Wikipédia:Oracle/semaine 37 2009

Dernier commentaire : il y a 15 ans par Djynn dans le sujet On s'en lave les mains

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tu n'aimeras point

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Bonjour. Connaîtriez vous, s'il vous plaît, la musique du film "Tu n'aimeras point", qui vient de sortir en salles, réalisé par Haïm Tabakman? En fait je n'ai fait que visionner la bande annonce de ce film sur Télérama.fr, rubrique "le fil cinéma", au début de laquelle passe ce choeur classique que j'avais déjà entendu mais dont je ne connais pas le nom. Merci. Francis Martin (d) 7 septembre 2009 à 11:37 (CEST)Répondre

D’après deux internautes à lire ici c’est « le duo des fleurs » de Lakmé. rv1729 7 septembre 2009 à 12:29 (CEST)Répondre

Oui, c'est bien ça. Merci, rv. Je te souhaite une bonne après-midi. Francis Martin (d) 7 septembre 2009 à 13:16 (CEST)Répondre

En revanche, elle n'apparait pas dans le film en lui-même (où alors j'ai fais une micro-sieste  ). HaguardDuNord (d) 7 septembre 2009 à 13:34 (CEST)Répondre
Ah ben la critique de Première dit l'inverse... [1]. Quelqu'un peut-il me confirmer que j'ai complètement zappé le son du film ? HaguardDuNord (d) 7 septembre 2009 à 13:43 (CEST)Répondre
C'est peut-être parce que la critique ne s'est contenté que de regarder la bande annonce   Quoi que parfois je me demande si il n'y aurai pas une part de vérité dans ce que je viens de dire...-Deva (d) 7 septembre 2009 à 22:38 (CEST)Répondre

Calcul du chemin de dépassement

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Bonjour, Oracle ! Voilà, je compte passer mon permis de voiture théorique, et j'étais en train, à ce fin, d'apprendre des formules telles que celle du calcul du chemin de dépassement, quand soudain, une évidence me frapper ! On me sert la formule (v1^2)/(v1-v2), où v1 est la vitesse du dépasseur et v2 celle du dépassé. Mais cette formule, sensée censée nous donner une distance (en mètres) nous donne une vitesse ! Comment cela s'explique-t-il ? En effet, je veux bien croire que dans la forme (V/10)^2 de la formule du chemin de freinage sur route mouillée , par exemple, résulte d'une simplification et que la constante 1/10 ait une unité, mais pour celle du calcul du chemin de dépassement, ça n'est pas le cas. Sauriez-vous m'explique le pourquoi du comment, s'il vous plaît ? Parce que là, ça me dépasse. --Dahu2004 (d) 7 septembre 2009 à 12:23 (CEST)Répondre

Calculons ensemble :
le chemin cherché est s = v1 . T, où T est le temps de dépassement
le temps de dépassement est T = d / (v1 - v2) , où d est le distance de dépassement (ie : dans le repère de la voiture dépassé, la distance entre "avant" et "après")
donc s = v1. d / (v1 - v2)
donc la formule donnée suppose que la distance de dépassement (d), en mètres, est égale à la vitesse du dépasseur, en km/heure. Par exemple 100 m pour 100 km/h. C'est une approximation raisonnable, d'autant qu'elle inclus une marge de sécurité d'autant plus grande que la vitesse est importante. gem (d) 7 septembre 2009 à 13:17 (CEST)Répondre
sEuh, non! Si on pose T = d / (v1 - v2), d n'est pas le chemin de dépassement, mais la variation de distance entre les deux véhicules. Si l'on veut se livrer à un calcul schématique, dépassement sans effleurer l'accélérateur, en supposant les longueurs des véhicules négligeables, on peut essayer de représenter la longueur du dépassement par la distance parcourue à la vitesse v1 entre l'instant où le dépassant est en retard de x secondes sur le dépassé, et celui où il le précède de x secondes. Le dépassement commence donc à une distance x*v1 derrière le véhicule lent, et se termine à x*v1 devant. La durée du dépassement, c'est cette distance divisée par la vitesse relative v1-v2, et la longueur du dépassement, c'est ce temps multiplié par la vitesse du mobile : le véhicule dépassant a parcouru 2x*v1²/(v1-v2), le véhicule dépassé 2x*v1*v2/(v1-v2). La formule est homogène si vous vous souvenez que le premier nombre est un temps. Maintenant, pourquoi x= 1/2 seconde... Colo (d) 7 septembre 2009 à 23:42 (CEST)Répondre
Euh... SI ! Vous n'avez rien compris, c'est tout. Relisez en faisant un minimum attention (par exemple : on recherche s, pas d, et d est le distance de dépassement dans le repère de la voiture dépassé), après revenez... gem (d) 8 septembre 2009 à 11:39 (CEST)Répondre
J'aurais tendance à être d'accord avec Colo. AMHA gem, tu fais une erreur de raisonnement (en particulier quand tu dis "[...] la formule donnée suppose que la distance de dépassement (d), en mètres, est égale à la vitesse du dépasseur, en km/heure [...]" car la formule, pour être homogène, doit prendre en compte des vitesses en m/s et pas des km/h ... Ziron (d) 8 septembre 2009 à 14:30 (CEST)Répondre
Et tu as tort comme lui. les m/s sont l'unité SI, à privilégier donc, mais il reste possible de calculer en verstes par temps d'écoulement d'un sablier si on préfère. Notre questionneur veut savoir pourquoi on utilise une formule manifestement inhomogène (en quoi il a raison), je lui répond que l'explication est dans l'approximation : d en mètres = v1 en km/heure, point final, rideau. gem (d) 8 septembre 2009 à 16:22 (CEST)Répondre
Bon d'accord, la formule est donnée pour des vitesses en km/h et donne un résultat en mètres. Soit. Donc quand je roule à 100 km/h, et que je veux doubler un véhicule qui roule à 90 km/h, il me faudra d = (100*100)/(100-90) = 1000 m. Et 200 m pour dépasser une mobylette ... Faut que j'arrête de dépasser, c'est devenu trop dangereux. Ziron (d) 9 septembre 2009 à 07:32 (CEST)Répondre
De toute façon cette formule est du foutage de gueule, personne ne l'utilise, c'est du calcul trop lent quand on conduit avec des données dont on ignore la valeur car quasiment personne ne sait évaluer la différence de vitesse avec le véhicule à dépasser, ni la distance jusqu'au prochain point où le dépassement doit impérativement être fini (virage, côte, demi-distance au véhicule venant d'en face), et les rares qui sauraient faire ça on plus vite fait d'évaluer "à l'oeil" et "à la louche" le point où ils seront après dépassement. gem (d) 9 septembre 2009 à 09:51 (CEST)Répondre
Là, je suis entièrement d'accord avec toi. Je vois mal demander à mon gamin (qui fait la conduite accompagnée) de calculer de tête la distance de dépassement - surtout en devant convertir des km/h en m/s ;=) - d'estimer la distance qu'il lui reste et de me dire si il a le temps de dépasser ... Ziron (d) 9 septembre 2009 à 11:22 (CEST)Répondre

Bonsoir, merci de m'avoir répondu. Effectivement, en pratique, cette formule ne sert à rien, excepté pour passer le permis théorique. ^^ Mais je n'ai pas bien compris en quoi l'approximation v1 = d est une approximation pertinente, a fortiori quand d dépend, si je ne m'abuse, également de la vitesse du deuxième véhicule. Merci d'avance. --Dahu2004 (d) 10 septembre 2009 à 21:36 (CEST)Répondre

Bah c'est pas spécialement pertinent (à mon avis) mais ça fait joli et ça implique une marge de sécurité pas stupide ; d ne dépend pas de v2 ni même de v1, c'est juste la distance entre le point à l'arrière du véhicule dépassé où on commence le dépassement et le point à l'avant de ce véhicule où on considère le dépassement comme fini ; on pourrait aussi bien prendre une distance fixe, 50 m par exemple (20 m de chaque bout + 10 m pour le véhicule). gem (d) 11 septembre 2009 à 14:45 (CEST)Répondre
Ah, d'accord, je vois. Effectivement, ce n'est pas sot, puisque, comme vous l'avez fait remarqué, la marge croît avec la vitesse. Merci pour vos réponses ! --Dahu2004 (d) 11 septembre 2009 à 21:15 (CEST)Répondre

questionnaire d'enquête

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je voudrait un exemple de questionnaire à administrer à une population pour le lancement d'un nouveau produit. et je voudrait savoir comment on analyse les resultats obtenus

Bonjour. Morburre (d) 7 septembre 2009 à 15:00 (CEST)Répondre
Un questionnaire ne se fait pas en copiant sur un autre mais en s'interrogeant sur ce que l'on veut connaitre. Tout dépendra si le produit est inédit ou si des concurrents sont déjà implanté, du type de produits, d'une cible markéting pré-existante. est-ce une enquête préalable à la mise en forme du produit, ou une enquête dédié à orienter le lancement publicitaire ou le positionnement stratégique ? Plutôt une étude quantitative ou un guide d'entretien qualitatif ?
Quand aux résultats, on les analyse là encore en fonction de ce que l'on veut savoir. Traditionnellement, on fait des statistiques, et on croise des réponses obtenus entre-elles, de manière le plus neutre possible, avec un merveilleux test de chi2 pour être sur que l'échantillon est représentatif de la population cible initiale.
Bref, pas de formule magique, et de bons bouquins dans toute bibliothèque universitaire. Cordialement. HaguardDuNord (d) 7 septembre 2009 à 15:21 (CEST)Répondre
Pour administrer la question à toute une population, le plus sûr est de sous-traiter à un prestataire.
De rien, nous sommes là pour éclairer les despotes.
S.M. | D.S.M. 7 septembre 2009 à 15:31 (CEST)Répondre
(conflit d'édit)
  Chère visiteuse, cher visiteur. C'est avec plaisir que nous répondrons à votre question si nous le pouvons, mais nous aurions grandement préféré qu'elle fût formulée avec un peu plus de courtoisie : bonjour, s'il vous plaît et merci sont toujours appréciés. Bonne navigation sur Wikipédia.
Ceci étant dit, quelques éléments de réponse. Si je comprends bien, il s'agit de faire une étude de marché pour savoir comment sera accueilli le produit. Pour établir un questionnaire, il faut savoir quels renseignements on souhaite obtenir. Pour interpréter les résultats, la meilleure chose à faire est de faire appel à un statisticien (d'ailleurs il peut aussi réaliser le questionnaire, ça peut éviter de faire un sondage inexploitable). Il faut savoir quelle fraction de la population est visée par le produit : tout le monde ? les djeun's ? les vieux ? Mme Michu ? les hommes / les femmes ? les écoliers ? Si le produit s'adresse aux jeunes (15-25 ans disons), pas la peine de passer le sondage auprès des vieux ; à l'inverse, pour un produit "scolaire", il faut savoir si les enfants en auront envie et si leurs parents seront prêts à leur acheter. Plus le nombre de personnes interrogées sera grand, plus on pourra tirer d'informations du sondage.
Les questions seront plutôt de type hédonique : vous adorez / aimez bien / aimez peu / détestez la couleur du produit. (dans ce type de questions, on met de préférence autant de réponses positives que négatives, car sinon les gens ont tendance à se réfugier dans le milieu (moyennnement, plus ou moins...), et vous n'apprenez rien. Le questionnaire peut être divisé en plusieurs sections : personnalité de la personne sondée (âge, sexe, profession etc), premières impressions sur le produit (à la vue, puis au toucher / à l'odorat), puis les impressions à l'utilisation (caractère salé par exemple pour un aliment, niveau de bruit généré pour un aspirateur censé être ultra-silencieux, etc). Si le questionnaire est long, il vaut mieux garder la partie "personnelle" pour la fin, quand la personne commence à en avoir marre.
Pour ce qui est de l'interprétation, je peux difficilement détailler sans avoir plus de données de départ, mais les pages Anova et Analyse en composantes principales vous donneront une idée de la complexité de la chose... Asheka [la vie est belle] 7 septembre 2009 à 15:38 (CEST)Répondre
Conflit aussi.
Bonjour aussi. Si c’est pour prendre modèle pour vous livrer à ce type d’opération, c’est une mauvaise idée : comme vous l’expliquent Haguard et SM, l’improvisation ne vous mènera nulle part et il faut faire appel à un professionnel (ou bien se fier à son intuition, pourquoi pas...). Si c’est par curiosité personnelle, google est votre ami et vous emmènera par exemple. rv1729 7 septembre 2009 à 15:40 (CEST)Répondre
Je préfère vous prévenir tout de suite que je hais les questionnaires marketing et que je refuse absolument et par avance d'y répondre. Félix Potuit (d) 7 septembre 2009 à 19:45 (CEST)Répondre

le hoquet

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bonjour ! j'ai déjà posé cette question la semaine dernière mais désolée je ne sais pas comment faire pour trouver la réponse veuillez m'en excuser ! voila je voulais savoir si le hoquet peut etre une source d'inspiration "sexuelle" (un excitant je veux dire)chez certaine personne ? et est -ce que le hoquet peut etre provoqué volontairement par une quelquonque manière !? je vous remercie d'avance pour l'attention que vous porterez à ma demande ! et merci pour toutes les réponses apportées chaque jour aux différentes demandes !

Bonjour, il n'y aucune raison pour que le hoquet, dû à une dysfonction d'un nerf phrénique (qu'il faudrait bleuir...) provoque une quelconque activation du comportement sexuel.
Le nerf phrénique qui innerve le diaphragme est issu de racines cervicales et commandé essentiellement par les noyaux du circuit respiratoire qui se trouvent quelque part dans le tronc cérébral, tandis que le comportement sexuel fait plutôt intervenir le système limbique, le lobe frontal et le système nerveux autonome.
On peut provoquer un hoquet, par stimulation électrique des nerfs phréniques par exemple, c'est se qui se fait dans les explorations médicales de la fonction diaphragmatique.
S.M. | D.S.M. 7 septembre 2009 à 16:16 (CEST)Répondre

ok ! je te remercie beaucoup de ta réponse ! mais donc d'après toi le hoquet ne peut en aucun cas etre un excitant ! il va de soi que la question n'est pas anodine ! en effet, je connais quelqu'un que le hoquet "excite" et qui fantasme sur le fait de faire l'amour avec quelqu'un qui a le hoquet ! d'ou cette question et meme si il est vrai que ca me parait bizar aussi c'est pourtant le cas! c'est pour ca que je me permet de te poser la question ! voila en tout cas je te remercie d'apporter une réponse c'est très gentil ! et surtout très utile pour nous de savoir que des gens comme toi répondent à nos questions. (ne t'inquiètes pas elle n'et en aucun cas moqueuse ou désobligeante) je veux juste savoir si c'est normal qu'il fasse une fixation sur le hoquet et qu'il s'en ait fait un "fantasme" sexuel)

L'«excitation sexuelle» peut être provoqué par n'importe quoi en fonction du sujet et de son histoire. Par exemple dans Le Cri de la soie (inspiré d'une histoire vraie) une femme ressent un orgasme chaque fois qu'elle est en contact avec de la soie... sans aller si loin, certain(e)s sont attirés par les hommes ou les femmes, les brun(e)s ou les blond(e)s, les jeunes ou les vieilles/vieux, les fortes ou les petites poitrines, certain(e)s jouissent en se faisant pénétrer par devant ou derrière, en faisant une fellation etc. et pleins de fantasmes plus ou moins biscornus (j'ai jamais compris l'attirance pour les porte-jarretelles). Bref les sources d'excitations sont multiples et diverses, et peuvent être incompréhensibles pour certains. Si le hoquet en excite certain(e)s, pourquoi pas ? --Serged/ 7 septembre 2009 à 18:34 (CEST)Répondre
Dans la mesure où un hoquet peut être très désagréable, cela peut provoquer un titillement chez certains d'en observer, ou chez d'autres d'en souffrir, mais vu les progrès de la science, c'est forcément très marginal. Colo (d) 8 septembre 2009 à 00:07 (CEST)Répondre

ok ! ben je te remercie de toutes ces petites précisions ! cela me rassure et oui effectivement pourkoi après tout c'est un moyen comme un autre ! en tout cas je te remercie beaucoup d'avoir apporté ces quelques précisions sur ce sujet ! je te souhaite bon courage pour les réponses que tu auras à apporter aux autres qui ne doivent pas toujours etre évidente ! et encore une fois merci !

Plante industrielle.

