pour les particules ; ce qui est surprenant, c'est l'énormité relative de l'incertitude et l'amplitude en échelle (un photon conçu comme ponctuel qui s'étend en fait sur plusieurs mètres, comme dans l'expérience d'Aspect, ça décoiffe).
- J'ajoute pour OHM que la méca Q n'explique rien, et c'est justement son problème fondamental ("calcule et tais-toi") ; ça ne l'empêche pas de calculer les résultats observés, mais pourquoi, ça reste un mystère. Il n'y a pas besoin de conscience (d'ailleurs, qu'est-ce que la conscience, en physique ? Au mieux, un genre de démon de Maxwell, pratique pour une expérience de pensée mais dépourvu de sens physique) pour "savoir où on est", c'est juste une façon de parler pour dire, par exemple et pour un électron, "j'obéis à la force électrostatique produit de ma charge par le champs électrique en ce point précis dans l'espace et à ce moment précis", et le fait que ça ne soit pas possible n'est pas une question d'observabilité. gem (d) 7 septembre 2009 à 11:03 (CEST)
- Mais ne peut-on dire que la question de savoir "où est l'électron à un certain moment" n'a tout simplement pas de sens, et que nous essayons d'appliquer des concepts vérifiés dans notre propre monde (à l'échelle humaine) à une échelle qui n'en a tout simplement rien à faire ? Ce ne serait pas la première fois que nous sommes amenés à nous défaire de façons de penser ancestrales et que nous butons sur des choses qui nous semblent absurdes ou inimaginables, tout simplement parce que nous sommes habitués, depuis des centaines de milliers d'années, à penser comme cela ? Charpak et Omnés suggèrent d'ailleurs que nous en sommes à une "mutation" de l'espèce, mutation bien plus radicale et rapide que celle du néolithique. Félix Potuit (d) 4 septembre 2009 à 17:36 (CEST)
- Ne véhémente point trop : sauf à supposer que l'électron soit doté de conscience, ce à quoi je ne m'aventurerai pas, il ne sait jamais où il est. L'incertitude est du côté de l'observateur : à un instant donné on ne peut déterminer, soit la vitesse, soit la position de l'objet observé. Ce que la mécanique quantique explique très bien. Les disputes dont tu fais part ne concernent pas cette évidence mais « ce qui se passe pendant le moment inobservable », cf. les articles sur l'observabilité et les observables. Et ce qui ce passe en ces moments là, ni toi, ni moi, ni l'électron ni quiconque ne peut le dire, puisque c'est précisément inobservable, y compris par l'électron. D'où les hypothèses et les expériences de pensée, qui ne permettent pas (pour l'heure) de résoudre la question mais qui permettent de penser qu'on peut travailler à résoudre cette question avec des arguments, sinon falsifiables, du moins recevables pour aller plus loin. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 4 septembre 2009 à 16:35 (CEST)
- C'est le coeur de la question. Si, comme dit plus haut, elle est inconnaissable par principe (et non en raison de la limitation des moyens humains), alors quelle différence qu'elle existe ou non, et comment sait-on qu'elle existe, puisque par principe on ne peut rien en savoir ? Félix Potuit (d) 4 septembre 2009 à 09:37 (CEST)
Avion plus sûr que le train?
modifierBonjour. On dit toujours que l'avion est le moyen de transport le plus sûr statistiquement (ou 2e si l'on prend en compte l'ascenseur comme moyen de transport...) mais en prenant le train l'autre jour, je me suis mis à être sceptique! Le train serait statistiquement plus dangereux que l'avion? J'ai du mal à croire ça. Avez-vous des sources et stats? --TwøWiñgš Boit d'bout 3 septembre 2009 à 10:19 (CEST)
- La grande différence entre le train et l'avion est que la sûreté du premier est variable : en Europe ou au Japon par exemple, les trains sont au moins autant et possiblement (du fait du bien plus grand nombre de voyageurs) plus sûrs que les avions, mais ça n'est pas le cas en Inde, alors que les avions sont à-peu-près aussi sûrs dans toutes les parties du monde. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 3 septembre 2009 à 10:28 (CEST)
- Et voilà les stats (Europe uniquement) : Statistiques d'accidents d'avion#Tableaux comparatifs des différents moyens de transport (données sur l'Europe). Agrafian Hem Rarko (me parler) 3 septembre 2009 à 10:29 (CEST)
- Pour la France, le secrétariat d'État aux transports donne quelques statistiques pour la route et le train, page Sécurité et contrôle. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 3 septembre 2009 à 10:43 (CEST)
- Le souci c'est que "mode de transport le plus sûr", ça dépend quel critère on prend. En nombre de trajets ? auquel cas l'avion est plus dangereux que bien des modes de transport. En nombre de kilomètres parcourus ? auquel cas l'avion est pas trop dangereux (les phases les plus délicates sont décollage et atterrissage. Après qu'on fasse 500 ou 15000 km, cela ne change quasiment rien). En nombre de fois où le moyen de transport est utilisé dans l'année ? etc etc Erdrokan - ** 3 septembre 2009 à 11:51 (CEST)
- Et aussi, il y a la question des effets : pour reprendre le cas de la France, le nombre d'accidents d'avions ou de trains est très inférieur au nombre d'accidents de la route mais quand on a la malchance d'être pris dans un accident d'avion ou de train, le risque de décès est très ou énormément plus élevé. Les statistiques train / auto données en lien plus haut le démontrent : s'il y a 200 fois plus de risques de subir un accident routier que ferroviaire, on a trois fois plus de risques de mourir dans un accident de train que d'auto. Et pour les avions, la majorité des accidents en vol et pas mal d'accidents au sol ne laissent pas de survivants. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 3 septembre 2009 à 12:29 (CEST)
- Le souci c'est que "mode de transport le plus sûr", ça dépend quel critère on prend. En nombre de trajets ? auquel cas l'avion est plus dangereux que bien des modes de transport. En nombre de kilomètres parcourus ? auquel cas l'avion est pas trop dangereux (les phases les plus délicates sont décollage et atterrissage. Après qu'on fasse 500 ou 15000 km, cela ne change quasiment rien). En nombre de fois où le moyen de transport est utilisé dans l'année ? etc etc Erdrokan - ** 3 septembre 2009 à 11:51 (CEST)
- Pour la France, le secrétariat d'État aux transports donne quelques statistiques pour la route et le train, page Sécurité et contrôle. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 3 septembre 2009 à 10:43 (CEST)
- Et voilà les stats (Europe uniquement) : Statistiques d'accidents d'avion#Tableaux comparatifs des différents moyens de transport (données sur l'Europe). Agrafian Hem Rarko (me parler) 3 septembre 2009 à 10:29 (CEST)
- Je vais lancer un pavé dans la « marre » (effet volontaire) mais ce n'est pas la statistique passée qui m'intéresse mais la probabilité future. Et pas la probabilité de l'avion mais celle de mon avion. Surtout que souvent les statistiques sont globales (mêlant plusieurs compagnies et pays). Si ma conpagnie a un nouveau technicien qui se la pète, que mon avion est trop vieux (ou trop récent), que je ne suis pas d'humeur, que je n'aime pas l'état d'esprit du pilote ou l'absence de sourire de l'hotesse... bah je suis désolé, mais il me semble que je ne vais pas être dans le pourcentage favorable et majoritaire. Très sérieusement, ce n'est pas la statistique qui fait la réalité mais la réalité qui fait la statistique ensuite. Regarder ces nombres pour se sentir en sécurité ou pas, il semble, dans l'état d'esprit, c'est ne pas savoir comment manipuler ces chiffres... / DC2 • 3 septembre 2009 à 12:05 (CEST)
- Si tu essayais de passer au DC-4 ? Félix Potuit (d) 3 septembre 2009 à 13:03 (CEST)
- Certes, mais un des objectifs des statistiques est bien de faire des prédictions. C'est vrai qu'il est rassurant d'arriver à la conclusion que notre avion n'a qu'une chance sur 1 milliard de s'écraser, pourtant cette probabilité nous fera une belle jambe si l'événement se réalise... Asheka [la vie est belle] 3 septembre 2009 à 12:53 (CEST)
- Pour ton avion, voir le sujet précédent sur la physique quantique pour les nuls. Sinon, tu as moins de chance qu'il tombe si c'est un Boeing d'Air France qu'un Airbus d'une compagnie Yéménite... --Serged/♥ 3 septembre 2009 à 14:59 (CEST)
- Je comprends DC2 mais les statistiques sont un moyen (a priori pertinent si elles sont bien faites) de comprendre la réalité. Car elles vont au-delà de ce qu'on voit ou entend. Par exemple, si quelqu'un a été témoin de 2 accidents de train et n'a jamais vu d'accidents de voiture, il pensera peut-être que le train est hyper dangereux et que la voiture est safe! Donc les stats permettent d'y voir un peu plus clair dans ce qu'on ne peut, individuellement, appréhender dans sa globalité. --TwøWiñgš Boit d'bout 4 septembre 2009 à 11:24 (CEST)
- J'ai toujours pensé que les statistiques c'est comme le bikini, ça donne un aperçu, mais ça cache l'essentiel... --doc103 (d) 4 septembre 2009 à 14:42 (CEST)
- C'est un avis... très personnel! --TwøWiñgš Boit d'bout 4 septembre 2009 à 14:48 (CEST)
- J'ai toujours pensé que les statistiques c'est comme le bikini, ça donne un aperçu, mais ça cache l'essentiel... --doc103 (d) 4 septembre 2009 à 14:42 (CEST)
- Je comprends DC2 mais les statistiques sont un moyen (a priori pertinent si elles sont bien faites) de comprendre la réalité. Car elles vont au-delà de ce qu'on voit ou entend. Par exemple, si quelqu'un a été témoin de 2 accidents de train et n'a jamais vu d'accidents de voiture, il pensera peut-être que le train est hyper dangereux et que la voiture est safe! Donc les stats permettent d'y voir un peu plus clair dans ce qu'on ne peut, individuellement, appréhender dans sa globalité. --TwøWiñgš Boit d'bout 4 septembre 2009 à 11:24 (CEST)
- Pour ton avion, voir le sujet précédent sur la physique quantique pour les nuls. Sinon, tu as moins de chance qu'il tombe si c'est un Boeing d'Air France qu'un Airbus d'une compagnie Yéménite... --Serged/♥ 3 septembre 2009 à 14:59 (CEST)
Lutece
modifierQuand on tate "Lutece" sur wikipedia, on tombe sur cette histoire de logiciel qui n'intéresse pas franchement les foules...... Heureusement, ce n'est que pour le site français! Pour le reste de l'humanité, Lutèce est le nom de la capitale des Parisii!! Pour avoir la fiche de la vraie Lutèce, il faut donc passer par la page "Lutèce (homonymie)" . Je suis scandalisé, le réferencement devrait etre exactement le contraire, non???