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Salutation ! J'étais en train de voguer sur Wiki pour me documenter sur la botanique et là je tombe sur les type de plante utile. Je me demandais si les plantes modifiée (pour mieux résister aux insectes et autres problèmes naturels/artificiels), peuvent être considérées comme des plantes industrielle puisque créer (en partie) par l'homme. En est-il de même pour les OGM ? Djynn, le Petit Corbeau 8 septembre 2009 à 11:18 (CEST)

La quasi totalité des plantes cultivées ont été créées par l'homme, de même que la totalité des animaux d'élevage. Un animal aussi familier que la vache, par exemple, est une création de l'homme, à partir d'espèces assez différentes et qui n'existent plus aujourd'hui. Dans certains cas, la transformation entre la plante originelle et celle cultivée est si complète que l'on ne sait pas de manière certaine qu'elle était cette plante originelle, comme pour le maïs. Or, presque toutes ces plantes ont été créées il y a fort longtemps, pour les plus importantes d'entre elles au moment de la révolution néolithique. Il n'y a donc guère de sens à parler de "plante industrielle", si l'on entend par là des plantes produites par un processus de transformation de la matière, impliquant une forme de mécanisation et le regroupement d'importante concentration humaine. Les OGM constituent, toutefois, une rupture, non pas dans le fait de créer de nouvelles espèces, de transformer la nature pour produire une nature humanisée, mais dans la façon d'y parvenir. En effet, au lieu d'agir à travers la sélection systématique sur une longue durée d'individus possédant des caractères intéressants pour l'homme, on entreprend d'introduire dans l'ADN de la plante ces caractéristiques recherchés. On agit donc au niveau de la matière, en s'appuyant sur une technologie complexe. Ce sont donc des espèces "technologiques", si l'on veut. --gede (dg) 8 septembre 2009 à 12:17 (CEST)Répondre
edith...
Dans l'ancienne classification économique, l'agriculture appartenait au secteur industriel (secteur secondaire). Les plantes cultivées ne sont pas des plantes naturelles, elles ont été sélectionnées par l'homme et auraient bien du mal à survivre dans la nature sans son intervention. Le terme "plante industrielle" existe, mais il ne désigne pas une qualité intrinsèque de la plante, mais le fait qu'elle est destinées, par contrat préalable, à alimenter un industriel, de la conserverie de légumes (mise en boite, surgélation) à la sucrerie, en passant par tout un tas d'autres possibilités ; autrement dit, une même plante sera ou non industrielle selon son acheteur, et non selon sa nature génétique. gem (d) 8 septembre 2009 à 12:22 (CEST)Répondre

(conflit de cresson bis)

Quand tu parles de « plantes industrielles » tu veux entendre, j'imagine, de plantes créées selon des processus tels que mis en place depuis le développement de la révolution industrielle, et non selon l'industrie des hommes (acception 1 et acception 2 appliquée aux pratiques artisanales). La production d'OGM est nécessairement de type industriel (jusqu'à preuve du contraire, il n'y a pas de manière artisanale d'introduire un gène dans une cellule). Par contre, la sélection artificielle d'espèces et de variétés dans les espèces a été artisanale durant des millénaires et ne requérait (et pour le dire, ne requiert toujours pas) de mettre en œuvre un processus industriel. Cependant, au cours des dernières décennies ce type de sélection a été pour partie « industrialisé », c'est-à-dire qu'elles se font selon les procédures en vigueur dans l'industrie. Ce qui n'induit pas que, contrairement aux OGM, ce soit des « plantes industrielles », ou des animaux d'ailleurs : fondamentalement, les procédures de la « sélection industrielle » ne diffèrent pas de celle artisanale mise en œuvre il y a des millénaires, c'est plutôt le contexte qui en fait une « activité industrielle » mais le résultat n'est pas moins « naturel » (ou artificiel, ce qui revient un peu au même dans ce cas) que ceux de la sélection à l'ancienne. -O.M.H--H.M.O- 8 septembre 2009 à 12:53 (CEST)Répondre
PS. Comme tu l'auras remarqué, le conflit entre nos trois interventions n'est que d'édition : pour tous trois, on peut dire que toute plante cultivée est en un sens « industrielle » (« non naturelle », « artificielle ») ce qui ne signifie pas qu'elles sont le résultat d'un processus industriel au sens actuel de l'expression, sinon les OGM. -O.M.H--H.M.O- 8 septembre 2009 à 12:59 (CEST)Répondre
C'est donc un abus de langage de parler de plantes industrielles, vu que le terme n'est pas générique, mais affecter au cas par cas, selon la façon dont sera utiliser la culture en question. Au final, les plantes industrielle diféreront (pas sûr de la conjugaison), en fonction de l'endroit et des besoin. Et bien merci pour toutes ces précisions, je vais donc noter tout ça et voir ce qui correspond le plus à ma recherche. Ceci dit, dans l'article faisant mention des plantes utiles, il serait peut être de bon ton d'expliquer les différent de point de vues... Encore merci ! Djynn, le Petit Corbeau 8 septembre 2009 à 14:04 (CEST)
Bonjour. Je tiens à faire une petite remarque au sujet de la première réponse. Nos espèces et variétés de plantes cultivées et d'animaux domestiques (hors OGM s'entend), dérivent toutes d'individus d'espèces fort semblables voire d'individus de la même espèce. Une espèce est DéFINIE par le fait que les individus qui y appartiennent sont NATURELLEMENT (par eux même dans le milieu naturel) reproductibles ensembles et donnent une descendance elle même naturellement reproductible. Toutes nos variétés (exceptées les hybrides F1) sont donc, par définition, issus d'individus d'une même espèce. L'homme a sélectionné au cours du temps, générations après générations, les individus les plus adaptés au climat et à ses goûts, puis à la productivité. Il a donné ainsi naissance à quantités de variétés (d'individus différents de formes, de goûts, de couleurs, mais tous NATURELLEMENT reproductibles ensembles et à descendance apte à la reproduction, donc de même espèce !)
Par exemple:
- : plus de 1000 variétés de pommiers en France, au début du 19ème siècle. Le pommier de golden (blérk !) et le pommier Reinette de Caux peuvent se reproduire ensemble naturellement (vent, abeilles et autres insectes pollinisateurs). Les pommes qu'ils donnent font de nouvelles variétés de pommiers reproductibles ensembles NATURELLEMENT. Tous ces pommiers de variétés très différentes sont donc de la même espèce : Malus communis Poiret (synonyme de Malus sylvestris Mill.)
- les ânes et les chevaux ne se reproduisent pas ensembles dans la nature. Ils le font parfois, lorsqu'ils sont réunis par l'homme dans un enclos ou une écurie. Leur descendance peut (bardot et bardine) ou ne peut pas (mule et mulet) se reproduire selon le type de leur parenté. Même très proches les espèces âne et cheval, n'en sont pas une unique. Il existe, chez les grands singes par exemple, des espèces encore plus proches dont on ne sait si elle peuvent se reproduire NATURELLEMENT ensemble : le bonobo et le chimpanzé et le bonobo et l'homme par exemple, mais je ne m'avancerai pas plus loin dans cette étude scientifique .
- le soja, la bactérie de la mosaïque du choux-fleur et le pétunia ne donnent pas NATURELLEMENT, de descendance et ne font donc pas partie de la même espèce. Toutefois après couteux travail génétique par une société (qui vous veux du bien), il donnent des individus SOJA ROUND UP READY (2008 - ROBIN Marie-Monique, Le monde selon Monsanto. De la dioxine aux OGM, une multinationale qui vous veut du bien, 371 p., éd. La Découverte, ARTE éditions, Paris). Les individus de cette variété, conçus dans les laboratoires d'une grande multinationale industrielle, à partir de trois espèces appartenant à des super familles très différentes, sont ils des individus d'une espèce naturelle ou industrielle ? Ici, la réponse est dans la question ! --Ragnard Lodbrock (d) 8 septembre 2009 à 15:52 (CEST)Répondre
Le mode de création de l'espèce ne se confond pas avec le mode de reproduction des individus (phylogenèse versus ontogenèse). Le fait que l'homme ait créé la plupart des espèces qui l'entourent aujourd'hui est un fait extrêmement important, qui doit être pris en compte dans toutes réflexion sur le rapport nature/culture : nous vivons dans une nature humanisée et une propriété fondamentale de l'histoire humaine depuis le néolithique tient dans la propension qu'ont eu les hommes de tous les continents à transformer la nature. Cette transformation s'opère à plusieurs niveaux, y compris au niveau même du patrimoine génétique : l'ADN du maïs est différent de celui de son ancêtre et il est le résultat d'une création humaine.
La façon dont ces espèces créées par l'homme se reproduisent est une question d'une nature différente, et ne permet pas de faire à elle seule un partage entre les espèces "naturelles" et les espèces "humanisées". Il y a un lien entre ces deux dimensions toutefois : les espèces les plus lentes à avoir été domestiquées sont souvent celles qui impliquent une intervention humaine complexe pour se reproduire. Par exemple, les arbres fruités comme le pommier ont été plus tardivement domestiqués que les céréales parce qu'ils ne se reproduisent pas sans intervention humaine : les pommiers étant hétérozygotes, leurs descendants par semis n'ont que rarement les propriétés recherchés par l'homme (fruit sucré, etc.). Ils sont donc reproduits par l'homme, à travers la technique de la greffe, inventée il y a 4 000 ou 5 000 ans en Chine. Là encore, la frontière n'est pas dichotomique : il y a une gradation complexe entre la reproduction "naturelle" et les différents modes de reproduction "humanisés" : la technique de la greffe est bien moins complexe que certaines techniques du génie génétique contemporain, mais bien plus complexe qu'un simple semis. Dans certains cas, cette reproduction est de nature industrielle, comme c'est le cas pour toutes les semences que commercialisent les semenciers, qu'elles soient OGM ou non.
Les OGM marquent, toutefois, une rupture dans la création humaine d'espèces animales, puisque l'intervention sur le patrimoine génétique est opérée directement, au niveau même de l'ADN, et non par sélection. Mais, il n'en demeure pas moins que les OGM s'inscrivent dans la longue histoire de la création humaine d'espèces animales et végétales : s'ils sont dangereux ce n'est pas parce qu'ils ne sont pas "naturels", mais parce que ce nouveau mode de création, qui démultiplie notamment les capacités de croisement d'espèces, l'est peut être. La catégorie "nature" n'est donc pas la bonne pour penser la question des OGM. gede (dg) 8 septembre 2009 à 17:00 (CEST)Répondre
Tu peux même dire que la catégorie "nature" n'est pas bonne pour penser tout court, elle embrouille toutes les questions au lieu de les éclairer. gem (d) 8 septembre 2009 à 17:11 (CEST)Répondre
Ou le contraire, mais ça revient au même : on peut dire que tout processus artificiel mis en œuvre par les humains est « naturel » en ce sens qu'il tire partie de phénomènes « naturels » (processus ne contrevenant pas aux lois de la physique et de la chimie mais les utilisant d'une manière non constatable « dans la nature »). L'exemple des greffages et des entages, et des croisements entre chevaux et ânes, sont intéressants, car ils montrent que l'idée de faire des « organismes génétiquement modifiés », et donc le fait de procéder à des « manipulations génétiques », sont très anciens. Cependant, et pour ce qui concerne la question initiale, la majeure partie des interventions sur le vivant conduisant à créer des espèces ou des variétés « non naturelles » (domestiques) est de type artisanal, et il n'y a guère que la fabrication des OGM (végétaux et animaux) tel qu'on l'entend aujourd'hui qu'on peut proprement considérer comme industrielle – même si le mode actuel le plus courant pour la reproduction des animaux domestiques, l'insémination artificielle, s'inspire des processus industriels. -O.M.H--H.M.O- 8 septembre 2009 à 18:05 (CEST)Répondre

grossesse

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Bonjour, je souhaiterais savoir, s'il vous plaît, si le liquide transparent qui s'écoule de l'homme avant l'éjaculation peut contenir des spermatozoides. Est-ce que on peut être enceinte alors même si le partenaire s'est retiré avant l'éjaculation ? Merci de vos réponses Martha

Bonjour,
Des réponses à la première question dans l'article Sperme.
La réponse à la deuxième question est oui même si les chances sont faibles que cela se produise.
Cordialement, DocteurCosmos (d) 8 septembre 2009 à 12:26 (CEST)Répondre
Consultez Liquide pré-éjaculatoire, coitus interruptus, et revenez nous voir si ça ne vous suffit pas gem (d) 8 septembre 2009 à 12:38 (CEST) ... nous nous ferons un devoir de terminer ce que nous avons commencé. C'est bien ça, Gem ? Adrien' [1729] 9 septembre 2009 à 12:46 (CEST)Répondre

Saisie d'un vehicule!!!

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Bonjour ,

Je viens vers vous pour avoir un conseil. Voilà ma situation !! Je travail avec mon nouvel employeur depuis janvier 2008 , et celui-ci me donne mes salaires en retard , de plus il m'en declare que la moitié . A force d'avoir les salaires en retard , mes prélevements ne passe plus et ceux-ci me fais avoir des agios , donc comme mes prélevements passe plus , je ne peus continué de payer mon vehicule. Celui-ci ma été saisi , et malgré tout je continu de le payer .

Vehicule acheter 21000euros le vehicule à été revendu au encheres 6800 euros Et on me reclame encore 12000 euros.

Tout en sachant que je l 'ai garder 2 années en remboursant 403 euros par mois .

Conclusions !

Est-ce normal que je continu de payer un véhicule que je n'ai plus ? Est-ce normal qu'on me reclame encore la maudite somme de 12000 euros ? Y aurais t-il un recours pour ne plus payer ce vehicule, ou au moins diminué les 12000 euros ?

Entre temps , je tiens a vous le signaler , j'ai mis mon employeur a l'inspection du travail et au prud'homme .

Merci de votre aides --Neje971 (d) 8 septembre 2009 à 14:31 (CEST)Mr rosayRépondre

Malheureusement :
Cela dit votre cas semble clair : il y a faute de la part de votre employeur (au moins pour les salaires) et cela vous a fait subir un préjudice (saisie du véhicule et agios). Pour les prud'hommes je ne sais pas trop comment cela se gère, mais pour un litige semblable entre particuliers, les préjudices subis sont pris en compte lors du jugement et la personne est taxée d'un montant plus ou moins équivalent aux préjudices. Le mieux est quand même d'aller voir un avocat. Mitch-mitch (d) 8 septembre 2009 à 14:41 (CEST)Répondre
+1 ; pour savoir ce que vous devez, il faut ajouter au prix du véhicule, les frais financiers (le "cout total du crédit" que vous trouverez quelque part). Vous avez versé 2 x 12 x 403 = 9672 et le créancier a récupéré 6800 € (moins quelques frais ?), soit au total environ 15 500 €, ce qui donne une estimations de frais financiers à
(15 500 + 12 000) - 21 000 = 5 500 € ; c'est pas débile, ce qui suffit à justifier que vous deviez encore quelque chose (oui à la première question), de l'ordre de 12 000 € (mais pas forcément autant non plus, nous ne pouvons pas conclure...). Pour la dernière question, il eut mieux valu s'en préoccuper avant la saisie, et c'est digne du bandeau "juridique" plus haut. gem (d) 8 septembre 2009 à 15:39 (CEST)Répondre
Moralité : fuyons le crédit comme la peste. Félix Potuit (d) 8 septembre 2009 à 15:53 (CEST)Répondre
Pour répondre à la question : 1) Oui, pour le moment vous devez continuer de payer le véhicule, vous êtes en faute vis-à-vis de la personner que vous devez rembourser 2) il y a peut-être possibilité de se retourner contre l'employeur, en arguant qu'il est en faute et donc qu'il est de toute manière hors-la-loi (mais ça risque d'être long si vous voulez la voiture maintenant). Mais les 2 conflits doivent être réglés séparément, il me parait bien difficile de les résoudre en même temps (ou alors, une fois de plus, ce sera long). Consultez une personne qui fait du droit ? Ce serait peut être plus pratique. .Anja. (d) 8 septembre 2009 à 16:13 (CEST)Répondre
Non Félix, au contraire, gorgeons nous de crédit autant que possible, c'est ainsi qu'on s'enrichit. Mais à condition d'utiliser ce crédit à bon escient : par exemple à acheter un logement qui coute moins cher qu'un loyer, plutôt qu'en crédits à la consommation, bagnole, etc. gem (d) 8 septembre 2009 à 17:06 (CEST)Répondre
Heureux homme qui est certain de ne pas se retrouver à la rue demain. Tu dois être un des seuls en France. La seule façon de s'enrichir avec le crédit, c'est, soit d'en distribuer, soit de se barrer sans payer en Amérique du Sud avec le matériel volé. Félix Potuit (d) 8 septembre 2009 à 18:07 (CEST)Répondre
Peut-être que faire croire, et éventuellement se persuader soi-même, qu'on est à la limite de se trouver à la rue relève de la survie élémentaire sur le plan fiscalo-redistributif, sous peine sinon de se faire taxer ou de perdre un avantage sociale à la gomme. Je dois être inconscient ou bêtement moraliste, mais je ne marche pas dans cette combine minable, étant (comme toi) dans les 90 à 99 % de gens qui ne sont objectivement pas concerné...
Exemple personnel et récent de ce que permet le crédit : investissement de 1000 € dans une PAC, réduisant ma facture de chauffage de 200 à 300 € par an. Rentabilisé en 5 ans maximum, soit au moins 20 % de rendement brut, ce qui accessoirement relativise les horribles 15 % des salauds de Kapitalistes. Pour éviter les frais de crédit, prendre un prêt immobilier sur-dimensionné (pas cher, 4 à 5 %, et à peu de frais), et conserver l'argent frais pour se payer ce genre d'investissement (plutôt qu'une bagnole à 21 000 €, évidemment...)
gem (d) 9 septembre 2009 à 09:38 (CEST)Répondre
Je plussoie à ce que dit Anne-Ja : les deux affaires sont séparées, et si vous pouvez vous retourner contre votre employeur, et peut être y gagner une réparation financière, il vous faut, en attendant, rembourser vos dettes, votre créancier n'ayant pas à subir l'inconséquence de votre patron. Quant au crédit : c'est le prix de notre préférence pour le présent. On peut être prêt à payer au final plus cher, et prendre le risque que ce monsieur a encouru, pour jouir immédiatement d'un bien qu'on ne pourrait sinon s'offrir. Tout le problème est dans l'évaluation de ce risque et de la capacité à payer le prix final, notoirement déficiente en France du côté d'un nombre important d'organismes de crédit à la consommation. gede (dg) 8 septembre 2009 à 17:30 (CEST)Répondre
Moi je veux bien croire que se gorger de crédits peut être un mode de vie efficace, agréable et rentable. Mais cela me demanderait, à moi perso, un tel temps de formation, avec l'acquisition de l'état d'esprit, des méthodes et du travail de suivi y afférents, que je suis fatigué et déprimé rien que d'y penser. Morburre (d) 8 septembre 2009 à 22:41 (CEST)Répondre
Avoir des dettes peut être bénéfique : 2 individus; A est riche, B l'est moins. les deux s'achètent une voiture : A paie cash, il lui reste de quoi vivre et payer des impôts; B est obligé de s'endetter et paie moins d'impôts, voire pas du tout. L'astuce est de trouver soit une banque qui s'en fiche et ne fait pas payer d'agios en cas de découvert, soit une banque qui a un taux d'intérêt plus faible que les impôts qu'on paierait... Au final A a payé sa voiture + ses impôts, B seulement la voiture (éventuellement les intérêts du pret en sus) OK, tiré par les cheveux, mais ca se pratique Mitch-mitch (d) 8 septembre 2009 à 22:50 (CEST)Répondre
Il ne faut pas confondre les crédits à la consommation et ceux qui financent l'achat de biens durables : il ne relève pas de la même analyse économique. Les premiers renvoient à une optimisation inter-temporelle sous contrainte du revenu de long terme : on préfère le présent ; on est prêt à payer plus cher sur le long terme pour jouir immédiatement d'un bien. Le prix de cette préférence pour le présent, c'est le taux d'intérêt. Le risque est que l'on ait mal estimé son revenu de long terme. Il n'y a là aucun enrichissement, simplement une façon de répartir sa consommation dans le temps. Exemple : j'achète une voiture aujourd'hui, plutôt que dans 5 ans, c'est à dire le moment où j'aurais économisé la somme adéquate. Cela me coûte 20% plus cher, mais c'est le prix des 5 ans "gagnés". Le deuxième type de crédit, sur les biens durables, est celui qu'évoque gem, et il permet une forme d'enrichissement. Il consiste à acheter un bien durable à crédit. Il est rentable économiquement pour autant que la plus value retirée de la vente future du bien et/ou le revenu éventuel que génère le bien durant sa détention soient supérieurs au coût du crédit. L'essentiel de l'activité économique moderne, en particulier l'activité financière, est fondée sur ce type de pari, puisqu'elle est financée à crédit. Une entreprise qui achète à crédit une nouvelle machine fait ce pari : elle pense que le bénéfice issu de la production économique supplémentaire que générera cette machine sera supérieure au remboursement de son crédit. Une spéculateur qui achète à crédit une action fait ce pari : il pense que la revente de son action couvrira le remboursement du crédit, et fournira en plus un bénéfice. Et, bien que la plupart des petits acheteurs immobiliers ne s'en rendent pas compte, lorsqu'ils achètent un bien immobilier, ils réalisent ce pari. Un des problèmes de base de l'activité capitaliste est que, lorsque la croissance est là, les individus font des paris de ce type de plus en plus importants et donc de plus en plus risqués, puisque qu'ils leur ont été profitables jusque là. La fragilité financière du système s'accroit : il suffit d'une interruption de plus en plus faible dans le flux de revenu pour que les emprunteurs ne puissent plus faire face à leurs engagements. Cela jusqu'à une crise financière majeure. C'est très exactement ce que nous venons de vivre : le taux d'endettement privé avait atteint des sommets dans les principales économies capitalistes. Et le système financier a implosé, lorsque les emprunteurs n'ont pas pu faire face. gede (dg) 8 septembre 2009 à 23:30 (CEST)Répondre
Et toute l'astuce des marchands de crédit (et de bagnoles) est de faire croire aux braves gens qu'ils ont absolument besoin d'une bagnole à 21.000 € pour affirmer leur standing, même s'ils n'en ont pas le premier sou, alors qu'ils pourraient trouver un véhicule deux fois moins cher qui leur rendrait sensiblement les mêmes services (sauf peut-être pour ce qui est de lever des filles). Magnifique conditionnement mental généralisé, tout le monde marche, tout le monde court... Félix Potuit (d) 9 septembre 2009 à 08:24 (CEST)Répondre
Tout le monde roule ! DocteurCosmos (d) 9 septembre 2009 à 08:28 (CEST)Répondre
Tout le monde se fait rouler, tu veux dire. Félix Potuit (d) 9 septembre 2009 à 09:16 (CEST) Répondre
C'est la même chose ! DocteurCosmos (d) 9 septembre 2009 à 09:56 (CEST)Répondre
Parions que la prochaine fois notre emprunteur empruntera moins, maintenant qu'il sait qu'une voiture coûte trois fois moins aux enchères que chez un concessionnaire. S.M. | D.S.M. 9 septembre 2009 à 13:53 (CEST)Répondre
Un bon plan est d'ailleurs d'acheter aux enchères des voitures qui ont été saisies par les douanes pour des enquètes. Mitch-mitch (d)
La vache , t'es grave dans la galère ; c'est clair que ta caisse tu vas être obligé de la payer trois son prix , et là le seul moyen de t'en sortir c'est de faire raquer ton patron (C't'enculé) . Donc d'abord tu paye et après t'essaye de récupérer ... Bonne Chance .Ro .
Avec un peu de chance, le prud'homme contre ton patron te permettra de récupérer la somme que tu as du payer pour ta voiture, certes cela ne répare pas l'injustice, mais au moins, cela reviendra à dire que c'est ton boss qui a payé Djynn, le Petit Corbeau (d) 11 septembre 2009 à 15:44 (CEST)Répondre

Langue espagnole en Californie

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Bonjour,

Pourriez-vous me dire quelle(s) ville(s) de Californie utilise(nt) officiellement l'anglais et l'espagnol, qu'il s'agisse de parler usuel ou de documents administratifs?

Merci pour vos lumières

L'article en anglais 'en:Spanish in the United States' semble laisser entendre que l'anglais est la seule langue officielle de la Californie (après 1879). (en:Spanish in the United States#California) -- Xofc [me contacter] 8 septembre 2009 à 16:13 (CEST)Répondre
Je dirai même plus (et ce n'est pas du Dupont-Dupond  ), l'anglais est la seule langue, sinon officielle du moins administrative sur tout le territoire des États-Unis, exception faite des réserves d'indigènes et peut-être d'Hawaï (c'est le cas après vérification), de Porto Rico et de quelques confettis « sous autorité des États-Unis » – comme on dirait en France, des territoires d'outre-mer. Cela dit, il est très probable que dans plusieurs États, dont la Californie mais surtout le Nouveau-Mexique et le Texas, on utilise des signalisations bilingues quand le groupe local dominant est hispanique, et il est certain qu'on a une certaine attention aux « minorités linguistiques » aux USA. Comme le précise notre article sur ce pays dans sa partie sur les langues, « En 2008, aucune loi n'avait été votée pour préciser la ou les langues officielles à l'échelle fédérale. Toutefois, selon l'organisme US English, 30 États fédérés avaient voté de telles lois au profit de l'anglais comme langue officielle unique. En outre, l'État de Hawaï est officiellement bilingue anglais-hawaiien. Le territoire de Porto Rico a aussi deux langues officielles, l'espagnol et l'anglais ». Ce qui confirme mon hypothèse première. Sinon, il existe ceci :
Désolé, je n'y ai pas été voir, a priori il n'en dira pas plus, sinon en plus délayé. -O.M.H--H.M.O- 8 septembre 2009 à 20:42 (CEST)Répondre

Dépendance au tabac

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Bonjour, Pourriez-vous m'expliquer le mécanisme engendrant une dépendance à la cigarette ? La dépendance peut-elle se faire plus forte selon les particularités individuelles des fumeurs ? Les possibles rechutes (après arrêt total, j'entends, et durant une longue période, disons deux ou trois ans) sont-elles dues à des causes physiologiques ou psychiques ?

Merci d'avance pour votre réponse,

Cyrielle CLOPOBEC, de Mulhouse.

Voilà, tout est dit dans ta question : le tabagisme, comme toute autre addiction, a des causes multiples, tantôt physiologiques ou génétiques, tantôt psychologiques, tantôt relationnelles, tantôt sociales, souvent une combinaison de plusieurs de ces facteurs ; comme toute addiction, elle peut donner lieu à une guérison, quand c'est un symptôme et qu'on a traité la cause de ce penchant, ou à une rémission quand c'est une maladie (toute maladie chronique est susceptible de ressurgir si ses causes ou son contexte d'apparition reviennent ou persistent) ou un symptôme dont on a pas traité la cause. Donc, le retour de cette addiction peut être causée pour une raison physiologique ou psychologique – ou autre... -O.M.H--H.M.O- 8 septembre 2009 à 20:20 (CEST)Répondre
La nicotine joue dans le système nerveux le même rôle que l’acétylcholine. En consommer régulièrement conduit à une moindre production d’acétylcholine par l’organisme, et à la dépendance à la nicotine. Au delà des évidentes différentes psychiques (autodiscipline, volonté, etc) il y a des différences individuelles dues à des facteurs biologiques (je dirais même plus : génétiques). C’est sans doute la même chose pour la rechute, mais dans ce cas je n’ai pas de certitude. rv1729 8 septembre 2009 à 21:10 (CEST)Répondre
Oui, mais il en va de même pour toute autre substance addictive : on connaît son action mais on ne sait pas pour autant pourquoi il y a cette addiction. Bien de personnes consomment des produits « addictifs » (alcool, haschisch, cocaïne, héroïne, tabac, sucre(s), antidépresseurs, etc.), pourtant toutes ne deviennent pas dépendantes, en fait ça n'arrive qu'à une part somme toute assez restreinte de la population. Telle personne qui, à une période de sa vie, aura une addiction au tabac, peut ne plus « rechuter » après avoir agi contre cela ; telle autre rechutera, pour diverses raisons.
J'ai connu ça dans ma propre famille : ma mère avait arrêté de fumer pendant quelques quinze ans et a rechuté suite à un stress important, puis une dizaine d'années plus tard a de nouveau arrêté pour ne plus jamais refumer ; mon père a cessé de fumer pendant une quinzaine d'années lui aussi, puis a repris sans motif apparent et n'a plus cessé par après ; ma sœur a cessé de fumer après près d'un quart de siècle d'addiction et n'a jamais repris depuis ; mon frère et moi fumons depuis l'âge de quinze ans environ et n'avons jamais cessé, mais je dois avoir une consommation au moins double de la sienne. On sait ce que fait la nicotine, on ne sait pas toujours pourquoi on s'adonne au tabac et on ne sait jamais comment chacun réagira à cette addiction ni à son arrêt. -O.M.H--H.M.O- 8 septembre 2009 à 22:27 (CEST)Répondre
On sait en partie pourquoi : il y a une composante physiologique que j’ai mentionné plus haut. rv1729 9 septembre 2009 à 08:23 (CEST)Répondre
Pour compléter les réponses des collègues, il faut distinguer
  • la dépendance physique qui se caractérise par l'apparition d'un syndrome de sevrage lors de l'arrêt de la consommation de nicotine (avec un tableau anticholinergique donc : bradycardie, constipation, hypotension...)
  • la dépendance psychique, liée à l'augmentation de la transmission dopaminergique dans le circuit de la récompense (volontiers consécutive à un pic plasmatique, i.e. une augmentation brutale et brève de la concentration en nicotine dans le sang), responsable d'une compulsion à consommer le produit.
S.M. | D.S.M. 9 septembre 2009 à 00:24 (CEST)Répondre

Mon grain de sel, je fume (si on peut appeler cela fumer, comme dit mon médecin) depuis l'âge de 14/15 ans. Surtout la pipe et maintenant des roulées (plus pratique en bouche quand on bricole). J'ai arrêter totalement pendant plus de 10 ans et j'ai repris tenté par les roulées qu'un de mes beaux fils fumait au boulot (admis à l'époque). Mon incompréhension par rapport aux avis précédents vient du fait que je peux cesser toute consommation de tabac au gré de mon bon vouloir, pour des périodes plus ou moins longue c'est selon. Je me pose parfois la question, est ce que je fume et je me répond parfois oui, parfois non. Lorsque je fume, je ne fume que deux à quatre cigarettes roulée par jour ou équivalent pipes. Mon fils fait pareil (et je crois me souvenir pour le peu que j'ai vécu avec lui, que mon père faisait cela aussi). A noter que lorsque je reste une assez longue période sans fumer, la première pipe ou cigarette n'est pas particulièrement agréable à consommer, ce qui semble démontrer que fumer n'est quand même pas bon.

Comment évaluez vous ce type de comportement par rapport au tabac?--Kkbs (d) 9 septembre 2009 à 06:08 (CEST)Répondre
Le vocabulaire employé dans le cas du tabac (dépendance, addiction, guérison, rechute, etc.) en dit long sur le regard moralisateur de la société à l'encontre de cette malheureuse plante qui n'en demandait pas tant. Le sage dit : profitez de toutes les ressources de la nature avec mesure et éclectisme, en évitant juste de pourrir la vie aux autres. Félix Potuit (d) 9 septembre 2009 à 08:19 (CEST)Répondre
La part de dépendance psychologique induite justement par tout le battage médiatico-moralisateur qui prétend lutter contre le tabagisme est volontiers sous-estimée. Mon expérience à ce sujet est que j'ai parfois une irrépressible envie de fumer ; neuf fois sur dix, c'est lorsqu'une personne, une affiche anti-tabac ou autre, vient me rappeler que la société toute entière cherche à m'en empêcher. L'hypocrisie le dispute d'ailleurs à la maladresse dans une telle démarche : persuadé d'être dépendant au tabac et qu'il s'agit d'une drogue, on se représente le fait de ne pas fumer comme causant un manque, assez sévère pour faire échouer la plupart des sevrages. On se représente une souffrance terrible, si jamais on venait à manquer de la précieuse substance. On redoute ce manque, d'autant plus qu'on nous le dépeint, et suffisamment pour que cela influence lourdement nos comportements et... notre addiction. Il serait bien meilleur à la santé des fumeurs de leur proposer d'autres représentations, comme celle du fumeur non-dépendant que vous décrivez, qui est courant mais dont on ne parle jamais, ou celle du fumeur qui n'a pas envie d'arrêter, celle du fumeur qui décide d'arrêter... et le fait, etc. Mais ce serait s'attaquer à la fois à la morale à deux sous dont dégoulinent les campagnes anti-fumeurs anti-tabac, et aux profits qu'une image plus dure de l'addiction permet d'engranger. Pas demain la veille. Adrien' [1729] 9 septembre 2009 à 12:43 (CEST)Répondre
Il y a clairement des différences de réponse physiologique ; je fais partie comme Kkbs des fumaillons qui peuvent fumer deux clopes par jour sans éprouver le besoin d’augmenter la dose, m’arrêter quand je veux, etc. Ces différences sont bien documentées. Tout le monde n’a pas cette chance ; il y a vraiment des fumeurs dont le taux d’acétylcholine au réveil est très en dessous de la normale, et qui sont obligés pour compenser de fumer plusieurs clopes d’affilée. C’est une réalité physiologique, pas un problème psychologique. rv1729 10 septembre 2009 à 11:27 (CEST)Répondre

Bonsoir à toutes et à tous. Mon père est mort d'un cancer du poumon vers sa cinquantième année. Il avait commencé à fumer à l'adolescence comme beaucoup de gens de son époque, les années 50. Certes, les campagnes anti-tabac sont un peu à l'emporte-pièce mais il faut être réaliste, cela ne fait que peu de temps qu'elles existent. Le tabac est un vrai problème de santé publique et donc économique. Ce n'est pas pour rien que l'état intervient. Nul doute que l'on viendra à contrôler, de même, les excès liés à l'alcool et à la drogue. Je connais ces problèmes pour les avoir connus et étudiés. Je dirais qu'actuellement les choses s'équilibrent. On ne peut guère aller plus loin qu'on est allé: il y a une certaine prise de conscience de tout un chacun qui se fait. Le tabac est cher, la drogue et l'alcool aussi et on se rend compte qu'ils ne sont pas vraiment utiles, qu'on n'en a pas vraiment besoin, c'est tout. C'est peut-être un mouvement de fond, je ne sais pas, c'est intéressant mais plutôt compliqué à analyser. Francis Martin (d) 9 septembre 2009 à 19:43 (CEST)Répondre

Oui, si on commence à interdire tout ce qui n'est pas vraiment utile, on va s'amuser. Par ailleurs, le tabac n'est pas si cher si on l'achète dans les pays de l'Est ou au Portugal (ou sur la Canebière...) Enfin, mon père a fêté ses 85 ans, il a fumé toute sa vie (de véritables infections, type Scaferlati gris) et il a bon pied mon oeil, merci pour lui. Félix Potuit (d) 10 septembre 2009 à 08:24 (CEST)Répondre
Les talibans ont bien interdit la musique...
Bon, l’exemple du grand-père mort à 108 ans en fumant du gris, ’scuse moi mais on s’en fout, même la roulette russe a ses vétérans. Que quelqu’un qui a ta culture générale scientifique sorte encore des choses comme ça a quelque chose d’atterrant. Le tabac est un vrai problème de santé publique, ce qui n’excuse en rien les pisse-froids et les campagnes publicitaire haineuses où le consommateur de nicorettes est un beau grand blond en pleine forme et le fumeur est un petit brun malingre au souffle court qui loupe son train et va probablement se faire virer... à part ça, t’as vu, ils étaient passé à l’offensive sur l’alcool et ils ont reculé ; temporairement si j’en juge par la campagne médiatique en cours, qui annonce sans doute une prochaine offensive. rv1729 10 septembre 2009 à 10:54 (CEST)Répondre
+1, l'Oracle tombe de plus en plus souvent dans la conversation de Bistro. Prochain sujets : «parfois il est moins dangereux de rouler plus vite que les limitations de vitesse», «les noirs courent plus vite que les blancs», et «c'est vrai qu'il est impossible de faire monter la mayonnaise quand on a ses règles». Arnaudus (d) 10 septembre 2009 à 12:41 (CEST)Répondre
+42 : l'abus de F.M. nuit gravement à la santé. S.M. | D.S.M. 10 septembre 2009 à 14:13 (CEST)Répondre
Je nuis à mon entourage. Ma mort sera lente et douloureuse. le contrebandier de la Colline même pas peur, même pas mal ! 10 septembre 2009 à 20:58 (CEST)Répondre

J'écris dans l'espace, film 1989 de Pierre Étaix

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(Bonjour) Existe-t-il un affiche de ce film ? Si oui, est-il possible de visionner cette affiche ? (Merci) -- 80.236.21.231 (d) 8 septembre 2009 à 23:34 (CEST)Répondre

Transféré de la Wikipédia:Guilde des Guides/semaine 37 2009. -- Xofc [me contacter] 9 septembre 2009 à 05:26 (CEST)Répondre
Voilà [2] --Domingue (d) 9 septembre 2009 à 08:20 (CEST)Répondre

Parvo

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Bonjour. J'aimerais savoir ce qu'est un in-folio (je connais) parvo (je ne connais pas). Merci déjà, --Égoïté (d) 9 septembre 2009 à 10:18 (CEST)Répondre

piccolo càd petit --Domingue (d) 9 septembre 2009 à 10:34 (CEST)Répondre
Bonjour, plus précis: du latin parvus voir [3].   --Doalex (d) 9 septembre 2009 à 12:48 (CEST)Répondre
Merci à tous deux ! In-folio est passé dans la langue française, mais parvo ? Dans WP, faut-il l'écrire en italique ?   à qui de droit   --Égoïté (d) 9 septembre 2009 à 14:02 (CEST)Répondre
Quelques références en tapant in-folio parvo sur Google mais pas en italique [4] (voir page 22) et [5]. --Doalex (d) 9 septembre 2009 à 15:37 (CEST)Répondre
À toi le double   --Égoïté (d) 9 septembre 2009 à 16:20 (CEST)Répondre

Comment rédiger un article sur une société privée?