- Ben faut pas oublier l'accent quoi. Tape « Lutèce » et tout ira bien. Agrafian Hem Rarko (me parler) 3 septembre 2009 à 14:00 (CEST)
- D'ailleurs, on peut comparer l'effet assez différent des liens Lutèce et Lutece... -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 3 septembre 2009 à 14:09 (CEST)
- Faudrait décider si le logiciel a un accent ou pas, il n'en a pas dans le titre mais il en a dans le corps de l'article. Ça fait désordre. Morburre (d) 3 septembre 2009 à 14:12 (CEST)
- Sur le site du logiciel c'est pareil : tantôt on lui colle un accent, tantôt non. Cependant la graphie accentuée domine, et comme le logiciel a été développé par et pour la mairie de Paris, ça semble cohérent de l'accentuer. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 3 septembre 2009 à 14:32 (CEST)
- Et hop ! Renommé en Lutèce (logiciel). -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 3 septembre 2009 à 14:58 (CEST)
- Faudrait décider si le logiciel a un accent ou pas, il n'en a pas dans le titre mais il en a dans le corps de l'article. Ça fait désordre. Morburre (d) 3 septembre 2009 à 14:12 (CEST)
- De même si on tape Opera, on tombe sur le navigateur Web, alors que Opéra renvoie vers une page d'homonymie commençant par l'œuvre lyrique... C'est tout à fait normal. --Serged/♥ 3 septembre 2009 à 14:53 (CEST)
- D'ailleurs, on peut comparer l'effet assez différent des liens Lutèce et Lutece... -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 3 septembre 2009 à 14:09 (CEST)
- Je croyais que Lutèce était un prénom féminin et je voulais tâter aussi... ViZiT (d) 4 septembre 2009 à 22:39 (CEST)
Grand croix de la Légion d'honneur - Pamela Harriman
modifierJe me prosterne devant toi, Ô Pythie déifique !
J'ai un doute concernant le fait que Pamela Harriman fut bien Grand Croix de la légion d'honneur. C'est indiqué dans l'article français comme anglais avec l'annotation qu'elle fut la première ambassadrice à la recevoir. Néanmois, elle n'apparaît pas dans la liste des Grands Croix. Je me suis dit que je n'ai qu'à la rajouter mais l'article Valérie André semble indiquer que Harriman n'est pas dans les six femmes récipiendaires de la croix. Merci de m'aider ! Celette (d) 3 septembre 2009 à 14:09 (CEST)
- La page rapportant l'hommage funèbre en l'honneur de Mme Pamela Harriman par Jacques Chirac, alors président de la République, se conclut ainsi : « Pamela Harriman, au nom de la République française, nous vous élevons à la dignité de grand-croix de la Légion d'honneur ». Donc elle l'est, mais à titre posthume. Et voilà l'travail ! -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 3 septembre 2009 à 14:39 (CEST)
- Article mis à jour avec référence à la source primaire.
- Merci pythie pour ta vision ! Mais je voudrais savoir si je peux l'ajouter à la liste ? Celette (d) 3 septembre 2009 à 14:43 (CEST)Celette
- Euh... Oui ? -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 3 septembre 2009 à 14:47 (CEST)
- Merci pythie pour ta vision ! Mais je voudrais savoir si je peux l'ajouter à la liste ? Celette (d) 3 septembre 2009 à 14:43 (CEST)Celette
Rotation de points
modifierBonjour à tous...
Étant un ancien mauvais élève en mathématique j'ai un peu de mal à m'en sortir. Je programme actuellement quelques petites fonctions tournant autour de canvas et je ne trouve pas de solution à mon problème. Du moins pas comme ça.
J'ai 4 points (les 4 coins d'un quadrilatère peu importe lequel, ici dans l'exemple, on va parler d'un carré.
Je voudrais le faire tourner de 20 degrés par rapport à son centre. Et là je cale... :)
J'ai les 4 points sous forme x,y, mais comment puis-je trouver facilement les x,y recalculés après rotation ??
Si vous aviez une idée avant 16h30 car j'aurais voulu le programmer dans le train (et qu'en bon fonctionnaire j'ai fini à 16h30 :) )
Merci d'avance.
Min's - 愛 3 septembre 2009 à 15:47 (CEST)
- Bonjour, il est possible de passer par les nombres complexes. Soit M un point d'affixe z = a + ib, alors l'affixe z' du point M' image de M par la rotation de centre O(0,0) et d'angle θ est égale à z.eiθ. Après, dans ton cas, il faut éventuellement ajouter un changement de repère car le centre de ta rotation est en fait le centre de ton quadrilatère. Et il est moins de 16:30, bon courage Blue [ -02- ] 3 septembre 2009 à 16:28 (CEST)
- Oulah... O_o" Je sens le mal de crane poindre ;) Je note ça et je vais voir ce que ça donne, mais je sens que je ne suis pas sauvé :) Merci, et si quelqu'un à une autre idée, avec des sinus ou autre, c'est le bienvenu :) Min's - 愛 3 septembre 2009 à 16:32 (CEST)
(conflit d'édit)
- 16h30 ! Ça fait court... Sinon, pas trop besoin d'être un crack en maths pour ce genre de trucs, les processeurs de micro-ordinateurs sont des unités arithmétiques et logiques où l'on se contente de simuler des fonctions mathématiques.
- Si je comprends, tu veux faire pivoter ton quadrilatère dans un plan, celui-ci étant la surface de ton écran. Il n'existe pas de fonction prédéfinie « rotate » (ou un truc du genre) dans Canvas ? Si oui, ça devrait faire ce que tu désires. Tiens, une page de tutoriel sur les transformations où l'on mentionne bien une fonction « rotate(angle) ». Méfi : on précise que « le point central de la rotation est toujours l'origine du canevas » ; donc le « point d'origine » de ton quadrilatère doit être placé en son centre. Bon courage ! -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 3 septembre 2009 à 16:46 (CEST)
- Et oui, j'ai bien sûr essayé ça d'abord... :) Il faut d'abord faire un translate pour déplacer le 0,0 puis ensuite faire un rotate, et tu obtiens alors un plan décalé et tourné, mais après il faut soit redécaler avec un autre translate sinon les coordonnées de départ ne sont plus bonnes, et au final, il m'a encore l'air plus simple de tenter de piger comment calculer les coordonnées d'un point décalé plutôt que de piger translate et rotate correctement :) Mais Merci :) Min's - 愛 3 septembre 2009 à 21:24 (CEST)
- C'est pas très compliqué : si le centre de ton carré a pour coordonnées a,b alors tu appliques d'abord aux quatre sommets une translation de vecteur (-a,-b), puis ta rotation, et après tu fais la translation inverse (a,b). Blue [ -02- ] 3 septembre 2009 à 22:47 (CEST)
- Faut décomposer par étapes simples, et tout se passera bien :
- a) calculer les coordonnées (x0,y0) du centre : pour un carré (ou un rectangle, ou un losange) c'est facile, c'est à mi-chemin d'une diagonale, donc il suffit de faire une moyenne x0 = (x+x')/2 ; pour un quadrilatère plus tordu c'est plus compliqué, il faut rechercher l'intersection de deux médianes
- b) calculer les coordonnées des 4 sommets dans ce nouveau repère ; facile, X = x - x0 et Y = y - y0
- c) tourner de l'angle recherché, a : X1 = X cos a + Y sin a ; Y = -X sin a + Y cos a (attention au signe "-" !)