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Bonjour à tous,

Voilà, je voudrais rédiger un article sur une société privée, mais qui n'existe plus. Je suis un grand utilisateur de Wikipedia et je ne suis jamais passé derrière le Wiki ;-), disons que je ne me sens pas forcément apte à rédiger sur un sujet particulier, ce qui n'est pas le cas sur cette société.

Mais, car il y a un mais, je ne voudrais pas le faire en violant certains usages (les règles ok, j'ai pas mal lu sur le site). Forcément je serais partial dans ce que j'écrirais même si je reste le plus factuel possible (j'en ai été dirigeant...).

Donc vu les problématiques d'impartialité liées à la rédaction d'article sur les entreprises (ou autres: rédacteur et partie prennante), je voulais savoir s'il existe un lien, une question déjà posée (même en anglais), qui réponde à:

   Comment rédiger un article sur une société? Usages (pas règles) particuliers? 

Bref, n'ayant pas trouvé sur le net ou sur Wikipedia de réponse précise à cette question, je me tourne vers: ici :)))

Merci d'avance à tous et désolé si dans une réponse vous me donnez un lien explicite.... j'aurais très mal cherché... Si la réponse est: laisser faire l'écosystème après rédaction, c'est aussi une réponse, mais je ne sais pas :o

Il me semble qu'en restant factuel et concis, et en évitant tout aspect "marketing" ou "publi-reportage", ça devrait le faire... Si ça déborde un peu, il y aura bien quelqu'un pour retailler derrière. Il faudrait commencer par vérifier que ladite (et défunte) société jouit bien d'une notoriété quelconque, via Google notamment. Félix Potuit (d) 9 septembre 2009 à 13:29 (CEST)Répondre
On ne demande pas à un rédacteur d'être impartial, on lui demande juste une certaine neutralité de ton et, comme le dit Félix Potuit, d'être factuel et concis. On peut même se permettre des expressions laudatives, du genre « la première dans (son domaine / son bassin d'emploi / sa spécialité ) » du moment qu'elles sont exactes et qu'elles aient une source. La question principale est plutôt celle-là : un des principes de base de Wikipédia est de ne pas publier de travail inédit, et pour cela on doit s'appuyer sur des sources fiables et reconnues. Pour le reste, comme écrivait aussi Félix, si quelqu'un juge que tel passage ne répond pas aux usages, il corrigera l'article. -O.M.H--H.M.O- 9 septembre 2009 à 14:48 (CEST)Répondre

Thermodynamique et pompe à chaleur

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Bonjour,

En relisant pompe à chaleur, j’ai relevé une petite incohérence dans la partie #Cycle thermodynamique. Il s’agit de la fin de la phrase : « le gaz est comprimé et passe donc d'une basse pression à une pression plus élevée grâce à l'énergie mécanique fournie par le compresseur. Sa température s'élève suivant la loi de Mariotte. » Alors que Loi de Mariotte précise qu’« elle relie la pression et le volume d'un gaz réel à température constante. » Je ne pense pas que ce soit fondamentalement faux mais cela mériterait des éclaircissements. Cdlt, Vigneron * discut. 9 septembre 2009 à 16:44 (CEST)Répondre

En l'état, ça ne me paraît pas très correct... Faudrait-il écrire Loi de Laplace (thermodynamique) ou Première loi de Joule ? Je crois assez évident qu'un gaz qui reçoit un travail voie sa température augmenter (premier principe) pour qu'on puisse se dispenser d'invoquer une loi qui implique qu'on fasse des hypothèses sur le gaz ou sur la transformation elle-même... S.M. | D.S.M. 9 septembre 2009 à 18:36 (CEST)Répondre
La température s'élève parce que la compression est adiabatique, sans échange de chaleur. C'est plutôt Effet Joule-Thomson qui décrit ça. Cdlt, Biem (d) 9 septembre 2009 à 20:42 (CEST)Répondre
ça ne concerne pas l'Oracle, mais la PDD de l'article (et effectivement, ça n'apporte rien de parler de la loi de Mariotte, , la simple constatation expérimentale que quand on comprime, ça chauffe, suffit à l'article ; les lois physique servent à expliquer ce phénomènes, pas à imposer qu'il se produise) gem (d) 10 septembre 2009 à 09:41 (CEST)Répondre

Energie ATP

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Bonjour, quel genre d'énergie est fourni par l'ATP lors de sa transformation en ADP ? (thermique ? mécanique ? )

Dans quel contexte ? Pour moi, ATP, c'est un classement au tennis, et ADP c'est l'Aéroport de Paris... --Serged/ 9 septembre 2009 à 19:20 (CEST)Répondre
adénosine triphosphate -> adénosine diphosphate -> adénosine monophosphate, mécanique, je ne pense pas, plutôt thermique (sans garantie) --Domingue (d) 9 septembre 2009 à 20:03 (CEST)Répondre
(conflit d'édith) Je me risquerai à répondre que l'hydrolyse de l'ATP fournit de l'énergie sous forme de travail (à concurrence de l'enthalpie libre disponible) et de chaleur (ce qui n'est pas utilisé en travail, et au minimum, le fameux -TΔS° qu'on a dû vous apprendre).
Évidemment comme c'est une réaction d'hydrolyse, c'est moins clair que pour une oxydo-réduction où on peut parler de travail d'une force électrique.
Bref, si un collègue plus chimiste que moi veut infirmer/confirmer/compléter. S.M. | D.S.M. 9 septembre 2009 à 20:05 (CEST)Répondre
A l'échelle moléculaire, la notion d'énergie thermique est dépourvue de sens (c'est une notion de physique statistique, représentative de l'agitation, = énergie cinétique, d'un énorme paquet de particules). L'énergie de l 'ATP est de l'énergie chimique, et sa libération lors de la décomposition en ADP + P est très comparable à celle obtenue dans n'importe quelle autre réaction chimique (combustion inclus). Le "genre d'énergie", comme tu dis, va dépendre du (des) partenaire(s) de l(ATP dans la réaction : ça peut se traduire par une montée d'énergie électronique, ou un changement de conformation (la forme de la molécule) qui réclame de l'énergie (qui pourra ensuite se traduire par un mouvement mécanique comme dans les muscles et les flagelles, ou la fermeture ou l'ouverture d'une "porte", par exemple), ou encore la fabrication d'une liaison chimique. N'importe quoi, en fait. gem (d) 10 septembre 2009 à 09:38 (CEST)Répondre
If you cane ride l’angliche, scie en:Adenosine_triphosphate#Functions_in_cells... rv1729 10 septembre 2009 à 10:46 (CEST)Répondre

Merci à tous

Le canotier: origine, histoire...

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Bonsoir amis. Quelle Pythie me donnerait ses lumières ou m'ouvrirait des voies sur les origines et l'histoire du canotier ? Je lui/leur dirais "chapeau!" jbdepradines (d) 9 septembre 2009 à 20:34 (CEST)Répondre

Des articles intéressants sur cette page du Musée de la marine, où l'on apprend que le terme désigne au départ les personnes qui faisaient du canotage, ce qui n'est guère étonnant. Contrairement à ce que dit l'article de Wikipédia, ce n'est pas vers 1880 mais plutôt vers 1850 qu'un « chapeau de canotier » est adopté par ces marins de plaisance, et on y apprend aussi (toujours en contradiction avec l'article de WP) que dès la fin du XIXe siècle des variantes pour les dames existent déjà. La date de 1880 doit concerner le modèle spécifique que portait par exemple Maurice Chevalier, plus élégant que le chapeau de marinier ou de marin. -O.M.H--H.M.O- 9 septembre 2009 à 21:00 (CEST)Répondre

Merci. Cela je l'ai lu aussi. Mais y a t-il d'autres Pythies ayant d'autres informations sur le sujet ? jbdepradines (d) 9 septembre 2009 à 23:59 (CEST)Répondre

Sans avoir le courage de vérifier, il me semble que Jerome K. Jerome l'évoque. Adrien' [1729] 10 septembre 2009 à 01:00 (CEST)Répondre
Elias_Petropoulos:<<...c'étaient les années ( Renaissance (période historique), NdT ) durant lesquelles de grandes conférences politiques étaient tenues à Paris, Rome et Berlin. Tous les hommes respectables mettaient des borsalino ou des canotiers, et les prolétaires des couvre-chefs en tissu. C'étaient les jours où les différences sociales commençaient par les chapeaux...>>. ViZiT (d) 10 septembre 2009 à 01:13 (CEST)Répondre
Et aussi ...la paillole, coiffe rustique pour les travaux des champs, l'ancêtre du canotier... qui mène à Perrette GLEYE, l'inventrice. ViZiT (d) 10 septembre 2009 à 01:41 (CEST)Répondre

ViZiT, m'a coupé l'herbe sous le pied, Il faut visiter le musée du canotier à Caussade. --Kkbs (d) 10 septembre 2009 à 06:09 (CEST)Répondre

Merci de ces infos intéressantes... jbdepradines (d) 11 septembre 2009 à 00:20 (CEST)Répondre
Au cas où [mais vous avez déjà des pistes plus développées], d'après le cnrtl : Étymol. et Hist. 1874 adj. chapeau canotier (A. Daudet, Robert Helmont, p. 171); d'où 1903 subst. canotier (Colette, Claudine s'en va, p. 173). Issu de canotier1* p. méton., ce chapeau ayant été d'abord à la mode chez les amateurs de canotage. Piero (d) 12 septembre 2009 à 05:36 (CEST)Répondre
Je constate que les Manuels Roret ont eu leur Nouveau manuel universel et raisonné du canotier édité entre 1827 (selon la NYPL) et 1843 (selon Sudoc). Piero (d) 12 septembre 2009 à 11:59 (CEST)Répondre
Dans ce manuel il est sans doute plus question de canotage que de coiffure... le canotier représenté en frontispice n’est pas coiffé d’un chapeau de paille à bord plat, car celui-là n’était pas encore à la mode, mais d’un bonnet de laine napolitain, brun d’un côté et rouge de l’autre; voyez plutôt. rv1729 12 septembre 2009 à 13:47 (CEST)Répondre
Des sources possibles pour l’article 1862, « chapeau dit canotier », 1866, « chapeau canotier ». rv1729 12 septembre 2009 à 13:57 (CEST)Répondre
Le Manuel Roret signale juste la vogue des amateurs de canotage évoqué par le cnrtl. Bien joué pour ces références plus anciennes de books.google, rv. Piero (d) 12 septembre 2009 à 15:39 (CEST) PS : et grâce à ton texte de canalacademie, nous savons que ce manuel a plutôt été édité en 1845. re !Répondre

Serpents déplacement

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Bonjour, Cette nuit j'ai rêvé que je voyais une serpent (petit) au sol et un peu plus tard il était enroulé comme collé au mur. Ma question est (je n'ai pas trouvé de réponse dans l'article sur les serpents) un serpent (ou certaines variétés de serpents) peut il se déplacer à la verticale sur un mur (comme un lézard par exemple)? Merci pour les réponses. --Kkbs (d) 10 septembre 2009 à 07:20 (CEST)Répondre

Euh, hum ?... Félix Potuit (d) 10 septembre 2009 à 08:27 (CEST)Répondre
Un serpent n'est ni une limace, ni un lézard (et un orvet est un un lézard apode). Trouvez, parmi ces animaux les accessoires que n'a pas le serpent. Mitch-mitch (d) 10 septembre 2009 à 08:53 (CEST)Répondre
Bref : non, un serpent ne rampe pas à la verticale. Ou alors c'est un autre "animal" :-)) gem (d) 10 septembre 2009 à 09:55 (CEST)Répondre
Dans les rêves, le serpent fait ce qu'il veut, même grimper aux murs. Non mais. Morburre (d) 10 septembre 2009 à 10:44 (CEST)Répondre
...ouaip! C'était un ratier jaune ( option noir ) ou un explorateur ? et pour vingt balles les quinze minutes, je tiens le crachoir pour te traduire ton rêve ViZiT (d) 10 septembre 2009 à 11:55 (CEST)Répondre
une recherche d'images sur google.us avec snake climbing wall donne quelques résultats impressionnants. ViZiT (d) 10 septembre 2009 à 12:19 (CEST)Répondre

Merci, le rêve n'a pas d'importance. Ce qui a provoqué la question c'était de le voir sur le mur. Monter verticalement aux arbres je savais (en s'enroulant autour du tronc). Dans l'article de WP on parle de 4 manières de se déplacer sans plus. Donc je me suis demander s'ils pouvaient remonter un mur vertical. Bonne journée. --Kkbs (d) 10 septembre 2009 à 12:33 (CEST) on me souffle dans les naseaux d'arrêter de taquiner et vérifier que tu as bien suivi les liens et indices. Répondre

A propos des articles sur Conan le barbare ainsi que sur Robert Ervin Howard

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Bonjour !!! En consultant les pages sur Howard et Conan j'ai tout de même été assez surpris de ne pas voir mentionné la superbe étude faite par Emmanuel Collot sur Robert Ervin Howard et son oeuvre (Le Celte mélancolique, Corps barbares et Les enfants de Conan). Malgré les polémiques imbéciles et les complots divers dont a été victime ce brillant chercheur il a donné une somme considérable sur cet écrivain de l'ère des pulps, et dans un style remarquable qui aurait mérité à lui seul un prix littéraire. Je me proposerai donc de contribuer à ces articles en mentionnant cet apport essentiel pour la compréhension de cet écrivain. Comment pourrais-je faire pour contribuer à ces articles ???

Merci de bien vouloir m'indiquer les méthodes afin de soit contribuer à ces articles soit de lancer mon propre article...

Nous sommes en démocratie et je dois déplorer cette ère du monopole où certains ont droit de cité et d'autres non. Je pense donc que l'apport de Emmanuel Collot doit être au moins mentionné, histoire de conserver l'idée de démocratie sur Wikipédia...

Les liens de l'éditeur qui a eu l'intelligence de publier ce grand chercheur :

Une biographie de l'auteur :

Les lien de ses trois livres :

Amicalement

Dominique Monnoyer

J'ai transféré votre message sur Discussion:Conan le Barbare, où il aura plus de chance de rencontrer des personnes susceptibles de vous répondre. Je vous suggère toutefois d'éviter l'argument relatif à la « démocratie » (je vous suggère de lire ce que Wikipédia n'est pas). Si l'apport des livres d'Emmanuel Collot sur le sujet est reconnu par les connaisseurs, il n'y aura aucun problème à les citer. Seudo (d) 10 septembre 2009 à 14:17 (CEST)Répondre

Bonjour. Wikipédia n'est pas une démocratie. Et si certaines personnes ne sont pas citées, c'est souvent parce qu'elles ne racontent que des stupidités qui ne méritent même pas mention. Et « démocratie » veut dire que chacun à droit à la parole, pas que chacun a raison. Agrafian Hem Rarko (me parler) 10 septembre 2009 à 13:45 (CEST)Répondre

C'est plutôt une anarchie, donc créez votre article en cliquant sur le lien rouge de son nom, et en respectant les conseils en page d'accueil, aide. ViZiT (d) 10 septembre 2009 à 14:01 (CEST)Répondre
Je dirai plutôt que c'est un système politique mixte : à la base c'est une sorte d'oligarchie à la fois libérale et autoritaire, où les tâches d'exécution subalternes sont laissées à la libre gestion du peuple, les autres tâches étant déléguées par cooptation ; avec le temps, le projet a évolué vers une combinaison assez curieuse d'autocratie et de démocratie représentative, avec pour le second élément l'évolution habituelle : au bout d'un moment se crée une sorte d'aristocratie qui cristallise en une noblesse inamovible (type Ancien Régime). Par contre, je n'ai jamais constaté qu'il y ait la moindre tendance à l'anarchie : dès qu'une personne tente d'aller vers ça, elle se fait dire de cesser ses vandalismes et après quelques tentatives pour faire triompher son point de vue, elle est bloquée et ne peut plus participer au projet. -O.M.H--H.M.O- 10 septembre 2009 à 16:53 (CEST)Répondre
WP est un jeu ! (mais je ne retrouve plus le superbe article...  ) --Égoïté (d) 10 septembre 2009 à 17:25 (CEST)Répondre
La politique aussi  . -O.M.H--H.M.O- 10 septembre 2009 à 17:45 (CEST)Répondre
Wikipédia:MMORPG. héhé ! tu l'as en lien sur ta page utilisateur ! HaguardDuNord (d) 10 septembre 2009 à 17:28 (CEST)Répondre
 ... Merci   --Égoïté (d) 10 septembre 2009 à 18:29 (CEST)Répondre
Par Crom ! S'il fallait reprendre les théories de chacun sur un sujet pareil (je parle bien de Conan le Barbare). Je ne peux résister au plaisir de citer le célèbre morceau Anarchy in the W.K. des Sex Pistols. Amicalement Aluminium (d) 12 septembre 2009 à 02:15 (CEST)Répondre

L'air

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bonjour je voudrais savoir de quoi est constitué l'air qui nous entoure ? merci d'avance

Lisez l'article air. C'est indiqué clairement. Dhatier jasons-z-en 10 septembre 2009 à 18:02 (CEST)Répondre

H1N1

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Bonjour, je pense avec inquiétude à cette idée de vaccin contre la grippe A. je me pose ces questions : la grippe A est mortelle. un vaccin c'est inoculer le virus pour créer des anticorps. pour la grippe ordinaire ce n'est pas grave, on attrape la grippe une fois le vaccin inoculé et les anticorps sont créés pour protéger l'organisme.

mais pour la grippe A, cela me parait un peu comme le sida non ? inoculer le virus ? et si cela fait comme le sida ? on attrape le virus et le virus est plus fort que les anticorps ?

est ce que ce n'est pas un peu hasardeux cette mesure ? est ce que le vaccin sera comme celui de la grippe, tous les ans, ou est ce que cela sera comme les vaccins qu'on a à vie ?

pourquoi les scientifiques ne donnent pas plus d'avis là dessus ?

merci encore pour me donner des réponses sur ce point.