- d) revenir dans le repère initial : x1 = X1 + x0, y1 = Y1 + y0
- gem (d) 4 septembre 2009 à 11:02 (CEST)
- Yess... c'était par là que je cherchais aussi, et je venais de trouver ces formules là. J'oubliais juste un détail dans mes calculs, c'est le point D)... . Par contre, je suis tombé sur 2 formules différentes, la même que celle que tu donnes, et une autre qui disait x' = x cos(φ) - y sin (φ)et y' = x sin(φ) + y cos(φ)... Et je ne sais plsu laquelle est bonne... ^^' Min's - 愛 4 septembre 2009 à 11:58 (CEST)
- Les deux sont bonnes, c'est juste une question de sens de mesure de l'angle (on passe de l'une à l'autre en remplaçant φ par -φ). Comme on s'embrouille facilement il faut de toute façon faire une vérification du résultat souhaité avec le point initial x=0, y=1 : x1 devient négatif avec une rotation "trigonométrique" (entre 0 et 90°) (ta formule), positif avec une rotation "dans le sens des aiguilles d'une montre" (celle que j'ai utilisé). gem (d) 4 septembre 2009 à 15:09 (CEST)
- Yess... c'était par là que je cherchais aussi, et je venais de trouver ces formules là. J'oubliais juste un détail dans mes calculs, c'est le point D)... . Par contre, je suis tombé sur 2 formules différentes, la même que celle que tu donnes, et une autre qui disait x' = x cos(φ) - y sin (φ)et y' = x sin(φ) + y cos(φ)... Et je ne sais plsu laquelle est bonne... ^^' Min's - 愛 4 septembre 2009 à 11:58 (CEST)
- Et oui, j'ai bien sûr essayé ça d'abord... :) Il faut d'abord faire un translate pour déplacer le 0,0 puis ensuite faire un rotate, et tu obtiens alors un plan décalé et tourné, mais après il faut soit redécaler avec un autre translate sinon les coordonnées de départ ne sont plus bonnes, et au final, il m'a encore l'air plus simple de tenter de piger comment calculer les coordonnées d'un point décalé plutôt que de piger translate et rotate correctement :) Mais Merci :) Min's - 愛 3 septembre 2009 à 21:24 (CEST)
identification de reptiles
modifierBonjour,
C'est la première fois que je me lance dans un courrier sur ce site !
Je suis un amoureux de la nature et à chaque voyage je recherche à identifier les fleurs ou animaux photographiés. Il se trouve que je n'ai pas réussi à identifier un serpent pris au Venezuela et des lézards pris au Ladakh (nord de l'Inde). Il va de soi que sans photos l'échec est assuré et je ne vois pas comment faire avec ce modèle de page. Je suis bien allé mettre mon nez dans le bac à sable de Wikipédia mais n'ai pas trouvé d'astuce.
Je respecte ce qui est conseillé et n'inscrit pas mon e-mail mais dans son principe cela ne me gènerait absolument pas de le faire, d'autant que je ne vois pas comment faire autrement pour transmettre des photos.
Je remercie d'avance celui ou celle qui voudra bien m'aider dans ma requête et vous souhaite une bonne fin de journée.
Cordialement,
Gérard
- Bonjour ! Tes photos sont-elles déjà hébergées sur le Net ? si ce n'est pas le cas, tu peux les mettre sur Commons (et la communauté t'en sera reconnaissante), ou les héberger sur un site genre imageshack ou servimg, qui te donneront les liens à utiliser pour nous les montrer. Ensuite, il ne te restera plus qu'à poser la question de l'identification sur Wikipédia:Atelier identification (euh d'ailleurs, je m'aperçois que la page d'accueil du projet explique très bien comment transférer des images (au moins sur Commons)). Espérant t'avoir aidé un peu. Asheka [la vie est belle] 3 septembre 2009 à 16:58 (CEST)
- Salut.
- Pour mettre une image sur Wikipédia il faut obligatoirement avoir un compte. Tu peux la placer ici ou, et c'est nettement préférable, sur Wikimedia Commons (dont voici la page d'accueil) qui est la médiathèque de la Wikimedia Foundation. Une fois ton compte créé et une fois connecté, parmi les liens à gauche figure celui « Importer un fichier », qui te donne accès à la page d'information sur l'importation. Yapuka. Ou presque... Une fois l'image importée, tu peux la placer en illustration dans n'importe quelle page avec un lien spécial tel que :
- [[Image:Joe Jackson face.jpg|thumb]]
- Ce qui donne le résultat ci-contre. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 3 septembre 2009 à 17:01 (CEST)
- C'est un reptile, ça ? Félix Potuit (d) 3 septembre 2009 à 17:20 (CEST)
- Un dinosaure, peut-être? --Domingue (d) 3 septembre 2009 à 17:41 (CEST)
- Ouais bon ! J'adore la musique de Joe Jackson, c'est tout. Vous voulez un reptile ? Bon...
- En insérant un lien de ce type :
- [[Image: Iggy Pop stand - Sziget Fest 2006 (crop).jpg|thumb|''[[Iguana iguana]]'' s'emparant de sa proie]]
- Un dinosaure, peut-être? --Domingue (d) 3 septembre 2009 à 17:41 (CEST)
- C'est un reptile, ça ? Félix Potuit (d) 3 septembre 2009 à 17:20 (CEST)
- On obtient la superbe image ci-contre. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 3 septembre 2009 à 20:06 (CEST)
Bibliothèque nationale de France
modifierAutre question chère pythie.
J'ai peut-être mal lu, mais qu'y a t-il dans les tours de la BNF ? Des rayonnages ? Et qui y a accès, est-ce visitable ? Merci! Celette (d) 3 septembre 2009 à 17:26 (CEST)Celette
- Eh bien, je peux me tromper, mais à vue de nez, il me semble qu'au rez-de chaussée et au sous sol (rez-de-jardin), il y a les salles de lecture, et au dessus, ce sont les réserves de livres, 385 km linéaires selon l'article WP (c'est pour ça que les vitres ont été occultées, à cause de la lumière qui est un facteur grave de détérioration). En tout cas, la réserve des livres rares (salle Y, où on consulte les ouvrages précieux ou simplement anciens) se situe plus haut que les salles de lecture normales. Les bureaux de la conservation doivent aussi se trouver dans le coin ? Calame (d) 3 septembre 2009 à 17:58 (CEST)
- Quand vous dites "au dessus", ca concerne toute la hauteur des tours ? Il n'y a alors pas de salles de consultation en haut. Celette (d) 3 septembre 2009 à 18:43 (CEST)Celette
- Non, à ma connaissance, le public ne peut pas monter dans les tours (et j'ai déjà fait pas mal d'espaces : Haut de Jardin, Rez de Jardin et Réserve des livres rares ; la consultation des microfilms/microfiches se fait aussi dans un espace qui surplombe le rez-de-jardin). Il faut dire que stocker 385 km linéaires de bouquins, ça doit quand même prendre un peu de place :-) (et que contrairement aux archives, la BNF ne défriche pas régulièrement...). C'est peut-être visitable lors des journées du patrimoine ? Calame (d) 3 septembre 2009 à 23:09 (CEST)
- Il y a des rayonnages et des bureaux (je suis allé à la conservation de la réserve des livres rares), le sous-sol est innondable, proche de la Seine. Cela avait fait polémique au départ: mettre des livres dans des tours, espérons qu'un avion ne s'écrase pas dessus, les cloisons en bois exotiques protègent de la lumière et laissent un espace entre la paroi en verre de la sorte chacun utilise -ou non- ce lieu pour y placer des choses, un peu comme des balcons. Philippe Nusbaumer (d) 4 septembre 2009 à 08:21 (CEST)
- C'est clair que c'était débilissime, quand on veut stocker des choses l'organisation rationnelle (économique, pratique, etc.) ce n'est pas la tour, c'est le hangar industriel, à plat, muni d'étagères et où circulent les charriots de transport, adapté, climatisé et sécurisé de façon adéquate à l'objet stocké (système anti-incendie sans eau, par exemple) ; a fortiori quand ce sont des objets qui craignent lumière et chaleur, qu'on a donc pas besoin de stocker dans une tour, structure dont la principale caractéristique est de maximiser la surface extérieure, source de lumière et d'échange de chaleur. gem (d) 4 septembre 2009 à 11:55 (CEST)
- Oui, mais ça participe de la majesté du pouvoir de sa regrettée altesse Mimi Ier. On s'en fiche que ce ne soit pas rationnel, il faut en imposer au peuple. Félix Potuit (d) 4 septembre 2009 à 17:41 (CEST)
- Je confirme et précise : les sept étages les plus bas des tours sont occupés par des bureaux, tous les autres le sont par des magasins à livres (que je n'ai pas vus non plus, et je doute que ce soit ouvert aux Journées du patrimoine). Exception : le dernier étage d'une des tours (la tour des Lois sauf erreur de ma part) est occupé par de vastes salles de réunion (là en revanche j'y suis allé, la vue est magnifique). Il existe aussi quatre niveaux de socle (au moins) où se trouvent les salles de lecture tournées vers l'intérieur du jardin et les espaces internes tournés vers les rues avoisinantes, où l'on trouve encore des bureaux et des magasins, ainsi que la « rue intérieure ». O. Morand (d) 5 septembre 2009 à 01:08 (CEST)
- Merci pythie ! Celette (d) 6 septembre 2009 à 23:08 (CEST)Celette
- Je confirme et précise : les sept étages les plus bas des tours sont occupés par des bureaux, tous les autres le sont par des magasins à livres (que je n'ai pas vus non plus, et je doute que ce soit ouvert aux Journées du patrimoine). Exception : le dernier étage d'une des tours (la tour des Lois sauf erreur de ma part) est occupé par de vastes salles de réunion (là en revanche j'y suis allé, la vue est magnifique). Il existe aussi quatre niveaux de socle (au moins) où se trouvent les salles de lecture tournées vers l'intérieur du jardin et les espaces internes tournés vers les rues avoisinantes, où l'on trouve encore des bureaux et des magasins, ainsi que la « rue intérieure ». O. Morand (d) 5 septembre 2009 à 01:08 (CEST)
- Oui, mais ça participe de la majesté du pouvoir de sa regrettée altesse Mimi Ier. On s'en fiche que ce ne soit pas rationnel, il faut en imposer au peuple. Félix Potuit (d) 4 septembre 2009 à 17:41 (CEST)
- C'est clair que c'était débilissime, quand on veut stocker des choses l'organisation rationnelle (économique, pratique, etc.) ce n'est pas la tour, c'est le hangar industriel, à plat, muni d'étagères et où circulent les charriots de transport, adapté, climatisé et sécurisé de façon adéquate à l'objet stocké (système anti-incendie sans eau, par exemple) ; a fortiori quand ce sont des objets qui craignent lumière et chaleur, qu'on a donc pas besoin de stocker dans une tour, structure dont la principale caractéristique est de maximiser la surface extérieure, source de lumière et d'échange de chaleur. gem (d) 4 septembre 2009 à 11:55 (CEST)
- Quand vous dites "au dessus", ca concerne toute la hauteur des tours ? Il n'y a alors pas de salles de consultation en haut. Celette (d) 3 septembre 2009 à 18:43 (CEST)Celette
Recherche du nom d'un commerce ancien
modifierBonjour,
Mon épouse et moi-même sommes à la recherche du nom d'un commerce aujourd'hui disparu. Ce commerce proposait à la vente les produits fermiers tels que volailles, oeufs, parfois gibier et autres produits issus des animaux de la ferme. Il ne s'agit d'un nom peu usuel, dont la consonance était sans rapport évident avec le type d'activité.
Nous avons déjà interrogé plusieurs personnes sans succès.
Si l'Oracle pouvait trouver la réponse, nous serions soulagés d'une recherche jusqu'alors infructueuse.
Merci d'avance Jean-Louis et Claudine
Merci pour cette réponse mais hélas ce n'est le mot que nous cherchons. Nous avons connu ce type de commerce dans les années 1960-70.
Cordialement.
- Pour info, et afin de faciliter la recherche, c'était dans quel coin ? Il se peut que ç'ait été un nom local. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 3 septembre 2009 à 20:10 (CEST)
- Coquetier, coquassier ? Colo (d) 3 septembre 2009 à 21:06 (CEST)
- Une question un peu semblable mais inverse avait été posée ici il y a pas mal de temps : il s'agissait d'expliquer le sens du mot, qui était occitan, en tout cas languedocien... attendez, ça va me revenir... je l'ai sur le bout de la langue... Morburre (d) 3 septembre 2009 à 21:18 (CEST)
- Serait-ce De quel métier s'agit il ? (semaine 2 2008) -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 3 septembre 2009 à 21:27 (CEST)
- Je savais bien que ça allait me revenir : merci Olivier. C'était mangonièr, ou mangonnier. Mais ce n'est peut-être pas la bonne réponse. Morburre (d) 3 septembre 2009 à 22:53 (CEST)
- Ça ne m'inspire que 3 lettres pour 3 mots : BOF ! Père Igor (d) 3 septembre 2009 à 23:40 (CEST)
- J'y avais bien pensé mais le moins qu'on puisse dire, ça ne correspond pas à ce que dit notre questionneur, un nom « dont la consonance était sans rapport évident avec le type d'activité ». Sauf bien sûr s'il n'a jamais cherché à savoir ce que signifiaient ces trois lettres ni vu ou lu Au bon beurre. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 4 septembre 2009 à 00:36 (CEST)
- Bonjour- Il y a longtemps, une petite chaine de magasins de ce type : "Le Bleu"Bb98 (d) 4 septembre 2009 à 20:31 (CEST)
- J'y avais bien pensé mais le moins qu'on puisse dire, ça ne correspond pas à ce que dit notre questionneur, un nom « dont la consonance était sans rapport évident avec le type d'activité ». Sauf bien sûr s'il n'a jamais cherché à savoir ce que signifiaient ces trois lettres ni vu ou lu Au bon beurre. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 4 septembre 2009 à 00:36 (CEST)
- Ça ne m'inspire que 3 lettres pour 3 mots : BOF ! Père Igor (d) 3 septembre 2009 à 23:40 (CEST)
- Je savais bien que ça allait me revenir : merci Olivier. C'était mangonièr, ou mangonnier. Mais ce n'est peut-être pas la bonne réponse. Morburre (d) 3 septembre 2009 à 22:53 (CEST)
- Coquetier.Relevé sur le recensement de 1891 d'un village Briard Abécédé (d) 4 septembre 2009 à 22:59 (CEST)
- Serait-ce De quel métier s'agit il ? (semaine 2 2008) -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 3 septembre 2009 à 21:27 (CEST)
- Une question un peu semblable mais inverse avait été posée ici il y a pas mal de temps : il s'agissait d'expliquer le sens du mot, qui était occitan, en tout cas languedocien... attendez, ça va me revenir... je l'ai sur le bout de la langue... Morburre (d) 3 septembre 2009 à 21:18 (CEST)
- Coquetier, coquassier ? Colo (d) 3 septembre 2009 à 21:06 (CEST)
Merci à tout ceux qui se sont penchés sur cette question, mais malheureusement le nom qui reste coincé sur le bout de la langue est toujours présent. Ce nom n'existe peut-être pas et n'est que supposé ... Si je le trouve je préviendrai l'Oracle. Encore une fois merci
- Moi je dirai volailler, car ça existait dans les années 60/70, que ça a disparu avec les tripier et les droguistes (et non les tripiistes et les droguers !) au grands profils de Messieurs Edouard, Carouf et autres grands de la distribution... et aussi parce que la consonance n'a aucun rapport évident avec œuf et gibier ! Comment ça bof ?! --Ragnard Lodbrock (d) 10 septembre 2009 à 13:34 (CEST)
- Je persiste.Coquetier Voir ci-dessus en date du 4 septembre à 22:59Abécédé (d) 10 septembre 2009 à 16:35 (CEST)
Bonjour, je cherche une adresse pour écrire à Vernon Dobtcheff, j'ai cherché sur Google, mais je n'ai pas trouvé. Pouvez-vous me donner cette adresse ou bien à qui dois-je m'adresser.
Je vous en remercie d'avance.
Très cordialement, LERDA Régis.
- Désolé, je dois placer cet avertissement :
Wikipédia n'est ni un annuaire, ni une base de données, ni un site de renseignements téléphoniques, mais une encyclopédie.
De ce fait, les articles qui la composent ne doivent pas se borner à être de simples compilations de sources primaires, mais doivent au contraire s'appuyer sur des sources secondaires qui analysent le sujet et le mettent en perspective.
- Mais j'essaierai tout de même de te donner une piste. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 4 septembre 2009 à 12:05 (CEST)
- D'après cette fiche il est représenté par cette agence. Il y a un numéro de téléphone et une adresse de courriel, ils pourront probablement t'aider dans ta recherche. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 4 septembre 2009 à 12:21 (CEST)
immobilier
modifierbonjour
bien voila mari depuis peu sous le regime de la communautee;;; souhaitons acheter dans l ancien mais moi meme je suis ficher au ficp pendant 5 ANS y a il une solution...merdi de votre reponse a toute votre equipe a bientot
- Tout d'abord on dit bonjour, on fait pas de fautes d'orthographe et on signe ce qu'on écrit. Ensuite ce n'est pas un site pour faire de la publicité. Merci à vous . --Joe_La_Truite (d) 4 septembre 2009 à 13:41 (CEST)
- Hum ! Salut, Joe La Truite, j'espère que tu ne comptes pas faire sur l'Oracle du forum, à l'instar de tes interventions coutumières sur le Bistro. Ensuite, notre questionneuse nous gratifie d'un bonjour et un « merci de votre réponse » avec quelques coquilles mais bien présent. Cela posé, chère questionneuse,
- Trouvez plutôt un forum mieux adapté à votre demande. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 4 septembre 2009 à 13:50 (CEST)
- ben, il suffit de lire Fichier national des incidents de remboursement des crédits aux particuliers pour voir une solution évidente : payez vos dettes...
- Il reste toutefois possible à votre mari, s'il est clean, d'acheter sans vous, soit via une société civile immobilière dont vous ne seriez pas partie prenante, soit avec ses biens propres (par exemple : à l'aide d'un PEL ou un PEA antérieur à son mariage). Ça dépendra des relations qu'il a avec son banquier, mais un refus est a priori plausible.