Je me permets de corriger vos erreurs : la grippe A n'est pas mortelle à chaque fois, on n'attrape pas la grippe après le vaccin, la grippe saisonnière est plus dangereuse que la grippe A ( c'est juste que celle-ci est plus contagieuse ), Le sida est très différent. Le virus de la grippe mutant, on se dirige vers un vaccin périodique. Les scientifiques, surtout le corps médical, communiquent assez bien si vous prenez la peine de chercher. Lisez les articles puis suivez les liens. ViZiT (d) 10 septembre 2009 à 21:26 (CEST)Répondre
Bonjour, vous pouvez lire le paragraphe Vaccination#Types de vaccins. Il existe plusieurs types de vaccins qui n'ont pas le risque que vous mentionnez. 1) On peut préparer le vaccin à partir du pathogène lui-même en l'inactivant (bouillis, électrocutés...), incapables de créer une maladie. 2) À partir de « sous-unités » entièrement de synthèse. Dans ce dernier cas, on n'injecte pas du tout l'élément pathogène, seulement des protéines copiées de celles de la surface du pathogène ; cela induira la production d'anticorps contre ces protéines, qui neutraliseront tout aussi bien le pathogène (qui porte ces protéines). Il existe des vaccins effectivement préparés à partir de pathogènes vivants mais atténués, et qui comportent théoriquement le risque que vous mentionnez (au cas où une erreur de manipulation entrainerait l'injection d'un élément insuffisamment atténué), mais ce n'est pas le cas du vaccin contre la grippe (voyez la liste des vaccins concernés au paragraphe que je donne en lien).
Concernant une vaccination à vie, on ne dispose pas pour l'instant de cette possibilité pour la grippe car le virus change d'année en année. Le vaccin est préparé dès que les premiers cas infectieux apparaissent, par exemple le virus apparait en Asie et on dispose de 6 mois pour préparer un vaccin en Europe, avant l'arrivée de l'hiver et les premières épidémies. Ce qui a fait peur dans le cas de la grippe H1N1 est que ce virus se transmet plus facilement que les autres virus de grippe, qu'il a traversé les continents en moins de temps qu'il faut pour préparer les vaccins. — Jérôme 10 septembre 2009 à 23:13 (CEST)Répondre
Notez que le cas du sida est à part car le VIH s'attaque au système immunitaire (précisément aux cellules CD4+), empêchant une réponse adaptée du corps à son infection et aux maladies opportunistes qui caractérisent le stade SIDA de l'infection et finissent par tuer le patient. Ici, le virus est celui de la grippe et il ne s'attaque pas au système immunitaire. — Jérôme 10 septembre 2009 à 23:31 (CEST)Répondre
Pour précision, l'incidence de mortalité de la grippe saisonnière est, pour l'instant, en moyenne trois fois plus forte que celle de la grippe ex-porcine ex-mexicaine, et la différence est encore plus grande dans les pays où la population a une bonne santé et un bon système médical. Il est possible qu'une pythie veuille indiquer que les données sur les contaminations dues à la grippe A sont très parcellaires mais c'est la même chose pour la grippe saisonnière, donc on peut considérer cette donnée comme assez fiable. Il se peut que, le temps passant, cette variante de grippe devienne plus virulente mais en ce cas on aboutira probablement à une incidence de mortalité équivalente aux autres variantes.
Il existe une autre différence : la répartition des cas mortels est différente de celle de la grippe saisonnière puisqu'elle touche beaucoup plus de sujets jeunes que de sujets âgés. À remarquer que les statistiques actuelles sur les sujets très jeunes sont à prendre avec précaution : gem faisait remarquer, dans une précédente discussion sur ce thème, qu'il peut exister un biais de représentation (ou d'observation) pour eux, le fait qu'il y a une plus grande vigilance sur leur santé, mais ici ça ne joue peut-être pas autant que pour leur surreprésentation parmi les cas hospitalisés.
Quant à la vaccination, on te l'a précisé déjà, elle n'est pas plus dangereuse que celle pour toute autre forme de grippe, le vrai problème étant les dépenses assez importantes consenties par les autorités dans plusieurs pays pour acheter des doses qui, très probablement, seront fort peu utilisées et qui dans leur majorité se périmeront.
Il te faut considérer que le problème n'est pas tant la maladie que son traitement médiatico-politique. même si plus fondé (il y a vraiment des cas nombreux de contamination humaine par le H1N1) c'est assez similaire, en fait, au délire sur la grippe aviaire H5N1 : le nombre de cas de contaminations humaines recensés entre 2003 et 2009 est de 436, dont 262 mortels, dans le monde ; l'incidence de mortalité est donc forte mais le risque de contamination extrêmement faible, à comparer aux 2,5 millions en moyenne de cas de grippe saisonnière par an, dont en moyenne 7.500 mortels, pour la seule France. Il te faut avoir conscience que, le plus souvent, la pire contamination à craindre est celle des esprits, induite par la propagande active des médias (souvent hélas relayée – et parfois provoquée – par les « responsables » politiques) qui ont intérêt, pour des raisons mercantiles, à mettre en avant et à dramatiser des problèmes sanitaires très au-delà de leur dangerosité effective. -O.M.H--H.M.O- 10 septembre 2009 à 23:50 (CEST)Répondre
Le mieux est encore d'attraper cette grippe maintenant (dans le cas de sujets ne faisant pas partie d'une population à risque bien entendu). Mon médecin m'a diagnostiqué une grippe, qui selon ses propos n'est vraisemblablement pas la grippe saisonnière. Donc a priori c'est la A / H1N1. Résultat : me voilà dispensé de vaccin  . Blue [ -02- ] 11 septembre 2009 à 14:49 (CEST)Répondre
Tu organises une WikiParty ? ViZiT (d) 11 septembre 2009 à 17:26 (CEST)Répondre
Un porteur du virus a posté ici ! L'oracle doit être mis en quarantaine immédiatement ! Je savais que je n'aurais pas du aller sur Wikipédia aujourd'hui ! Dosto (d) 12 septembre 2009 à 01:21 (CEST)Répondre
N'oublie pas de nettoyer ton écran avec une solution alcoolique (j'ai toujours pensé que l'alcool était la solution, d'ailleurs). Félix Potuit (d) 12 septembre 2009 à 11:01 (CEST)Répondre
Olivier, Tu as des sources sur la souche H1N1 actuelle et sa mortalité ? Tu dit qu'elle est « en moyenne trois fois plus faible » ? Au dernière nouvelle on était pas en mesure de le dire avec exactitude. Tu est probablement victime d'un biais qui aurait mis de l'avant les évaluations les plus optimistes. On reste dans les marges des autres souches bien entendu, mais l'évaluation exacte réside (on la vue) dans l'estimation du nombre de personnes qui se rendent jusqu'à l'hôpital (et ça c'est pas clair). Pour le reste, je te donne entièrement raison. Ilu (d) 15 septembre 2009 à 15:34 (CEST)Répondre

Bretons et bretonnes demandés

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Bonjour. Je lis dans Lait fermenté que ce type de lait s'appelle Lait ribot en France et le lien renvoie vers Babeurre qui n'est pas un lait fermenté ! Comme dans lait fermenté, je lis aussi que c'est le Buttermilch en Allemagne, le buttermilk aux Etats-unis et en GB et le Karnemelk au Pays-Bas... qui sont des babeurres, donc non fermentés, je me demande quelle est la validité des autres termes. Ma vérification commence par ribot. Au secours les Bretons ! --Égoïté (d) 10 septembre 2009 à 23:56 (CEST)Répondre

Héhé (je crois que mes aïeux donnaient le babeurre aux animaux). HaguardDuNord (d) 11 septembre 2009 à 00:22 (CEST)Répondre
Le nom de ces produits varie aussi suivant les lieux. Dans certains endroits le petit lait n'est pas synonyme de lactosérum mais de babeurre (ce que rappelle l'article) ou/et de lait caillé, donc de lait fermenté. Mais si dire du babeurre que c'est un lait fermenté ne correspond pas à l'expression figée ça correspond bien à la réalité, quand c'est un sous-produit du yaourt ou de la crème fraîche, qui est « légèrement acidifiée par culture bactérienne ». -O.M.H--H.M.O- 11 septembre 2009 à 01:39 (CEST)Répondre
Bonjour, ribot renvoie à baratte [6] et [7] donc lait baratté, mais dans WP Baratte on trouve baratte à ribot sous Baratte#Modèles de barattes à mon avis on est en face d'une expression normande, et on peut penser que la baratte normande et la baratte à ribot font/faisaient le même babeurre, donc le lait ribot. Alors au secours les bretons, les normands et tous les autres ! --Doalex (d) 11 septembre 2009 à 11:18 (CEST)Répondre
Merci à vous. Un Normand a déjà répondu (et le premier !) mais où sont donc passé les Bretons ? --Égoïté (d) 11 septembre 2009 à 23:04 (CEST)Répondre
Et il n’a même pas fait une réponse de Normand. Tout se perd, c’est bien triste, allez. rv1729 12 septembre 2009 à 09:20 (CEST)Répondre
Ça c'est à cause de la déculturation forcénée que j'ai subi par les hussards noirs d'une République génocidaire, qui nie toute spécificité ethnico-culturelle à ses provinciaux crottés... Enfin, je crois !  . HaguardDuNord (d) 12 septembre 2009 à 20:49 (CEST)Répondre
P't-êt' ben qu'oui, p't-êt' ben qu'non... -O.--M.--H.- 12 septembre 2009 à 21:35 (CEST)Répondre
P’têt’ ben, p’têt’ ben. rv1729

Alcool

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Diagramme binaire eau-éthanol, montrant un azéotrope.

Bonjour, Il me semblait avoir lu sur wikipedia un article dans lequel se trouvait un tableau donnant la température de fusion de diverses boissons en fonction de leurs degrés d'alcool, ainsi qu'une relation approximative entre les deux, mais je n'arrive plus à retrouver cela. Quelqu'un saurait-il où je pourrais trouver une telle formule. Je vous remercie d'avance.91.165.210.7 (d) 11 septembre 2009 à 10:48 (CEST)Répondre

Outre le graphique, voir des valeurs tabulées à en:Ethanol (data page)#Boiling points of aqueous solutions. C'est en anglais pour les chiffres ça ne devrait pas être un problème. — Jérôme 11 septembre 2009 à 12:10 (CEST)Répondre
Faites attention aux unités pour l'utilisation des valeurs numériques ; le graphique à droite est en composition molaire (et en kelvins), le tableau donné en lien est en composition massique (et en degrés Celsius). — Jérôme 11 septembre 2009 à 12:13 (CEST)Répondre
Rofl, Jérome est plus rapide que moi >_> Bref, je reprends : #REDIRECTIONCalcul des titres et des volumes d'alcools En espérant que cela t'aide. Djynn, le Petit Corbeau (d) 11 septembre 2009 à 12:16 (CEST)Répondre
Non en fait j'ai été trop rapide, le demandeur veut la température de fusion, pas d'ébullition. — Jérôme 11 septembre 2009 à 12:17 (CEST)Répondre
les valeurs numériques sont à en:Ethanol (data page)#Properties of aqueous ethanol solutions, dans la dernière colonne (« freezing temp. »), en fonction de la composition massique (1re colonne) ou volumique (2e colonne). — Jérôme 11 septembre 2009 à 12:19 (CEST)Répondre
Ba, ça peut toujours être utile, on va pas dénigrer ceux qui aide non plus >_<. Ah ce deuxième tableau est déjà plus proche de ce qu'il cherche, la preuve, même moi je le comprends...Djynn, le Petit Corbeau (Discutaillons) 11 septembre 2009 à 12:20 (CEST)Répondre
On en avait déjà parlé . S.M. | D.S.M. 11 septembre 2009 à 14:34 (CEST)Répondre

Merci beaucoup ! C'est exactement ce que je cherchais. Et la page de wikipedia que j'avais vue était en fait la réponse de l'oracle indiquée par S.M.. Désolé donc d'avoir posé une question que les pythies avaient déjà traitée et merci encore. 91.165.210.7 (d) 11 septembre 2009 à 16:17 (CEST)Répondre

Pas de problème, étant donné que l'Oracle existe au moins depuis le 15 août 2005 il y a donc déjà plus de 210 pages hebdomadaires avec souvent près de ou plus de 100 questions par page, donc en retrouver une parmi ces 20.000 à 25.000 n'est pas évident. Mais les Pythies, qui sont la Mémoire de l'Oracle, sont là pour ça aussi  . -O.--M.--H.- 12 septembre 2009 à 19:49 (CEST)Répondre

signification armoiries

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Madame, Monsieur, bonjour,

Je suis à la recherche de la signification des armoiries de Monseigneur d'Hugues, Archevêque d'Embrun ( hautes-Alpes, France )décédé en 1648, en particulier de celle des bras entrecroisés sur une croix.Fichier:CAPUCINS 004.jpg

Je vous remercie si vous pouvez orienter ma recherche.

Cordialement.

Je présume qu'il s'agit du Guillaume IX d'Hugues indiqué dans la liste. J'ai trouvé le blason ci-contre mais c'est celui de Guillaume IV d'Hugues (à remarquer que ce IV ci est né un siècle après ce IX là). Si ça correspond à ce dont tu parles, Il est décrit comme « d'azur, au lion d'or, surmonté de trois étoiles de même, et trois fasces de gueules brochant sur le lion ». Ce qui ne dit rien sur sa signification, mais ça donne des pistes. -O.M.H--H.M.O- 11 septembre 2009 à 13:17 (CEST)Répondre
Dans le Manuel de l'amateur d'estampes de reliures armoiriées françaises du Docteur Eugène Olivier, Georges Hermal et R. de Roton, le volume de la 19° série indique à la page 1934 presque les mêmes amoiries que celles décrites ci-dessus, en plus une couronne, en moins le chapeau archi-épiscopal: Lion accompagné avec 3 pièces brochantes, azur, or, gueules:. Avec un texte:... Général de l'ordre des frères conventuels à 37 ans.... décédé le 27 octobre 1648. Philippe Nusbaumer (d) 11 septembre 2009 à 13:54 (CEST)Répondre
Sur cette page ainsi que sur cette autre on trouve le même blason avec la même description, « d'azur au lion d'or chargé de trois fasces de gueules brochant sur le tout et surmontées de trois étoiles d'or rangées en chef », ce qui est logique, mais sans adjonction de couronne ou de chapeau ou de croix, qui semble bien les armes de la famille d'Hugues. Reste bien sûr la question de la signification... -O.M.H--H.M.O- 11 septembre 2009 à 15:09 (CEST)Répondre
Notons cependant que la description de l'armoirie (dont la photo ne s'affiche pas) proposé par l'invité initiateur de ce sujet ne colle pas du tout avec celle que vous présentez. Djynn, le Petit Corbeau (d) 11 septembre 2009 à 15:29 (CEST)Répondre
Un petit tour vers la héraldique ecclésiastique et les ornements extérieurs ? Tu y trouveras peut-être ton bonheur. -O.M.H--H.M.O- 11 septembre 2009 à 17:18 (CEST)Répondre
Pour faire avancer la connaissance Guillaume IX d'Hugues, Philippe Nusbaumer (d) 11 septembre 2009 à 18:39 (CEST)Répondre

Bientôt l'automne et petits zoiseaux.

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Bonjour Oracle. Peux-tu me dire où les hirondelles se réunissaient pour partir en vacances avant qu'on invente le téléphone ? Par avance merci. En passant (d) 11 septembre 2009 à 14:31 (CEST)Répondre

Au hasard sur les bras du télégraphe, ou plus probablement dans les arbres, sur les toits des maisons, bref sur tout autre perchoir... Mitch-mitch (d) 11 septembre 2009 à 14:32 (CEST)Répondre
Mais je n'ai jamais vu d'hirondelle dans un arbre ou sur un toit (mais souvent sous). Est-ce parce que leur nouveau perchoir est tellement bien qu'elles ne veulent plus s'en passer ? Parce que je ne sais pas bien regarder ? Parce qu'elles fuient les régions sans fil de téléphone partout ? En passant (d) 11 septembre 2009 à 14:40 (CEST)Répondre
Je pense que c'est simplement parce que, perchées ailleurs, elles sont moins visibles – et aussi parce que tu regardes mal : on en voit souvent sur les bords de toits. Remarque, pour mon compte je ne vois plus guère d'hirondelles, et encore assez mais de moins en moins de martinets, sans doute parce que, comme l'indique notre article, « une des menaces pour l'hirondelle pourrait être la régression des ses proies induites par l'usage généralisé des pesticides » – sinon que « pourrait » est de trop ici... -O.M.H--H.M.O- 11 septembre 2009 à 15:16 (CEST)Répondre
D'après cet anecdote, dans les Roselières si elles peuvent, dans les champs de maïs en remplacement. ViZiT (d) 11 septembre 2009 à 15:28 (CEST)Répondre
En général (du moins en France) on trouve des hirondelles à la campagne et des martinets en zone urbaine. --Serged/ 11 septembre 2009 à 19:29 (CEST)Répondre
Depuis 10 ans que j'habite le sud de la France (pays des toits à tuile) je confirme : ça pullule le martinet en milieu urbain, (allez donc vous balader dans Toulouse au mois de juillet) le soir, on voit la moitié aller nicher sous les tuiles, l'autre moitié monter passer la nuit dans le ciel. Par contre il y a peu d'hirondelle --Lo
Bonjour, depuis quelque temps, je vois devant chez moi une sorte d'oiseau que je crois bien n'avoir jamais vu: de corps plutôt rondouillet, sa taille se situant entre celle d'un moineau et d'un merle, couleur gris-beige, avec une particularité remarquable: une tache bleu vif sur l'aile. J'en ai vu un, puis deux, puis des petits. Je dirais quatre ou cinq en tout, à peu près. Et ma mère m'a dit qu'elle en a vu elle aussi un semblable, depuis et tout récemment, dans son jardin, à un kilomètre de chez moi environ. Cela vous dirait-il quelque chose? Je me demande bien ce que peut être cet oiseau, avec sa belle tache bleue sur l'aile, cela me semble assez peu commun pour des oiseaux de France. Merci. Francis Martin (d) 13 septembre 2009 à 18:37 (CEST)Répondre
Si tu possèdes ou peux emprunter un appareil photo numérique, essaie de les photographier et de mettre le résultat sur Wikipédia. À partir de là une identification serait possible. -O.--M.--H.- 13 septembre 2009 à 19:14 (CEST)Répondre
D'accord. A noter qu'il y a un zoo pas loin, peut-être sont-ce des oiseaux exotiques échappés. J'ai un appareil numérique, caméra et photo, je les ai filmés avec. Je vais voir si je peux extraire des photos de ces films. Mais ça ne fait pas longtemps que je me sers de ce matériel, il va falloir que je cherche pour transmettre. Ou bien pourrais-je envoyer un film? Francis Martin (d) 13 septembre 2009 à 19:58 (CEST)Répondre
Geai des chênes?
Oui, c'est ça, merci bien et bonne soirée à tous. Francis Martin (d) 13 septembre 2009 à 21:35 (CEST)Répondre

Controverse de Valladolid

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Controverse de Valladolid est parfois utilisé comme expression, je n'arrive pas à la comprendre, quelqu'un peut-il l'expliquer ?

exemple : " cette emission en s'éloignant du modèle des controverses de Vailladolid voit débattre ensemble sur un thême d'actualité deux personnalités "

Regardez par ici Controverse de Valladolid Mitch-mitch (d) 11 septembre 2009 à 20:49 (CEST)Répondre
Merci mais je n'ai pas trouvé la réponse dans cet article --195.146.236.209 (d) 11 septembre 2009 à 20:51 (CEST)Répondre
Je suppose que ce qu'il faut retenir c'est que 2 personnes d'avis divergents (les indiens ontils une ame?) ont réussi après débat à trouver un terrain d'entente (le christ rédempteur). C'est souvent le cas des débats télévisé ou radiophoniques. Les deux ne changent pas complètement leurs points de vue mais arrivent à être d'accord sur d'autres. Mitch-mitch (d) 11 septembre 2009 à 21:13 (CEST)Répondre
J'abonde : il en va de la controverse en question comme il en va de la qualification de Florentin qui vient de l'acception ordinaire du Florentisme. Quand on parla un temps de François Mitterrand] comme le Florentin ça ne signifiait pas qu'il en fut un mais qu'il avait « une certaine manière de gouverner en politique [qui] n'est pas vraiment de la dictature mais une manière d'imposer sa vue et de régner en maître » ; quand on parle de « controverse de Valladolid » autrement que pour parler de l'événement particulier de ce nom, c'est bien pour indiquer une discussion où il est indécidable de déterminer qui a raison. -O.M.H--H.M.O- 11 septembre 2009 à 22:42 (CEST)Répondre
D'après l'article en anglais, la caractéristique de cette controverse est qu'elle se basait sur des arguments essentiellement théoriques et livresques, les deux débatteurs citant notamment Aristote à tour de bras. Peut-être faut-il entendre que l'émission en question cherche à éviter les positions dogmatiques a priori. Bref, on rechercherait des débatteurs sympas, ouverts, conciliants, prêts à aller boire un pot ensemble après l'émission. Ça me semblerait assez dans l'air du temps (surtout pas de conflit ni de positions tranchées, ça traumatise l'auditeur). Félix Potuit (d) 12 septembre 2009 à 08:21 (CEST)Répondre
Pire, ça lui laisse croire qu’il y a plus d’une voie possible ? Allons, mieux vaut parler de tous ces petits enfants assassinés, voilà un beau sujet consensuel autour duquel écraser une larme. Mon correcteur orthographique propose « con sensuel », c’est pas con, mais on fait ce qu’on peut. rv1729 12 septembre 2009 à 09:24 (CEST)Répondre

définition et protection

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le titre de conseiller juridique est-il protégé ? comme un conseil désignant un avocat ?

On dit plutôt un conseil juridique. Dans le cas de la France, la fonction n'existe plus mais le titre demeure et est réservé aux avocats. Celui de conseiller juridique n'existe pas mais je pense que quelqu'un qui s'en prévaudrait se verrait rapidement mis en demeure de cesser par l'Ordre des avocats, du fait de la confusion possible (et probablement voulue) avec celui de conseil juridique. -O.--M.--H.- 12 septembre 2009 à 15:03 (CEST)Répondre
  Chère visiteuse, cher visiteur. C'est avec plaisir que nous répondrons à votre question si nous le pouvons, mais nous aurions grandement préféré qu'elle fût formulée avec un peu plus de courtoisie : bonjour, s'il vous plaît et merci sont toujours appréciés. Bonne navigation sur Wikipédia.

Vous êtes trop gentil Olivier, moi je ne répond jamais s'il n'y a pas au moins un "bonjour" --Deva (d) 13 septembre 2009 à 06:38 (CEST)Répondre

Thermodynamique en PCEM 1

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Bonjour, je suis en PCEM 1 et je rencontre une difficulté au niveau de la définition microscopique de la pression dans le polycopié. Pression : - grandeur d'origine mécanique - n'est pas due au poids des corps ( présente en impesanteur ) => non liée à la gravitation Pression liée au nombre de CHOCS Pression cinétique :   où P est la pression pour un type donné de molécule ( si mélange de gaz, P = pression partielle )   est la densité particulaire totale = N/V ( nombre de particules par unité de volume )   est la vitesse quadratique moyenne au carré

Donc la pression totale pour un système à i espèces de molécules :  


 

 

Formule de Bernouilli  

Que représente   ? Je suppose l'énergie interne pour une particule. Mais je ne vois pas le lien entre les 3 égalités :  

 

 

Si quelqu'un y voit un peu plus clair que moi je serai heureuse qu'il m'explique... Merci de m'avoir lu.

Bonne journée

Je ne suis pas très à l'aise avec latex, alors je vais essayer de faire sans :
  comme vous dites,
or, vous remarquerez qu'en remplaçant 1/3 par 1/2 dans le membre de droite, ça représente la somme des énergies cinétiques des particules de gaz
Donc 3Ptot/2 = énergie cinétique du système = énergie interne du système (on suppose que tout le système reste à altitude constante)
D'où la formule U= 3PV/2 pour un gaz parfait (sinon il faudrait prendre en compte la pression interne en plus de la pression cinétique à prendre en compte) monomoléculaire monoatomique (sinon les moments autour des axes de liaison seraient non nuls => énergie cinétique due à la rotation autour de ces axes).
Suis-je assez clair ? Sinon dites-le et j'essaierai de détailler (c'est si rare qu'un questionneur utilise le latex  )
S.M. | D.S.M. 12 septembre 2009 à 15:03 (CEST)Répondre


Merci de m'avoir répondu, j'ai tout compris jusqu'a monomoléculaire, en effet je ne comprends cette histoire d'axes de liaison et tout le contenu de la parenthèse...
Pour faire simple, si vos molécules de gaz se réduisent à des atomes ponctuels, et que vous mettez vos N molécules dans un cube, la pression cinétique résultant des chocs sur les faces du cube sera proportionnelle à la vitesse quadratique moyenne au carré affectée d'un facteur 1/3 qui traduit le fait que le système se comporte comme si N/3 molécules étaient dirigées selon l'axe des x, N/3 vers l'axe des y et N/3 selon l'axe des z.
Si vous prenez une molécule diatomique telle que <O=O>, vous voyez qu'il existe 2 axes (si on dit que O=O est dans le plan de cette page, le premier de ces axes est ce plan dirigé vers le haut, le second vient vers vous) tels que la rotation de la molécule autour représente une énergie cinétique non nulle. Vous vous retrouvez donc avec 5 directions équiprobables pour distribuer votre vitesse quadratique moyenne, dont 3 seulement interviennent dans la pression... Donc vous aurez, pour un gaz parfait bimoléculaire diatomique U=5PV/2.
(Entre parenthèses, selon la fac de médecine vous êtes et selon qu'on vous parle de théorie cinétique des gaz en physique ou en chimie, il est tout à fait plausible que la probabilité que ça tombe au concours soit nulle - n'écoutez pas mes conseils et regardez dans les annales de votre fac). Sérieusement, un théorème commence toujours par « soit », et ça ne vous coûtera presque rien de commencer par « soit un gaz parfait monomoléculaire monoatomique, blabla => U=3PV/2 »
S.M. | D.S.M. 12 septembre 2009 à 15:54 (CEST)Répondre
Correction (je suis fatigué aujourd'hui) : j'ai écrit mono/di-moléculaire, je voulais dire monoatomique/diatomique. S.M. | D.S.M. 12 septembre 2009 à 19:15 (CEST)Répondre
Pour résumer, et expliquer le choix de l'indice, Ut comme énergie de translation, pour ne pas faire intervenir les autres formes d'énergie. Colo (d) 13 septembre 2009 à 14:27 (CEST)Répondre
Merci beaucoup à vous, votre réponse m'a été d'une aide précieuse. Bonne journée, et encore merci. Qui sait, peut être que c'est le détail qui fera que je serai prise au concours.  

Capitales

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Bonjour à tous ! Je vous appelle a l'aide, car il faut que je trouve toutes les capitales d'Europe ... Oui, c'est pour le lycée, mais j'aimerais bien que vous m'aidiez ... Merci d'avance !

Par nécessité, je place cet avis :
  Le sage Oracle ne fait pas les devoirs à la place des étudiants. Bonne chance dans ta recherche…
Mais bon, on peut au moins te donner des pistes. Toutes les capitales d'Europe sont accessibles à partir de l'article sur l'Europe et toutes celles de l'Union européenne à partir de... Tu m'as compris. Bonne recherche. -O.--M.--H.- 12 septembre 2009 à 17:03 (CEST)Répondre
Allez, je suis beau joueur, je te les donne, en vrac : Canada -> Vladivostok ; Russie -> Reykjavik ; Mexique -> Tours ; Slovaquie -> Orlando ; France -> Pellouailles-les-vignes ; Écosse -> Tombouctou ; Afrique du sud (dans l'UE depuis le 09/09/09 (pas 2009, 1909)) -> Seattle ; Washington -> DC ; Terre Adélie -> Cornetto. Il doit en manquer, mais c'est surtout les pays du Caucase, on s'en fout un peu. Il manque aussi peut être les régions septentrionales sub-méridionales de l'Ouest oriental, m'enfin c'est un détail. De rien, 86.72.45.184 (d) 12 septembre 2009 à 22:08 (CEST)Répondre
Le type qui a écrit les réponses s'est trompé, la capitale de France est Paris. Sinon le reste me semble bon. --LeBelot (d) 13 septembre 2009 à 01:41 (CEST)Répondre
 Pas besoin de déranger l'Oracle pour un devoir aussi simple (devoir de Lycée ?? Vraiment ??). Comme le sous-entends Olivier, une petite recherche sur Wikipedia (et moi je te conseille une recherche genre "capitales Europe" sur Saint Google) te donnera ce que tu cherches. C'est une impression ou les élèves deviennent de plus en plus paresseux ?--Deva (d) 13 septembre 2009 à 06:44 (CEST)Répondre
Y'a aussi des trucs qui s'appellent des atlas (vous savez, des grands bouquins avec des jolies cartes dans toutes les couleurs, qui représentent des pays ?) En général, pour chaque pays, la capitale se trouve écrite en gras, ou soulignée. C'est très amusant, plutôt que de recopier bêtement une liste, on peut ainsi voir où se trouve chaque capitale. Félix Potuit (d) 13 septembre 2009 à 07:05 (CEST)Répondre
Soyons indulgents : Il a plus de capitales à trouver que moi quand j'étais au lycée... Y'avait encore l'URSS (capitale Moscou) et la Yougoslavie (capitale Belgrade), c'était moins compliqué ! --Serged/ 13 septembre 2009 à 11:04 (CEST)Répondre
Par contre, il devait y avoir deux capitales en Allemagne ! N'est-ce pas qu'elle est Bonn ? Père Igor (d) 13 septembre 2009 à 19:02 (CEST)Répondre
LeBellot, je crois que c'était voulu l'erreur de la capitale française Djynn, le Petit Corbeau (création de page perso.) 14 septembre 2009 à 11:10 (CEST)

Définition

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j'aimerai savoir se que veut dire mithos c'est tres important je voudrais aussi la definition des guerres mediques

Mithos c'est un nom il me semble. C'était un roi de je ne sais plus qu'elle. Son histoire est lié à l'histoire de la Toison D'or. Mais je fait peut être un hors sujet. Accesoirement, Mithos est aussi le nom du méchant dans ToS, mais je m'égare...
Pour les Guerres médiques, suivre le lien ! Djynn, le Petit Corbeau (d) 12 septembre 2009 à 17:41 (CEST)Répondre
Bon, c'est le jour :
  Le sage Oracle ne fait pas les devoirs à la place des étudiants. Bonne chance dans ta recherche…
-O.--M.--H.- 12 septembre 2009 à 18:02 (CEST)Répondre
  Chère visiteuse, cher visiteur. C'est avec plaisir que nous répondrons à votre question si nous le pouvons, mais nous aurions grandement préféré qu'elle fût formulée avec un peu plus de courtoisie : bonjour, s'il vous plaît et merci sont toujours appréciés. Bonne navigation sur Wikipédia.
 Et la politesse bon sang ??!! Deux bandeaux politesse et deux pour les devoirs en deux questions ! Mais qu'est-ce qui se passe en ce moment ??...Ah oui...C'est la rentrée...--Deva (d) 13 septembre 2009 à 06:50 (CEST)Répondre
« Je ne sais plus qu’elle » : tu es amoureux, petit corbeau ? rv1729 13 septembre 2009 à 07:41 (CEST)Répondre
Absolument pas, je suis axexué xD Non, juste que j'ai pas relu, j'ai donc tendance à oublier des ... mots... Djynn, le petit corbeau en mode création de page perso...


Enseignant-chercheur : ENS ou Fac ?

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Salut !
Je voudrais savoir si au niveau des postes obtenus après une fac ou l'ENS en tant que chercheur ou enseignant chercheur, il y existe une différence notable. Au niveau des recherche menées, aussi, ou des possibilités à l'international. Une question cependant : si on tente l'ENS, il faut faire une prépa, seulement, si on rate, il faut rattraper la fac, et dans ce cas, puisque les prépas sont maths/physique principalement, si on veut faire autre chose comme science (genre anthropologie, linguistique, neurosciences, etc...), et ben on doit retourner en 1ère année, nan ?
Merci d'avance, 86.72.45.184 (d) 12 septembre 2009 à 22:00 (CEST)Répondre

La seule différence, c’est que grâce à votre ancienneté dans la fonction publique (et à l’agreg) vous démarrez au 3e échelon de salaire (comme MCU). rv1729 12 septembre 2009 à 22:27 (CEST)Répondre
Ok. Mais on m'a dit que, par exemple, on pouvait plus ou moins choisir son poste une fois diplômé, ou encore qu'on était plus demandés au niveau des centres de recherches (accès à des trucs plus prestigieux...) ou au niveau international. Véridique ? 86.72.45.184 (d) 13 septembre 2009 à 11:42 (CEST)Répondre
Non, on ne choisit pas son poste : ils sont bien trop rares pour cela. Mais, être normalien est en effet une propriété intéressante et qui favorise une carrière, en moyenne, pour des raisons multiples, qui vont du prestige symbolique de la chose aux réseaux sociaux plus denses auquel donne accès cette formation en comparaison de la fac. D'autre part, les ENS sont hiérarchisées : l'ENS Ulm a peu à voir avec l'ENS Cachan, par exemple. Stagell (d) 13 septembre 2009 à 12:56 (CEST)Répondre
Rien à ajouter ; je ferais pencher la balance en faveur du poids des réseaux sociaux plutôt que de celui du prestige. Je dirais que le prestige de l’ÉNS est minime voire inexistant au moment du recrutement (et a fortiori après). Ce qui est important c’est d’avoir, encore étudiant, profité de cette situation pour choisir un directeur de thèse prestigieux. Certains excellent à cet exercice. À l’opposé, faire une ÉNS pour ensuite préparer sa thèse sous la houlette d’un obscur MCU provincial n’est pas une bonne stratégie professionnelle. De toutes façons choisissez un professeur des universités comme directeur de thèse : ils ont beaucoup plus de pouvoir sur les recrutements. rv1729 13 septembre 2009 à 15:01 (CEST)Répondre
Ok. C'est intéressant. Mais pourquoi donc les étudiants qui s'arrachent pour entrer à l'ENS le font-ils dans ce cas ? 86.72.45.184 (d) 13 septembre 2009 à 20:01 (CEST)Répondre
Si on pense uniquement en terme d’optimisation de carrière, le fait d’être, en tant que normalien, à même de choisir un directeur de thèse prestigieux et puissant vaut bien l’investissement qu’on y met. Mais y a pas que ça... Dans mon cas c’était avant tout un moyen de pas finir ingénieur — eh oui, une fois en prépa les échappatoires sont rares. Certains courent tout simplement après le prestige, la récompense symbolique — quand on était petits, on avait des bons points, des images... être admis à l’ÉNS, c’est pour beaucoup une image très très belle et très très enviable. rv1729 13 septembre 2009 à 22:47 (CEST)Répondre
Mais si c’est le savoir qui t’intéresse, et pas ta carrière, va à la fac (Orsay, ou Jussieu), et tu en sauras autant que les taupins et les normaliens — et même, tu en sauras plus sur la vie, par exemple tu as de bien meilleures chances qu’eux de savoir remplir un dossier de demande d’allocs à la CAF, de n’être plus puceau/pucelle à 20 ans, de savoir tenir une conversation normale (sans répondre « test » ou « contretest » à une réplique sur trois)...   rv1729 13 septembre 2009 à 22:51 (CEST)Répondre
OK, merci ! Effectivement, de ce point de vue là... ^^ Sinon, c'est bien ce que je pensais, c'est "pour le prestige" 86.72.45.184 (d) 14 septembre 2009 à 12:15 (CEST) (en plus, j'ai un compte, mais juste la flemme de me connecter)Répondre
C’est du prestige convertible en avantages concrets, suffisamment détaillés ci-dessus je pense ; donc un peu plus que du prestige pur... rv1729 14 septembre 2009 à 13:25 (CEST)Répondre
Oui m'enfin ce sont des avantages concrets qui ont leur pendant d'inconvénients non moins concrets... De plus les avantages, qui sont principalement, si je résume :
  • Prestige (je considère quand même ça comme un avantage concret, ça joue sur l'image que les gens ont)
  • Ancienneté en début de carrière -> salaire plus élevé (et si le système est similaire aux prof des écoles, plus de points si on demande son changement)
  • Préparation à l'agreg
  • Densité des réseaux de l'ENS, d'où une plus grande facilité pour trouver une directeur de thèse prestigieux.