- gem (d) 4 septembre 2009 à 14:53 (CEST)
Keppner et la règle des 5 B.
modifierBonjour à tous! Il est souvent fait référence dans les manuels de marketing à la règle des 5 B (appelée 5 R en anglais). On y accole souvent le patronyme (?) de Keppner (avec des variantes pour l'orthographe...). La question qui me taraude l'esprit est la suivante : qui est ce Monsieur Keppner ? Merci de m'aider par votre contribution. Pascal
- En effet, l'article sur le marchandisage parle d'un Keppner qui devient Kepner en note de bas de page et donne pour référence : Kepner, Modern Supermarket Operations, 1963. Cependant, une recherche sur Google nous indique que l'auteur de cet ouvrage est un certain Edward A. Brand (référence exacte : c'est un « Google-Book» où le nom de l'auteur est sans équivoque). Bref, pas de réponse pour l'instant... -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 4 septembre 2009 à 14:09 (CEST)
- "Relevance, Risks, Rewards, Roadblocks, Repetition". D'où Charles Higgins Kepner, Ph.D. Yale University, USA, co-auteur de quelques livres et co-fondateur de Kepner-Tregoe. ViZiT (d) 4 septembre 2009 à 15:40 (CEST)
- Et ben voilà, ça m'évitera de chercher plus... Merci. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 4 septembre 2009 à 16:44 (CEST)
- "Relevance, Risks, Rewards, Roadblocks, Repetition". D'où Charles Higgins Kepner, Ph.D. Yale University, USA, co-auteur de quelques livres et co-fondateur de Kepner-Tregoe. ViZiT (d) 4 septembre 2009 à 15:40 (CEST)
Merci de vos recherches à tous les deux !
suplication
modifierBonjour,je m'appelle ben,je suis togolais et je tiens à vous féliciter d'énomes éfforts que vous menez à travers le monde entier.wikipedia est vraiment mon site de recherche, sur ceux, j'ai decouvere une personnage au nom de Al-Walid ben Talal ben Abd al-Aziz Al Saoud (un prince d'arabie saoudite)à qui je veux jeter des fleures pour tout ce qu'il fait dans le monde mais je n'arrive pas à trouver son adresse mail.Je vous suplie d me trouver son e-mail SVP,merci d'avance.ben
- Ce Al-Walid ben Talal ben Abd al-Aziz Al Saoud ? L'Oracle n'étant pas un annuaire, posez votre question ici, ou ailleurs... amusant, le premier lien donnait des numéros et adresse mail, maintenant inaccessible, le deuxième pas moyen de cliquer sur "contact". ViZiT (d) 4 septembre 2009 à 21:49 (CEST)
A propos de la TNT
modifierBonjour, Dans mon camping-car je dispose d'un téléviseur réceptionnant la TNT (DVBT) dans la région ou je me trouve (entre Montélimar et Pont St Esprit) je ne capte jamais rien. Renseignement pris, il semblerai que les émetteurs militaires placés sur le mont Ventoux en seraient la cause. Au hasard d'une balade, j'ai atterri au pied du mont Ventoux, par curiosité j'ai lancé une recherche et obtenu 19 chaines. Est il possible que l'effet des émetteurs ne soit pas efficace à proximité de la source d'émission. Sinon l'un d'entre vous aurait il explication ? Merci --Kkbs (d) 4 septembre 2009 à 21:18 (CEST)
- En TNT ou radioamateurisme ou n'importe quoi qui fait intervenir une antenne et des champ électromagnétiques, le Diagramme de rayonnement est essentiel. Par exemple sur cette étude d'une antenne relais, on voit clairement qu'on capte moins bien au pied de l'immeuble que sur le toit de l'immeuble en face, donc il vaut mieux habiter sous l'antenne qu'en face. Et si les champs t'intéressent, tu peux lire ces caractéristiques générales des antennes et admirer ces simulations en 3D. ViZiT (d) 4 septembre 2009 à 22:32 (CEST)
Merci ViZiT, mon niveau ne me permet pas de tout comprendre à la lecture des articles proposé, j'ai maintenant une vague idée du fonctionnement des antennes. Ce qui ne résous pas vraiment mon problème de captage des chaines TV dans un rayon de 20/30 kms du Ventoux. Bien à toi --Kkbs (d) 5 septembre 2009 à 05:34 (CEST)
Jeux floraux du Languedoc
modifierChers amis,
J'ai trouvé dans les archives de mon père (né e 1908) deux diplômes décernés par les Jevx floravx dv Langvdoc (sic), datés l'un de 1927, l'autre de 1928 !!!
Je suppose que mon père avait pris part à un concours de poésie (!!??)
Je me demande, et c'est la question, si il y a des archives de ces concours…
Et si on peut avoir les poésies proposées en son temps.
Je vous reercie d'avance pour votre réponse.
Saby
- demandez aux Éditions De La Revue Du Languedoc . ViZiT (d) 4 septembre 2009 à 23:15 (CEST)
- Une recherche sur Google [7]donne des résultats. Philippe Nusbaumer (d) 5 septembre 2009 à 00:28 (CEST)
- Il existe toujours une Académie des Jeux floraux sise à Toulouse qui a son site Internet et que bien sûr on peut contacter par courrier, courriel ou téléphone. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 5 septembre 2009 à 05:02 (CEST)
- Oui oui, et c'est toujours la même dpuis un bout de temps, avec des archives et tout. Morburre (d) 5 septembre 2009 à 20:50 (CEST)
- Il existe toujours une Académie des Jeux floraux sise à Toulouse qui a son site Internet et que bien sûr on peut contacter par courrier, courriel ou téléphone. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 5 septembre 2009 à 05:02 (CEST)
- Une recherche sur Google [7]donne des résultats. Philippe Nusbaumer (d) 5 septembre 2009 à 00:28 (CEST)
Fer rouge
modifierAu vu de ces commentaires: [8] [9], il semblerait que la mairie de Paris et l'Etat se rejettent l'un sur l'autre la responsabilité de l'illumination de la tour Eiffel aux couleurs de la Turquie. Quelqu'un sait-il qui a le pouvoir de décider et d'autoriser les illuminations de la tour ? Apokrif (d) 4 septembre 2009 à 23:21 (CEST)
- Lis la première ligne de cette artcile : Sociétés d'économie mixte de Paris. Les deux se partagent la société qui gère la tour, mais la mairie de Paris en possède 17 parts, et l'État seulement 2. C'est donc la mairie de Paris qui a ce pouvoir. Agrafian Hem Rarko (me parler) 4 septembre 2009 à 23:28 (CEST)
- Je serais curieux de savoir si la mosquée Sainte-Sophie est, par juste retour des choses, illuminée aux couleurs de la France ? Félix Potuit (d) 5 septembre 2009 à 10:17 (CEST)
- Est-ce l'année de la France en Turquie et la mosquée Sainte-Sophie est-elle un monument comparable à la tour Eiffel ? Apokrif (d) 5 septembre 2009 à 18:09 (CEST)
- Hum... la question est plutôt : un paquet de poutres de fer et de rivets au montage assez trivial est-il comparable à Sainte Sophie ? gem (d) 7 septembre 2009 à 11:08 (CEST)
- Est-ce l'année de la France en Turquie et la mosquée Sainte-Sophie est-elle un monument comparable à la tour Eiffel ? Apokrif (d) 5 septembre 2009 à 18:09 (CEST)
- Je serais curieux de savoir si la mosquée Sainte-Sophie est, par juste retour des choses, illuminée aux couleurs de la France ? Félix Potuit (d) 5 septembre 2009 à 10:17 (CEST)
Aide
modifierBonjour , je voudrais savoir qu'est-ce qu'un animal SPF.
- Le SPF, Service public fédéral belge, comporte une division "Bien-être animalier". Une petite recherche sur Google vous en dira plus. Dhatier jasons-z-en 5 septembre 2009 à 03:31 (CEST)
Saut.. dans le bac à sable
modifierChères pythies,bonjour.Les articles sur le saut en longueur et le triple-saut ne mentionnent pas comment est mesurée la longueur du saut et quel est le point de chute qui est pris en considération:l'arrière du talon peut-être? et comment peut-on avoir une longueur si précise au centimètre près.Allez hop, et qu'ça saute Abécédé (d) 5 septembre 2009 à 11:25 (CEST)
- C'est la trace la plus en arrière qui est compté. Si c'est la réception est manquée, qu'elle se fait les mains en arrière, ce sera la trace des mains, sinon ce sont en effet le talon, ou les fesses. Le début, c'est la planche d'appel. Cordialement. HaguardDuNord (d) 5 septembre 2009 à 11:39 (CEST)
Beyond Beef
modifierBonjour, Dans cet article du Nouvel Obs, on peut lire que l'élevage accapare 60% de la production mondiale de céréales. Dans l'article Wikipédia Céréales, on parle de 37%. Le thème de l'article du Nouvel Obs est le livre Beyond Beef de Jeremy Rifkin, donc je suppose que ce chiffre de 60% en est tiré, mais en cherchant avec Google Books je n'ai pas pu trouver la page correspondante. Quelqu'un a-t-il lu ce livre et peut-il confirmer ce chiffre ? J'ai également trouvé ceci qui indique une moyenne mondiale de 31% et ça qui tourne plutôt autour de 36/37%. Pourquoi des estimations si différentes ? Et d'où provient l'estimation de 60% du Nouvel Obs ? Merci, Fabien (disc) 5 septembre 2009 à 17:01 (CEST)
- Et que signifie le sur-titre ? 30% de la surface du globe, sachant que les terres émergées n'en font pas autant ? 78 % des terres arables ? 38% de l'Amazonie ? Et des claques ? ViZiT (d) 5 septembre 2009 à 18:12 (CEST)
- Tout ça n'est pas clair : d'un article l'autre on lit que d'après Jeremy Rifkin les nombres ont tendance à changer : 30% ou 1/3 des céréales ; monopolisent 30% des terres cultivées ou monopolisent 30% de la production agricole ou occupent 20% des terres cultivées, etc. Quand quelque wikipédien aura lu le bouquin et relevé les valeurs qu'il indique réellement, il sera alors temps d'ajouter ces informations (en indiquant la source bien sûr) dans les articles concernés, si nécessaire du moins... -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 5 septembre 2009 à 18:41 (CEST)
- Le sur-titre parle de 30% des céréales, et non de la surface du globe, mais uniquement pour les bovins et non l'ensemble du bétail. L'article de Wikipédia mentionne Lester Brown comme source pour 37%. D'ailleurs, alors que le Nouvel Obs parle de 60% de la production mondiale de céréales, soit 670 millions de tonnes, Lester Brown parle de 37% soit 740 millions. L'ouvrage de Brown date de 2008, celui de Rifkin de 1993, donc il est normal que les chiffres soient différents, mais tout de même, ces chiffres indiqueraient un quasi doublement de la production céréalière en 15 ans, cela me paraît beaucoup. Quoiqu'il en soit, les chiffres de Brown sont cohérents avec ceux fournis par la FAO en 2004. Fabien (disc) 5 septembre 2009 à 21:14 (CEST)
- Ce n'est pas ce que je lis : 30% des céréales en sur-titre, puis 60% dans le corps du texte...30 % de la surface du globe dans l'article alors que la totalité des terres émergées de la planète ne font pas autant. Donc ces chiffres sont au mieux mal compris, mal expliqués. ViZiT
- Ah ok, 30% de la surface c'était plus loin dans l'article, ça ne m'avait pas frappé. Pour le pourcentage de céréales, la différence entre le sur-titre et l'article, c'est parce que le titre parle des bovins, l'article de l'ensemble de l'élevage. Fabien (disc) 6 septembre 2009 à 02:18 (CEST)
- Ce n'est pas ce que je lis : 30% des céréales en sur-titre, puis 60% dans le corps du texte...30 % de la surface du globe dans l'article alors que la totalité des terres émergées de la planète ne font pas autant. Donc ces chiffres sont au mieux mal compris, mal expliqués. ViZiT
Question au suject de la langue dans les encyclopedies francais
modifierBonjour,
Nous avons eu une question a l'Oracle anglais - est-ce qu'on peut me dire, en francais pourquoi est-ce qu'on utilise le présent dans une page de wikipedia, quand le sujet est deja mort? Par example, dans la page de Sigmund Freud, il dit qu'il est le fondateur de la psychanalyse - en anglais, on dit qu'il était le fondateur. Mais aussi, si on pense de FDR, la page dit qu'il était le trente-deuxième président des États-Unis - et pas 'est'. Est-ce qu'il y une raison, est-ce que c'est preference personnelle, une chose de grammaire que je n'ai pas vu... ?
Merci! :) --Saalstin (d) 5 septembre 2009 à 23:52 (CEST) Desolé, nous avons trouvé Wikipédia:Conventions_de_style#Biographies --Saalstin (d) 6 septembre 2009 à 00:09 (CEST)
- Voyez aussi dans Présent (linguistique), présent de narration ou présent historique... rv1729 6 septembre 2009 à 01:11 (CEST)
camion ???
modifierbonjour ma question est simple que signifie la lettre(D)sur les cabines des vieux camions merci.
- Si, comme je le crois, le symbole dont tu parles correspond à celui décrit dans cette page, tu as ta réponse. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 6 septembre 2009 à 07:26 (CEST)
Bébète et paranoïa
modifierRebonjour à tous.
Voilà, suite un peu à la parano sur la Veuve noire que l'on nous fait actuellement en Belgique (Paraitrait qu'il y en a et qu'elle se serait acclimatée chez nous ), mon épouse étant un peu beaucoup arachnophobe, elle s'est mise à regarder tout ce qui a 8 pattes et un petit corps.
Ce matin, elle est tombée sur ce que je vous montre en photo, et on se demande largement si c'est une gentille bébète qui n'avait rien fait et qui passait par là ou si c'est vraiment une de ces veuves noires. Alors évidemment, je n'ai pas non plus eu 45 minutes pour préparer mon appareil photo, et mon gentil bridge a ceci de très bien fait que si je fais un macro avec le flash, l'objectif fait une zone d'ombre sur le sujet (c'est hyper pratique, si si... ).
La taille fait à peu près, de bout de patte à bout de patte (quand elle est dépliée (oui là elle est un peu noyée, et on ne lui a pas demandé son titre de séjour avant de la noyer)) 2,5 à 3 cm... Et juste l'abdomen doit faire 3 ou 4 mm... Les pattes sont un espèce de translucide.
Si vous avez une idée de ce que ça pourrait être pour rassurer madame (ou la faire fuir du ménage totalement bien qu'elle ne sera à l'abri nulle part j'imagine... ).
Merci d'avance.
Min's - 愛 6 septembre 2009 à 08:49 (CEST)
- Je ne suis pas entomologiste (c'est le bon mot pour l'étude des araignées ?) ni ne vis en Belgique (donc pas soumis à la paranoïa anti-viduitaire) mais franchement, ça ne m'a pas l'air de ressembler à une veuve noire : le motif sur son dos est noir sur fond jaune, alors que celui desdites veuves, quand elles en ont un, est rouge sur fond noir. On n'a rien sur ces variétés ici mais ça ressemble plutôt à une en:chrisso, voir les images de Commons:Category:Chrysso. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 6 septembre 2009 à 10:10 (CEST)
- Pas un entomologiste, un arachnologue ou même, un aranéologiste. Il faudrait plutôt poser la question dans l'Atelier d'identification. Comme une araignée n'est pas un insecte que 'autre animal' semble aller des éléphants et des baleines aux acariens, je n'ose pas être plus précis (moi, je poserais la question dans l'atelier des insectes). -- Xofc [me contacter] 6 septembre 2009 à 10:37 (CEST) Ben ouais, justement : je sais bien que les arachnides, pour être des arthropodes n'en sont pas pour autant des insectes, mais il me semble aussi que les spécialistes deces bestioles-là sont tout de même assez à même de déterminer à quelle espèce appartient cette bébête . -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 6 septembre 2009 à 14:51 (CEST)
- Vu le dessin sur son dos, ce n'est pas bébêtement une épeire ? Morburre (d) 6 septembre 2009 à 11:28 (CEST)
- Vouâlâ, c'est le nom que je cherchais ! Une épeire. Le côté translucide des papattes de la bébête vient probablement du fait qu'elle est assez jeunette. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 6 septembre 2009 à 11:49 (CEST)
- merciii... Au moins ça a rassuré madame Min's - 愛 6 septembre 2009 à 13:23 (CEST)
- Vouâlâ, c'est le nom que je cherchais ! Une épeire. Le côté translucide des papattes de la bébête vient probablement du fait qu'elle est assez jeunette. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 6 septembre 2009 à 11:49 (CEST)
SOS médecin
modifierBonjour à toutes et à tous. Lu dans l'article Électrocardiographie : « il est pathologique en cas de surcharge ventriculaire droite (comme le cœur pulmonaire aiguë [..] » : je ne comprends pas ce féminin si l'adjectif s'accorde avec cœur, mais il est possible qu'il manque un déterminant. Une idée quelqu'un ? Merci de votre aide --Anne97432 (d) 6 septembre 2009 à 08:56 (CEST)
- Une recherche sur "cœur pulmonaire" donne assez logiquement la séquence « cœur pulmonaire aigu » sauf, ô paradoxe ! dans une page intitulée Coeur pulmonaire : sites et documents francophones. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 6 septembre 2009 à 09:43 (CEST)
- Faute d'orthographe qui a été corrigée. Merci de votre vigilance. Nguyenld (d) 7 septembre 2009 à 13:29 (CEST)
Banane
modifierBonjour Il y a plusieurs personnes qui m’a dit que lorsque le centre d’une banane est noir que ce sont des vers microscopique est-ce que quelqu’un peut répondre à cette question. merci
- les vers microscopiques Meloidogyne et Radopholus similis s'en prennent à la racine du bananier, pas au fruit. Par contre, si tu manges des "vraies bananes" (pas celles d'exportation qui sont stériles), il y a des graines noires dans le fruit. Cobra Bubbles Dire et médire 6 septembre 2009 à 16:37 (CEST)
- Un petit correctif : les consommateurs de bananes « bio », lesquelles ne sont pas moins vraies que les autres, peuvent trouver des graines dans leurs fruits. Par contre j'abonde sur le fait que les bananes que l'on peut le plus souvent trouver dans les commerces sont en général stériles. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 6 septembre 2009 à 17:03 (CEST)
- Et au fait, connais-tu la chanson Les Bananes ? Une chanson qui nous ramène indirectement (ou plutôt, implicitement) vers une autre question du jour. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 6 septembre 2009 à 17:13 (CEST)
Sciences cognitives
modifierBonjour,
Je suis très attiré par les sciences cognitives. Je voudrais connaître le meilleur moyen de les étudier et de travailler dans ce domaine. On m'a dit que c'était possible en passant par les grandes écoles, type Mines ou Centrale. Qu'en pensez-vous ? Etudier les sciences cognitives est-il porteur de débouchés autres que la recherche pure et dure ?