Donc si j'ai bien compris, à part l'ancienneté en début de carrière, aucune différence fondamentale : il existe d'autres filières de préparation à l'agreg, et on peut ne pas la passer, le prestige de l'école c'est pas indispensable, et on peut très bien trouver un directeur de thèse prestigieux sans être à l'ENS, et réciproquement, nan ? 86.72.45.184 (d) 14 septembre 2009 à 18:36 (CEST)Répondre


Pas de différence fondamentale (on peut tout faire sans) mais c'est quand même une aide précieuse : - le salaire pendant 4 ans. - des cours d'un autre niveau qu'à la fac (et des camarades d'études d'un autre niveau). - plus globalement de très bonne conditions de travail. - un accès quasiment assuré à une bourse de thèse couplée avec un monitorat (i.e. avec une petite charge d'enseignement bien rémunérée). - la dernière année d'école pour commencer la thèse (ce qui donne un peu plus de marge sur la fin) - une très bon point sur ton cv (que ce soit pour convaincre un directeur de thèse de te prendre en thèse, ou ensuite au niveau du recrutement sur une poste de chercheurs ou d'enseignant-chercheur). Par ailleurs avoir un bon rang à l'agrégation est également un très bon point pour le recrutement sur un poste d'(enseignant-)chercheur. C'est également une jolie roue de secours en cas d'échec. D'ailleurs, dans certaines disciplines (en math par exemple), beaucoup de directeurs de thèses refusent de prendre quelqu'un qui n'a pas l'agreg (ou une ENS). Pour ce qui est des réseaux, je ne suis pas très convaincu par les remarques ci-dessus, mais ça dépend sans doute des disciplines. Au moment du choix du directeur de thèse, c'est plutôt le fait que avoir été reçu dans une ENS assure un niveau minimal correct qui convainc les directeurs de thèses. Tu devrais préciser ta discipline, là je te donne le point de vue d'un matheux.

chanson debile

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coucou, je recherche une vieille chanson dont le refrain est "boulimie" et "miam miam goulie goulie" est ce que vous pouvez m'aider. si vous trouvez pas ce serait trop top a+ chatsam

Peut-être une déformation de A ram sam sam? Biem (d) 13 septembre 2009 à 08:40 (CEST)Répondre
non ca fait vraiment "miam miam goulie goulie" (bis) et la chanson dur plus de 2 min. Chatsam (coucou) 13 septembre 2009 à 11:54 (CEST)Répondre
Ça me rappelle une anecdote : il y a des années, tous les groupes de musiciens, dans les hôtels d'un patelin yougoslave, chantaient en anglais une même chanson à longueur de soirée. Rentrée en Belgique, j'ai voulu acheter le disque, par sentimentalisme. Je n'ai jamais trouvé Bas nylon (il aurait fallu comprendre Babylon  ). --Égoïté (d) 13 septembre 2009 à 14:18 (CEST)Répondre
By the rivers of Bas Nylon... ♩ ♪ ♫ ♬ ♭ ♮ ♯ ☮ Félix Potuit (d) 13 septembre 2009 à 15:41 (CEST)Répondre
Et les bigoudis, sans parler de les p'tites bites, Roger ou autres parodies des Bidochons ? --Serged/ 13 septembre 2009 à 16:34 (CEST)Répondre
non c'est en francais car il parle de Spaghetti. Chatsam (coucou) 13 septembre 2009 à 17:59 (CEST)Répondre
Ça serait pas plutôt italien avec des spaghettis ? Père Igor (d) 13 septembre 2009 à 19:06 (CEST)Répondre
À tout hasard, ça ne serait pas Miam Miam Goody Goody d’Henriette Coulouvrat ? (écoute possible ici) --Aadri (d) 14 septembre 2009 à 12:00 (CEST)Répondre
ahhhhhh! merci vous etes les meilleurs, merci Aadri et plein de      a+ Chatsam (coucou) 14 septembre 2009 à 12:16 (CEST)Répondre
Dieu que c'est mauvais!!--LeBelot (d) 16 septembre 2009 à 18:20 (CEST)Répondre

Economie/Les Pouilles Italie

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Habitations à flanc de la gravina (145 m de profondeur).

Bonjour. En survolant la région des Pouilles, j'ai aperçu et photographié un grand anneau parfaitement circulaire situé non loin de la côte dans la province de Tarente. Il est nettement visible sur Google Earth et englobe plusieurs localités dont le nom contient Masseria. Je pense à un accélérateur de particules. Serait-il possible d'en avoir confirmation? Merci de répondre. JPB.

Est-ce que vous posez la question pour cette particularité géologique ? ViZiT (d) 13 septembre 2009 à 14:00 (CEST)Répondre
Voir Matera et it:Gravina di Castellaneta. — Jérôme 13 septembre 2009 à 14:13 (CEST)Répondre

Nan, c'est le circuit automobile de Nardò, où Coluche a battu en 1985 le record du monde du kilomètre lancé à moto, avec plus de 250 km/h de moyenne. À voir aussi ici.--MGuf 13 septembre 2009 à 17:41 (CEST)Répondre

Et ça serait cool que vous mettiez vos photos sur Commons, merci d'avance. --MGuf 13 septembre 2009 à 18:25 (CEST)Répondre
Dommage, le truc geologique rond etait quand meme plus joli. — Jérôme 13 septembre 2009 à 21:04 (CEST)Répondre
En fait, c'est un accélérateur de véhicules... bon je vais me coucher. — Jérôme 13 septembre 2009 à 22:23 (CEST)Répondre

Définition du First boot Device CDROM

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Bonjour, Nous aimerions savoir ce que signifie le "First Boot Device CDROM" afin de pouvoir terminer un exercice. Merci beaucoup de nous renseigner.

pour moi ca signifie que le "boot device" c'est a dire l'appareil du démarrage, qui sera utilisé en premier(first) est le CD rom. En gros lorsque le système démarre, le premier endroit ou il cherche des fichiers pour demarrer est le cd. A l'epoque on avait "First Boot Device floppy" pour la disquette (floppy). Mitch-mitch (d) 13 septembre 2009 à 12:00 (CEST)Répondre
Vous aurez plus de détails dans l'article sur les BIOS. Piero (d) 13 septembre 2009 à 12:20 (CEST)Répondre
Tssk tssk tsk ! Il y a du relâchement chez les pythies :
  Le sage Oracle ne fait pas les devoirs à la place des étudiants. Bonne chance dans ta recherche…
-O.--M.--H.- 13 septembre 2009 à 15:06 (CEST)Répondre
Et encore une question pour les devoirs ! C'est bien ce que je disais : c'est la rentrée. --Deva (d) 14 septembre 2009 à 05:56 (CEST)Répondre

Poterie gallo-belge

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Bonjour, Dans son ouvrage Histoire chronologique de la Lorraine, éditions Place Stanislas, 2009, (ISBN 978-2-35578-038-7) (BNF 42089409), Laurent Martino précise dans un encadré en page 24 que la révolution de la céramique sigillée a fait disparaitre la poterie dite « gallo-belge », antérieure à la venue de César.

C'est la première fois que je lis cette dénomination de poterie gallo-belge, et je ne trouve pas de référence ni parmi mes documents personnels, ni dans les bibliothèques géographiquement à ma portée, et google n'apporte pas de résultat utilisable (mais j'utilise probablement très mal cet outil...)

Une des Pythies aurait-elle quelque notion concernant cet élément?

Avec mes remerciements anticipés. Cordialement. --doc103 (d) 13 septembre 2009 à 14:54 (CEST)Répondre

Je ne connais pas non plus cette expression. Par contre, des peuples habitant la Belgique actuelle appartiennent à la civilisation dite rubannée (voir Culture rubanée) et on a défini l'omallien comme une culture néolithique de Belgique, d'après le gisement d'Omal, localité située au Nord de Huy. Cette culture appartient au groupe danubien et s'apparente au rubané d'Allemagne. Si tu trouves d'autres informations, je suis preneuse ! --Égoïté (d) 13 septembre 2009 à 15:46 (CEST)Répondre
Gallo-belge = de la Gaule belgique, non ? HaguardDuNord (d) 13 septembre 2009 à 16:31 (CEST)Répondre
Oui, logiquement, Haguard (et bien le bonjour !) Mais je ne me souviens pas d'avoir vu cette expression accolée à poterie ou céramique. --Égoïté (d) 13 septembre 2009 à 23:48 (CEST)Répondre
Via google, on trouve parmi d'autres (13 700 occurrences), un article de Raymond Brulet et Xavier Deru (2001) : cette céramique est omniprésente au Ier siècle ap. JC dans les sites de la moitié nord de la Gaule et sur la frontière rhénane, ils précisent plus loin que ce vocable est utilisé par les chercheurs français et britanniques (les archéologues néerlandais, belges et allemands la nomment céramique "belge"). Piero (d) 15 septembre 2009 à 06:41 (CEST)Répondre
Et [PDF] ce document propose une définition précise de la céramique gallo-belge. Je suis surpris que l'auteur de la question n'ait pas trouvé ces résultats par Google : il suffit d'entrer "gallo-belge" (avec ou sans les guillemets) et ces liens sortent dès la première page de résultats... Seudo (d) 15 septembre 2009 à 07:04 (CEST)Répondre
Eh bien, j'en ai appris des choses ! Merci beaucoup. --Égoïté (d) 15 septembre 2009 à 07:26 (CEST)Répondre

On s'en lave les mains

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Les journaux racontent que les fioles de 30 ml pour se laver les mains et se protéger de la grippe sont en rupture de stock dans les pharmacies. Qu'est-ce que ces produits apportent de plus par rapport, par exemple, à l'alcool à 90° ou à la Liqueur de Dakin ? Est-ce qu'on peut fabriquer un produit aussi efficace pour moins cher ? Apokrif (d) 13 septembre 2009 à 15:18 (CEST)Répondre

Rien à l'acheteur, un peu plus au détaillant, beaucoup au fabricant : en faisant ton propre mélange tu obtiens le même résultat mais poru 30 à 40 fois moins cher ; la différence est ce qui constitue le gain pour ces produits, et il ne tombe pas dans ta poche... Incidemment, le ministère de la santé donne un avis de bon sens dans cette page : « Conseil : lavez vos mains avec du savon ordinaire et de l’eau. Le savon antibactérien n’est pas nécessaire ». Cette dernière mention est logique : un produit antibactérien pour lutter contre des virus, ça n'est pas remarquablement utile. Ah oui : le ministère de la santé du Québec, bien sûr, celui français a une autre vision des choses... -O.--M.--H.- 13 septembre 2009 à 15:29 (CEST)Répondre
L'avantage de la soulution coûteuse (le produit alcoolisé), c'est qu'il ne nécessite pas d'alimentation en eau (ni d'évacuation car on n'a besoin que de quelques ml à chaque fois) et que, de plus, son utilsiation semble plus rapide (on dit que le lavage des mains au savon doit durer quelque chose comme 30 ou 60 secondes). Existe-t-il une source fiable sur la composition d'un produit aussi efficace que celui vendu en pharmacie ? Apokrif (d) 13 septembre 2009 à 16:22 (CEST)Répondre
Ben oui : les flacons eux-mêmes. S'ils sont vendus en France (et autant que je sache dans tous les États de l'Union européenne), leur composition avec dosages est clairement indiquée. -O.--M.--H.- 13 septembre 2009 à 16:33 (CEST)Répondre
Je n'an ai pas sous la main, mais je les soupçonne de mentionner des substances introuvables dans le commerce de détail ou encore d'utiliser du jargon (genre "aqua" pour "eau"), ou encore de mentionner un produit introuvable sous ce nom sous sa forme pure, mais qu'on trouve dans le commerce sous un nom commercial ou dans un composé. Apokrif (d) 13 septembre 2009 à 17:25 (CEST)Répondre
Les solutions hydroalcooliques du genre S********* (je ne cite pas de marque) sont à la mode dans le milieu hospitalier depuis quelques années, àmha en raison de leur aspect ludique : c'est bleu, ça sent bon, c'est rigolow, ça rafraîchit les mains, et pis après c'est tout doux (parce qu'il y a de la glycérine dedans), et pis y a aussi l'effet anxiolytique du massage... Du coup, au lieu d'un lavage des mains bâclé voire incertain, les étudiants se frictionnent les mains 2 ou 3 fois par patient.
J'imagine que l'effet doit être le même sur les gosses dont l'école a dit aux parents d'acheter le petit flacon bleu : le savon de Marseille suffirait probablement mais on imagine mal qu'un gosse de 10 ans se lave les mains quand il va faire pipi.
(pour mémoire, à l'hôpital, on préfère les solutions de propanol, sans doute pour éviter que certains patients ne confondent avec du Curaçao). S.M. | D.S.M. 13 septembre 2009 à 17:18 (CEST)Répondre
Question subsidiaire : qu'est-ce qui fait que l'alcool tue les microbes ? En gros, puis-je utiliser mon calva artisanal pour éradiquer les virus ?  . HaguardDuNord (d) 13 septembre 2009 à 17:26 (CEST)Répondre
Ben justement, je me faisais la réflexion qu'avec tout ça on n'avait même pas répondu à la question initiale : si « les journaux racontent que les fioles de 30 ml pour se laver les mains et se protéger de la grippe (etc.) », ils racontent n'importe quoi : lesdites solutions hydroalcooliques ont tout de même une action limitée sur les virus, et en tout cas pour le virus de la grippe, une fois qu'on se sera soigneusement lavé les mains, si une personne contaminée vous éternue au visage, on n'a plus qu'à se nettoyer les poumons avec la solution... -O.--M.--H.- 13 septembre 2009 à 17:41 (CEST)Répondre
Il s'agit évidemment uniquement de la protection des mains. Sinon, on parle de masques pour protéger les personnes saines (différents de ceux pour les porteurs du virus), mais ces masques protègent-ils les yeux ? dans le cas contraire, faut-il les compléter par une protection du genre lunettes pour labo de chimie (ou masque de ski ou de plongée ; d'ailleurs, accompagné du tuba, ces masques pourraient constituer un masque du pauvre, ajoutez une burkini et vous ne craindrez rien). Apokrif (d) 13 septembre 2009 à 17:52 (CEST)Répondre
"lesdites solutions hydroalcooliques ont tout de même une action limitée sur les virus" Il faudrait alors préciser le contenu de Solution hydro-alcoolique: "Les solutions hydro-alcooliques ont des propriétés bactéricides, virucides et fongicides, sans effet nettoyant" et "Les SHA sont actives sur un large spectre de bactéries, de virus et de champignons". Apokrif (d) 14 septembre 2009 à 11:24 (CEST)Répondre

Bon, est-ce que je peux me laver les mains avec de l'élixir de Chartreuse ? C'est à 71° et ça sent bon aussi (enfin, question de point de vue). Turb (d) 13 septembre 2009 à 21:16 (CEST)Répondre

Et qui coûte encore 10 fois plus cher que le Ste*******. En revanche le vieil Armagnac ne titre pas assez pour assurer une antisepsie efficace et doit être réservé à l'allumage du barbecue. S.M. | D.S.M. 13 septembre 2009 à 21:47 (CEST)Répondre
Néanmoins, le Tamiflu est fabriqué à base d'anis étoilé, également présent dans le pastis. De là à prendre un petit jaune à titre préventif... --Serged/ 14 septembre 2009 à 10:23 (CEST)Répondre
Mais justement, quel est le degré nécessaire pour antiseptie ? HaguardDuNord (d) 14 septembre 2009 à 11:34 (CEST)Répondre
ça dépend du produit, enfin, pour l'alcool, c'est 70% (cf. Désinfectant), donc l'élixir de chartreuse marche très bien ! Djynn, le Petit Corbeau (d) 14 septembre 2009 à 14:10 (CEST)Répondre
...et si c'est de l'anis étoilé, le plus proche est donc l'absinthe. Turb (d) 14 septembre 2009 à 15:02 (CEST)Répondre
Donc un peu juste pour mon calva, même à la sortie de l'alambic !  . Merci ! HaguardDuNord (d) 14 septembre 2009 à 18:55 (CEST)Répondre
L'autre intérêt d'un nouveau produit pour un usage pas nouveau est qu'on peut mesurer la crédulité de la population rien qu'en comptant les ventes. Adrien' [1729] 17 septembre 2009 à 00:12 (CEST)Répondre
+1. -O.--M.--H.- 17 septembre 2009 à 07:47 (CEST)Répondre
+1 aussi. Djynn, le Petit Corbeau (d) 17 septembre 2009 à 11:12 (CEST)Répondre

Répression de l'aide à l'immigration illégale en France

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Comment les personnes qui aident les immigrés illégaux, et qui sont poursuivies pour ce motif, sont-elles censées savoir que les gens auxquels elles viennent en aide sont effectivement des étrangers en séjour irrégulier ?

Tout d’abord, les personnes qui aident des précaires ou des marginaux pourraient volontairement, par prudence - à moins qu’elles ne soient spécialisées dans le conseil juridique - s’abstenir de leur demander leur nationalité et/ou leur situation administrative. pour être certains de ne pas apprendre qu’ils sont étrangers (et à plus forte raison en séjour irrégulier): une personne qui a la "tête de l’emploi" de l’illégal afghan ou autre, c’est-à-dire qui "a l’air" étrangère (notamment afghane), qui parle peu ou pas le français, ou qui évite de croiser le chemin de la police, pourrait être un Français mal intégré ou originaire des DOM-TOM, un Rom, ou une personne qui pour diverses raisons ne se sent pas à l’aise face à un uniforme.

Et puis, du moment que l’illégal a été à un moment en contact avec une administration qui lui a délivré un document tel qu’un récépissé, un titre de séjour provisoire, ou un visa dont la finalité a été détournée, tant cet ESI (qui, à supposer qu’il sache lire le français, ne maîtrise pas forcément le droit français des étrangers) que son aidant (qui peut être lui aussi un bénévole ignorant la différence entre une carte de résident et un APRF) peuvent croire de (plus ou moins bonne) bonne foi que l’intéressé est en séjour régulier.

A-t-on vu des condamnation prononcées pour aide, non pas à des illégaux installés durablement en France, mais à des demandeurs d’asile qui semblaient être dans le cas de l’art. 31-1 de la convention de Genève, càd qui venaient d’entrer sur le territoire et étaient sur le point de se présenter aux autorités ? (devinette en passant: pourquoi ce dernier article ne parle-t-il que de menaces contre la vie et la liberté au lieu de renvoyer à la situation de réfugié définie à l’art. 1A2 ? Un condamné pour motif de droit commun, risquant la prison ou la peine de mort, serait couvert par la lettre de cet art. 31-1, à la différence d'une personne risquant la torture pour motif politique). Apokrif (d) 13 septembre 2009 à 16:26 (CEST)Répondre

Je ne sais pas, mais lui si. ViZiT (d) 13 septembre 2009 à 18:24 (CEST)Répondre
Pour ta dernière question, je ne sais pas mais en toute hypothèse la réponse est non : une loi qui réprime l'aide aux sans papiers ne peut s'appliquer à l'aide aux avec papiers. D'ailleurs, ton discours sympathique mais bien mal informé fourmille de suppositions infondées : toute personne ayant un droit, même précaire, à résider en France est « régulière », donc tes considérations sur ce qui se passe quand et si en ce qui concerne les avec-papiers n'a pas lieu si ça se rapporte à cette législation-là.
En ce qui concerne ton idée sur, « on ne demande rien à la personne, comme ça on ne sait pas qu'elle est illégale », aucune chance qu'un procureur ou un juge l'accepte : il y a des situations, en ce cas une personne entre ou demeure illégalement sur le territoire, une autre personne lui prête assistance, et une loi qui dit que l'assistance aux personnes irrégulières est un délit ; le procureur comme le juge considèreront que c'est à l'aidant de faire l'effort d'information pour connaître la situation de l'aidé et que ça ne constitue ni une excuse, ni une circonstance atténuante. Imagine qu'une personne se fasse verbaliser pour violation de la propriété privée : crois-tu que si elle arguait du fait qu'elle ignorait se trouver sur une propriété privée, ça changerait quelque chose ? Ce que l'on incrimine n'est pas la connaissance du fait mais sa commission. Une meilleure défense est au contraire d'affirmer avoir demandé à la personne aidée, et qu'elle a déclaré être en situation régulière, et même d'ajouter qu'elle a montré un document le prouvant.
Cela dit, considère que sauf quand des éléments multiples (témoignages, documents) font la preuve que, quoi qu'ils en disent, les aidants connaissaient la situation des aidés, une personne sera mise en examen pour cette aide illégale parce qu'elle aura « reconnu les faits ». Et cela est un geste militant : elle assume avoir enfreint une loi qu'elle juge scélérate – ce en quoi elle n'a pas tort. -O.--M.--H.- 13 septembre 2009 à 19:03 (CEST)Répondre
Merci pour vos informations, pouvez-vous donner leur source ?
"suppositions infondées : toute personne ayant un droit, même précaire, à résider en France est « régulière »" C'est votre réponse qui est fondée sur des suppositions infondées, causées par une lecture trop hâtive: je ne demandais pas si les personnes ayant le droit de résider en France y étaient en situation régulière, mais si on a (autocitation) "vu des condamnation prononcées pour aide, non pas à des illégaux installés durablement en France, mais à des demandeurs d’asile qui semblaient être dans le cas de l’art. 31-1 de la convention de Genève". De même, contrairement à ce que votre réponse suggère, je n'ai posé aucune question relative aux circonstances atténuantes (à vrai dire, je n'étais pas sûr que ma question portait bien sur l'élément moral, mais je ne pense pas m'être trompé au vu de ce billet: [8]). Apokrif (d) 15 septembre 2009 à 00:49 (CEST)Répondre
Les "documents" ne prouvent rien du tout si l'Administration a envie de vous empoisonner l'existence : je croyais naïvement qu'une carte d'identité + un passeport mentionnant tous deux ma nationalité française, plus une fiche d'état-civil, plus un extrait d'acte de naissance de mes parents, tous deux français, plus un certificat de bons et loyaux services rendus par moi sous les drapeaux (français), plus quelques autres bricoles, indiqueraient clairement ma qualité de Français (pour pouvoir épouser une étrangère), eh bien pas du tout, il a fallu que le Tribunal d'Instance se prononce, après avoir notamment vérifié auprès de mon employeur que je travaillais de manière régulière depuis assez longtemps sur le sol français pour ne pas avoir eu l'occasion d'aller discrètement endosser la nationalité patagone ou samoane. Et le certificat en question n'a finalement pu être édité que lorsque l'antique ordinateur du greffe du Tribunal, et son imprimante, ont pu être remis en service. Félix Potuit (d) 14 septembre 2009 à 08:26 (CEST)Répondre
C'est pas drôle, mais je connais une situation du même genre : comme on peut changer de nationalité par le mariage, si A s'est marié avec une divorcée B qui elle-même avait épousé un divorcé C d'une française D d'origine étrangère (parents E et F, de deux pays différents mais sans état-civil...), A peut avoir droit à plein de démarches (dès fois que A aurait eu l'idée d'adopter la nationalité de B qui elle-même aurait pu choisir la nationalité que C dans l'hypothèse où il aurait adopté la nationalité que D aurait pu hérité d'un de ses deux parents... Démarches d'autant plus rigolotes que, évidemment, aucune fiche d'état-civil ne peut servir à rien... Le TI c'est encore le plus rapide dans un cas aussi débile et que je certifie authentique (de première main). Tout cela étant basé sur une différence de droit en fonction de la nationalité, négation pratique de nos beaux principes très théoriques. gem (d) 14 septembre 2009 à 13:48 (CEST)Répondre
@Félix Potuit: est-ce que vous-même ou l'un de vos parents est né à l'étranger ? L'exigence du certificat de nationalité française semble plus fréquente dans ce cas-là. Je n'ai pas les textes en tête, mais il me semblait que le mariage n'était pas soumis à une condition de nationalité, et que tout au plus les autorités pouvaient intervenir en cas de soupçon de mariage blanc avec un étranger en situation irrégulière (s'agissait-il d'un mariage que vous vouliez célébrer à l'étranger et faire enregistrer par les services consulaires français ?)
"pour ne pas avoir eu l'occasion d'aller discrètement endosser la nationalité patagone ou samoane" Là, je ne pense pas que la demande de l'administration soit fondée, puisque l'acquisition d'une nationalité étrangère est en principe sans incidence sur la possession de la nationalité française. Apokrif (d) 15 septembre 2009 à 00:33 (CEST)Répondre
Non Môssieur, personne de ma famille n'est étranger, nous sommes d'authentiques Français de souche, il faut remonter au moins au XVIIe siècle pour trouver peut-être un aïeul arrivé de l'autre côté de la frontière (suisse). Et je me suis marié en France (et ma femme a fini par acquérir la nationalité française par la suite, avec menace tout de même de la perdre si on divorçait au cours de l'année suivante). Et quant à l'acquisition d'une nationalité étrangère, si, dans certains cas, elle peut fait perdre la nationalité d'origine, lorsque le pays en question n'admet pas la double nationalité (le Canada par exemple l'admet). De toutes façons, les conditions changent sans arrêt (et diffèrent selon le pays d'origine du futur conjoint), les personnels concernés ne connaissent pas les textes et se contredisent entre eux (j'ai même dû acheter le Code Civil et le brandir sous le nez d'une employée de mairie, et la Greffière du tribunal m'a affirmé froidement que les infos mises en ligne sur le site du Gouvernement français étaient incorrectes ("ils ne savent pas", sic ...), et le tout fonctionne au petit bonheur la chance et au gré de l'humeur de votre interlocuteur. C'est cela la beauté de l'Administration. Félix Potuit (d) 15 septembre 2009 à 08:10 (CEST)Répondre
  Admirable, le "ils ne savent pas" ! --Égoïté (d) 15 septembre 2009 à 10:04 (CEST)Répondre

L'union de la mort

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On trouve un peu partout sur le web [9] l'affirmation selon laquelle la Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne autoriserait, voire obligerait, les Etats membres à réintroduire la peine de mort. J'ai pourtant l'impression que les textes de l'UE sur ce point ont à peu près le même contenu que l'Article 2 de la Convention européenne des droits de l'homme (lequel est d'ailleurs complété par les protocoles 6 et 13) et qu'ils autorisent, non pas à condamner à mort les émeutiers ou les insurgés après ladite émeute ou insurrection, mais uniquement à les canarder pendant l'émeute ou insurrection. D'ailleurs, lart. 2 CEDH distingue bien le cas de la condamnation à mort (alinéa 1) de celui de l'émeute ou insurrection (alinéa 2). Cette page parle d'un texte autorisant effectivement la peine de mort, aux termes duquel :"Un Etat peut prévoir dans sa législation la peine de mort pour des actes commis en temps de guerre ou de danger imminent de guerre". Mais en googlant cette phrase, je ne trouve que des pages relatives non pas à la charte de l'UE, mais à la Convention EDH (cette dernière n'autorisant d'ailleurs pas l'usage de la peine de mort dans le cas des Etats qui ont ratifié le protocole 13). La "déclaration 12" dont on entend parler est peut-être ce document, qui cependant se contente de renvoyer à la Conv EDH et à son Protocole n° 6 (ce qui laisse entendre que l'UE ne s'opposerait pas à l'application d'un autre protocole, le n° 13, par les Etats qui l'auraient ratifié). La Charte, ou le Traité constitutionnel, ou des documents complétant ces textes, prévoient-ils effectivement le recours à la peine de mort ? Apokrif (d) 13 septembre 2009 à 17:43 (CEST)Répondre

Voir déjà Wikipédia:Oracle/semaine 10 2008#L'Europe et la peine de mort. HaguardDuNord (d) 13 septembre 2009 à 17:53 (CEST)Répondre
Mon vieux, tu es bien sympathique mais un peu naïf : c'est ta deuxième question qui repose sur des rumeurs et des on-dit. Le fait actuel est que parmi les prérequis pour qu'un État soit admis dans l'Union européenne, il y a la nécessité que la peine de mort ne fasse plus partie des peines prévues par sa législation. Et ceci n'est pas une rumeur. -O.--M.--H.- 13 septembre 2009 à 19:08 (CEST)Répondre
"c'est ta deuxième question qui repose sur des rumeurs et des on-dit" C'est bien, vous savez suivre un lien et lire le texte qui est au bout. Apokrif (d) 15 septembre 2009 à 00:28 (CEST)Répondre
C'est un argument qui avait été soulevé au moment du référendum sur le projet de Constitution. Il est repris par Karl Albrecht Schachtschneider (cf. [10]). Notamment, les « explications » du Présidium [11] rappellent l'article 2 du protocole n 6 annexé à la CEDH : « Un Etat peut prévoir dans sa législation la peine de mort pour des actes commis en temps de guerre ou de danger imminent de guerre; une telle peine ne sera appliquée que dans les cas prévus par cette législation et conformément à ses dispositions ... ».
Mais la CEDH est déjà reconnue par les Etats membres, donc je ne vois pas ce que sa reprise dans la Charte des droits fondamentaux vient modifier. En tout cas rien ne force un pays à rétablir la peine de mort et cette « peine de mort » ne s'appliquerait que dans certains cas précis. Peut-être le juriste pense-t-il que la Charte des droits fondamentaux aurait une force juridique plus grande que la CEDH ? Je ne comprends pas bien pourquoi...
Par ailleurs il ne faut pas confondre l'interdiction de donner la peine de mort (qui signifie qu'un procès n'aboutira pas à l'exécution du condamné) avec la possibilité de donner la mort dans certaines circonstances (ex. légitime défense). Seudo (d) 14 septembre 2009 à 10:28 (CEST)Répondre
Bref : c'est une connerie. L'union a pleins de défauts mais pas celui-là. gem (d) 14 septembre 2009 à 15:00 (CEST)Répondre

K7 audio 120'

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Oracle, cher Oracle, où trouver des K7 audio vierge de 120', aujourd'hui, en 2009 ????? Merci.

J'ai tapé « buy audio tape » sur internet, ça m'a par exemple donné que Amazon (le libraire internet) en vend. Voir [12]. Sinon chez radiospares, mais ils n'ont que des 90 min. — Jérôme 13 septembre 2009 à 21:03 (CEST)Répondre
Le souci c'est que je crois qu'on n'a pas le droit d'acheter ce genre de truc (tout ce qui touche à la Hi-fi) en Angleterre depuis la France... Ha ba non, ça a marché, j'avais pourtant souvenir de m'être fait jeté lors d'une précédente tentative. Merci.
Ça va devenir de plus en plus difficile d'en trouver. Bientôt, ça sera pareil que si on voulait s'acheter une télé en noir et blanc, faudra aller dans des musés.  --Deva (d) 14 septembre 2009 à 06:09 (CEST)Répondre

Image sur common

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Franz Marc, Landscape with Animals, 1913

bonjour. Il me faudrait une photo d'une peinture, comment demander à des contributeurs américains s'il est possible d'avoir une photo de celle-ci afin qu'il l'a mettent à disposition sur common merci--Fabrice Hologne (d) 13 septembre 2009 à 22:20 (CEST)Répondre

L'oracle anglophone : Reference desk. Là-dessus, pourquoi penses-tu qu'il n'y a que des Américains à détenir des images de vues ou objets des États-Unis ? Enfin, il est très probable qu'existe une image libre déjà disponible quelque part sur Internet. Je me rappelle avoir lu sur le Bistro qu'on peut faire des recherches d'images sur Google en spécifiant le type de licences. -O.--M.--H.- 13 septembre 2009 à 22:30 (CEST)Répondre
J'ai déja fait la recherche dans ces termes sur google mais l'image n'est pas réutilisable, ce que je cherche c'est la peinture Amimals in a Landscape 1914 de Franz Marc--Fabrice Hologne (d) 13 septembre 2009 à 22:38 (CEST)Répondre
Ce n'est pas tout-à-fait (titre et année) ça mais ça s'en rapproche et c'est sur Commons  . -O.--M.--H.- 13 septembre 2009 à 22:51 (CEST)Répondre
merci mais ce n'est pas celle là mais celle-ci [13] et je ne l'ai pas trouvé libre de droits --Fabrice Hologne (d) 13 septembre 2009 à 22:55 (CEST)Répondre
D'apres cette page, la peinture est au Detroit Institute of Arts. Tu peux essayer de contacter un wikipedien habitant cette ville. Voir en:Category:Wikipedians in Detroit, Michigan. — Jérôme 13 septembre 2009 à 23:38 (CEST)Répondre
Merci, mais je ne parle malheureusement pas anglais, je vais essayer de trouver un ami anglophone pour faire cette demande à moins qu'un gentil wikipédien la fasse pour moi --Fabrice Hologne (d) 13 septembre 2009 à 23:49 (CEST)Répondre
 
Franz Marc 1914 Animals in a Landscape

Je ne comprends pas le problème : Franz Marc est mort en 1916, donc son oeuvre est à présent dans le domaine public. Il y a une longue jurisprudence pour confirmer que la reproduction d'un tableau (plein cadre, sans traitement particulier) n'est pas créatrice de droit d'auteur. Donc, le "tout droit réservé" que l'on trouve sur flickr est abusif : la photo n'a pas créé de droit que l'on puisse se réserver... ou, autre manière de voir les choses, l'auteur du post s'est réservé un ensemble vide. À partir du moment où elle est publiée sur un site librement accessible, et que l'oeuvre d'origine est DP, la reproduction est "domaine public", et on peut la recopier quoi qu'en dise le propriétaire du fichier (et il y a même des conventions internationales pour dire que l'on peut faire ça...). Michelet-密是力 (d) 14 septembre 2009 à 06:41 (CEST)Répondre

Merci Michelet pour ton aide et pour la transmission de l'image. Sans toi je n'aurais su comment faire.--Fabrice Hologne (d) 14 septembre 2009 à 07:38 (CEST)Répondre

expression

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Bonjour,

Pourriez-vous me dire que signifie l 'expression suivante: "avoir les pinceaux en fleurs". Merci de bien vouloir me renseigner.