Merci d'avance, 86.72.45.184 (d) 6 septembre 2009 à 15:42 (CEST)
- J'ai de longue date trouvé que la désignation « sciences cognitives » appliquée aux seuls domaines de l'hexagone que tu nous proposes est étrange : qu'est que la cognition ? Comme nous le dit l'article de Wikipédia, pourtant placé sous le symbole de la psychologie, « La cognition est le terme scientifique pour désigner les mécanismes de la pensée ». Comme nous le dit le TLFi, c'est un mot « emprunté au latin classique cognitio, “action d'apprendre”, “connaître”; connaissance” » ; qu'est-ce que la science, quel que soit son domaine d'application, sinon l'action d'apprendre, de connaître ? cognitio dérive, nous dit encore le TLFi, du verbe « latin classique cognoscere “apprendre à connaître” , “connaître” ; “reconnaître” ; »; Qu'est-ce que la démarche scientifique sinon la volonté d'apprendre à connaître ? Sans vouloir te troubler dans ton désir d'apprendre, je regrette que tu acceptes l'application de l'expression « sciences cognitives » à ce seul domaine : toute science est cognitive, qu'elle soit exacte, humaine ou sociale.
- Pour ta demande précise, je crois qu'on t'a mal conseillé : Mines et Centrale (terme désignant habituellement l'école centrale Paris) sont des lieux où, sauf l'informatique, les sciences de ton losange sont très peu voire non enseignées... -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 6 septembre 2009 à 16:39 (CEST)
- Sciences cognitives, c'est un terme consacré plus ou moins bien défini. Toute science est cognitive, certes, mais toute science n'est pas une sience de la cognition (toute science n'est pas science humaine, bien que toute science soit une activité humaine). Les sciences cognitives sont celles qui s'attachent à étudier les mécanismes de la cognition, de l'apprentissage et de la perception du monde, sous des angles divers (d'où le pluriel). Fabien (disc) 6 septembre 2009 à 16:50 (CEST)
Les sciences cognitives ont des applications dans l'ingénierie, par exemple pour l'ergonomie, le facteur humain, la réalité virtuelle (dans les secteurs de l'aviation ou de l'automobile), ou encore l'intelligence artificielle ou la linguistique informatique (traducteurs automatiques par exemple). Pour parler de ce que je connais, j'ai étudié l'informatique à l'UTC et cette école a plusieurs enseignements de sciences cognitives pour l'ingénieur (mais pas de quoi devenir un expert en la matière) mais surtout un master recherche de sciences cognitives. J'ai des amis qui ont fait ce master après leur diplôme d'ingénieur en informatique ou en mécanique et qui font maintenant de la recherche dans la sociologie sur le web, plus ou moins. Apparemment, le master tel que je le connaissais n'existe plus, mais il y en a un nouveau "Innovation Connaissance Interaction" qui est géré conjointement par les départements sciences cognitives, informatique et mécanique (et à en juger par la description et le prof responsable, ancien président (2007) de l'association pour la recherche en SC, il doit rester assez proche de ce que je connaissais). Il est ouvert aux étudiants avec un diplôme en sciences, sciences humaines ou design. En ce qui me concerne, je vais commencer un master en facteur humain (appelé simplement Human Factors) à l'université technique de Berlin qui est un peu du même genre : il est destiné aux étudiants ayant un bachelor ou un master en sciences de l'ingénieur ou en psychologie. Il parait que ce type de master reste rare, mais se développe pas mal. A priori, du fait de l'interdisciplinarité des sciences cognitives, j'imagine que les voies et les débouchés sont très nombreux et variés. Je pense que ces formations "Human Factors" sont intéressantes pour celui qui cherche des débouchés dans l'industrie plutôt que la recherche, mais ce n'est sans doute pas la seule voie (je n'en sais pas plus). Fabien (disc) 6 septembre 2009 à 16:45 (CEST)
- Comme le dit l'article, "les sciences cognitives forment donc un champ interdisciplinaire très vaste dont les limites et l'articulation des disciplines constitutives entre elles font toujours débat." Il paraît difficile de se spécialiser à la fois dans les neurosciences, la philosophie, la linguistique et la cognitique, par exemple. Il faudrait donc que tu détermines d'abord quel est l'aspect des sciences cognitives qui t'attire le plus. Félix Potuit (d) 6 septembre 2009 à 16:51 (CEST)
- Bref, comme te l'indiquent les interventions pythiques précédentes : 1) « sciences cognitives » n'est pas une désignation très valide ; 2) sauf deux des domaines indiqués dans le losange, peu de chances que, dans les deux écoles que tu cites, on puisse t'y enseigner grand chose. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 6 septembre 2009 à 16:57 (CEST)
- Comme le dit l'article, "les sciences cognitives forment donc un champ interdisciplinaire très vaste dont les limites et l'articulation des disciplines constitutives entre elles font toujours débat." Il paraît difficile de se spécialiser à la fois dans les neurosciences, la philosophie, la linguistique et la cognitique, par exemple. Il faudrait donc que tu détermines d'abord quel est l'aspect des sciences cognitives qui t'attire le plus. Félix Potuit (d) 6 septembre 2009 à 16:51 (CEST)
- Félix, ce n'est pas tout à fait exact. On peut certes choisir de se spécialiser dans une science cognitive en particulier, mais il existe aussi des formations qui sont pluridisciplinaires par nature. Par exemple, la formation de l'UTC que je mentionne plus haut comprends de la philo, de la linguistique et je suppose un peu de bases en psycho et neurologie, mais l'ensemble est centré sur et limité à la problématique du rapport à la technique. Ces formations pluri-disciplinaires se développent beaucoup. Fabien (disc) 6 septembre 2009 à 17:19 (CEST)
- Mais au bout du compte on est face au même constat : s'il existe de l'interdisciplinarité entre ces domaines, on les trouvera ailleurs que dans Centrale ou Mines; Cela se trouvera dans le CNRS, dans les universités ou dans les Université de Technologie comme ton UTC. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 6 septembre 2009 à 17:46 (CEST)
- C'est possible, je ne connais pas vraiment Centrale ou Mines. Mais à vrai dire, un aspect intéressant de ces formations est que les voies qui y mènent sont nombreuses. On peut très bien imaginer devenir ingénieur centralien, puis se tourner vers un master de ce type (je ne pense pas que ce soit l'option la plus logique). En ce qui me concerne, j'ai étudié l'informatique sans intention de me tourner vers les sciences cognitives, et en octobre je débute finalement un master dans le domaine, qui a des débouchés à la fois dans la recherche et dans l'industrie, donc j'ignore encore où ça va me mener : en fait, c'est un parcours qui peut être très flexible. Je suppose que si l'on a pour objectif de départ de travailler dans les sciences cognitives, il vaut mieux commencer à l'université dans la psychologie, mais les écoles d'ingénieurs et les formations en sciences "dures" peuvent aussi y mener. J'ignore s'il y a aussi des formations tournées vers les sciences cognitives dès le bac, ce n'est pas impossible. En tout cas, il y a pas mal d'associations destinées à promouvoir ce domaine, vu qu'il est encore récent, et qui fédèrent souvent des universités qui proposent des formations ou des équipes de recherche dans le domaine, par exemple l'ARCo que j'ai déjà mentionnée, ou alors la Human Factors and Ergonomic Society qui a des sections (Chapters) locales un peu partout dans le monde et même quelques sections d'étudiants. Je suppose que ces associations peuvent être un bon point de départ pour se renseigner sur les différents types de parcours et les formations existantes, voire même prendre contact avec des étudiants. Fabien (disc) 6 septembre 2009 à 18:10 (CEST)
- Mais au bout du compte on est face au même constat : s'il existe de l'interdisciplinarité entre ces domaines, on les trouvera ailleurs que dans Centrale ou Mines; Cela se trouvera dans le CNRS, dans les universités ou dans les Université de Technologie comme ton UTC. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 6 septembre 2009 à 17:46 (CEST)
- Merci de vos réponses. Si j'ai bien tout compris, il est (ce qui est logique), assez impossible d'étudier "toutes" les sciences dites cognitives. En revanche, il est possible, après une formation dans une ou plusieurs des disciplines de mon hexagone, de bosser plus ou moins facilement dans cette branche ? Sauriez-vous, dans ce cas, où pourrais-je étudier en même temps les neurosciences et la linguistique ou l'info et les neurosciences par exemple ? L'UTC a été cité, mais il a aussi été dit que ça reste assez superficiel, alors à part ça ? 86.72.45.184 (d) 6 septembre 2009 à 19:00 (CEST)
- (conflit d'édit)
- Je ne sais pas quelle est l'interrogation de notre questionneuse/eur, mais la question me semble : peut-on envisager un cursus dans les écoles Mines ou Centrale, où l'on peut avoir un enseignement axé principalement sur les sciences cognitives telles qu'elles apparaissent dans le losange proposé ; la réponse est : sauf pour l'informatique, non. Que les autres sciences de ce losange aient un rôle dans tel ou tel cursus ressort de l'évidence, qu'exception faite de l'informatique il y ait un cursus dans ces écoles où la dominante est l'une des autres sciences du losange, ou même deux d'entre elles, la réponse est non. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 6 septembre 2009 à 19:15 (CEST)
- J'ai compris la question sur Centrale comme plutôt secondaire. Il me semble que la question centrale c'est de savoir quelles sont les formations en sciences cognitives en général, pas uniquement à Centrale ou les Mines. Fabien (disc) 6 septembre 2009 à 19:30 (CEST)
- Pour répondre à la dernière question : il n'existe aucun cursus élémentaire (entre les première et troisième années dans le supérieur) où l'on peut étudier les neurosciences. Comme le fait comprendre notre article, elles ressortent à la fois de la médecine et de la biologie, ce qui implique qu'une spécialisation en « neurosciences » ne peut avoir lieu que tardivement, soit en optant pour la neurophysiologie dans les arts médicaux, soit en allant vers la neurobiologie du côté de la chimie ou de la biologie. Et pour l'étude conjointe de celle-ci et d'au moins une autre des disciplines, il en va de même : rien avant la troisième ou quatrième année d'étude. Je sais qu'entre autres à Jussieu ou à Orsay on trouve, au-delà de la troisième ou quatrième année, ce genre d'enseignements pluridisciplinaires, mais c'est à toi de chercher. -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 6 septembre 2009 à 19:23 (CEST)
- C'est superficiel en ce qui concerne la formation d'ingénieur, qui n'est pas une formation de sciences cognitives, mais qui offre simplement quelques enseignements au titre de "culture générale", mais c'est différent pour le master ICI, qui est un master en sciences cognitives (pas forcément ce que tu recherches, cela dit). Je pense qu'il y a beaucoup de formations différentes et qu'il faut que tu regardes un peu sur les sites de différentes universités les formations licences et masters qu'elles proposent. Ce site semblent proposer pas mal de liens. Celui-là aussi. Fabien (disc) 6 septembre 2009 à 19:30 (CEST)
- Merci de vos réponses.
En exceptant la formation en elle-même et en tablant qu'il est possible de suivre une formation adpatée aux sciences dites "cognitives", quelle qu'elle soit, de type, par exemple "Anthropologie/Linguistique/Informatique (éventuellement)", d'une part, est-il possible après 4 ou 5 ans d'anthropologie, de se spécialiser vers (quelque chose proche) des neurosciences, et d'autre part, une telle formation propose-t-elle des débouchés intéressants, et lesquels ? Merci d'avance. 86.72.45.184 (d) 7 septembre 2009 à 18:54 (CEST)
- Merci de vos réponses.
reliques de sainte Marie salomé et sainte Marie jacobé
modifierBonjour à tous Lors de ma visite à l'église des saintes Maries de la mer le 2.septembre 2009 j'ai remarqué les reliques ressemblant à deux os longs. Les reliques étaient dans une chasse en verre sur le socle de bois une plaque de cuivre gravée portait :"BEZIERS" Que veux dire ce terme.
Merci de m'éclairer.
- Un peu de bistro sur l'Oracle de temps à autre, ça ne fait pas de mal : ne serait-ce pas l'orthographe ancienne pour baiser ? -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 6 septembre 2009 à 16:46 (CEST) PS. Bien évidemment, je joue sur l'équivoque mentionnée à la fin de la présentation du terme : « Le baiser se distingue clairement du verbe “baiser” qui, de manière très familière, désigne l'acte sexuel ». -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O-
- ce doit être ça, et c'est Sainte-Marie-couche-toi-là? Cobra Bubbles Dire et médire 6 septembre 2009 à 16:48 (CEST)
- Et à part ça, Béziers c'est une ville, pas trop loin. Il est possible, mais pas certain, que les reliques y aient passé à un moment ou à un autre (les reliques ont toujours beaucoup circulé). Peut-être en compagnie de Saint Aphrodise, évêque de Béziers, originaire d'Égypte en ces temps lointains. Morburre (d) 6 septembre 2009 à 22:20 (CEST)
Voir du noir
modifierSi on ferme les yeux pour ne plus voir, alors pourquoi quand on les ferme, on voit du noir ?
- En fait il faut bien définir le verbe "voir" avant de poser ce genre de question. Et puis en vrai on ne voit pas que du noir quand on ferme les yeux, faites le test. On appelle ça persistance rétinienne .-Deva (d) 6 septembre 2009 à 21:18 (CEST)
- Le noir est la « non couleur », si l'on parle des couleurs en tant qu'ondes. C'est précisément, en ce cas, une frange assez limitée du spectre électromagnétique ; le noir indique, dans cette frange, l'absence d'ondes ou plus exactement, considérant la limitation de la perception de l'œil humain, les ondes allant vers l'infrarouge ou l'ultraviolet – selon ta question, on peut supposer que ça va plutôt vers l'infrarouge. Si l'on ferme les yeux dans un contexte où les ondes perceptibles sont plutôt longues, on verra du noir, donc de la non-lumière, dit autrement on ne « verra » rien. Bien sûr, « ne rien voir » est une notion sans grand sens pour des non-aveugles ou des bien-voyants, qui « voient » toujours « quelque chose », en ce cas qui voient qu'ils ne voient rien ce qui, pour un voyant, équivaut à « voir du noir ».
- Toutes mes considérations comportent beaucoup de guillemets, qui expriment cette évidence : toute personne qui a un sens de la vision fonctionnel voit toujours et dans le cas où elle se trouve dans une situation de « noir absolu » (absence effective de toute perception d'ondes électromagnétiques situées dans le spectre visible), elle « voit qu'elle ne voit pas ». Cela valant pour tous les sens : ne rien sentir (odorat) c'est « sentir qu'on ne sent rien », ne rien entendre c'est « entendre qu'on n'entend rien », ne rien sentir (toucher) c'est « sentir qu'on ne touche rien ». Donc, fermer les yeux pour ne rien voir c'est « voir qu'on ne voit rien »... -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 6 septembre 2009 à 21:47 (CEST)
- J'avais posé une question dans le même genre. La réponse se trouve ici : paupières (semaine 20 2009). --Kkbs (d) 7 septembre 2009 à 06:14 (CEST)
- La réponse de doc103 était d’ailleurs très intéressante. Mais il s’agissait justement de ce qu’on voit qui n’est pas noir. Pour le noir je crois qu’OMH a farpaitement répondu... rv1729 7 septembre 2009 à 10:02 (CEST)
- Loin de moi l'idée que la réponse était erronée, mon intervention ne servait qu'a compléter le sujet. A la longue d'être dans le noir, j'ai parfois l'impression qu'il a du gris au centre de ce que je vois. --Kkbs (d) 7 septembre 2009 à 12:41 (CEST)
Musique
modifierbj,je regarde " hors de prix " sur a2,et au generique figure le nom de camille bazbaz comme compositeur de la musique du film, mais s'agissant de la musique d'intro du generique,il s'agit d'un titre des annees 70,extrait des albums philadelphia sound,qui apparement n'est pas credité,pouvez vous me renseigner,merci xxxxxx@xxxxxx.fr
- Pardon, je ne trouve plus le bandeau expliquant qu'on ne doit pas laisser son adresse mail à l'Oracle. Concernant votre question je suis désolé je n'ai pas de réponse.-Deva (d) 6 septembre 2009 à 21:21 (CEST)
- Et voilà l'bandeau ! -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 6 septembre 2009 à 21:48 (CEST)
- Mince, j'oubliais l'autre bandeau :
[[SMS {{{1}}}|SMS {{{1}}}]]
- -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O-
- Merci Olivier je n'arrive pas à me le mettre en tête ce 'courriel' pour le bandeau...Par contre pour le langage sms c'est peut-être un peu abusé, non ? Ok moi aussi la vue du "bj" m'horripile, mais...bon...Le reste de la question est écrit en français (même si je n'ai en fait pas compris la question...Mais ça vient peut-être de moi.).-Deva (d) 7 septembre 2009 à 22:35 (CEST)
- Je me suis aussi fait la réflexion après coup, mais bon, le bandeau était posé... -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O- 7 septembre 2009 à 23:59 (CEST)
- Merci Olivier je n'arrive pas à me le mettre en tête ce 'courriel' pour le bandeau...Par contre pour le langage sms c'est peut-être un peu abusé, non ? Ok moi aussi la vue du "bj" m'horripile, mais...bon...Le reste de la question est écrit en français (même si je n'ai en fait pas compris la question...Mais ça vient peut-être de moi.).-Deva (d) 7 septembre 2009 à 22:35 (CEST)
- -O.M.H- ♦ ✉ ♦ -H.M.O-