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Allamps

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Allamps
Allamps
L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
Blason de Allamps
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité CC du Pays de Colombey et du Sud Toulois
Maire
Mandat
Denis Vallance
2023-2026
Code postal 54112
Code commune 54010
Démographie
Gentilé Allampois
Population
municipale
496 hab. (2021 en évolution de −5,16 % par rapport à 2015)
Densité 69 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 32′ 53″ nord, 5° 48′ 37″ est
Altitude Min. 270 m
Max. 422 m
Superficie 7,21 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Meine au Saintois
Législatives 5e circonscription de Meurthe-et-Moselle
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Allamps
Géolocalisation sur la carte : France
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Allamps
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Allamps
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Allamps
Liens
Site web https://allamps.fr/

Allamps est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en Lorraine, dans la région administrative Grand Est.

Géographie

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Localisation

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La commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, de la zone d'emploi de cette ville et du bassin de vie de Toul[I 1].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Barisey-au-Plain, Barisey-la-Côte, Blénod-lès-Toul, Bulligny, Saulxures-lès-Vannes et Vannes-le-Châtel.


Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 7,21 km2 ; son altitude varie de 270 à 422 mètres[1].

Hydrographie

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La commune est traversée par la ligne de partage des eaux entre les bassins versants du Rhin et de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de l'Étang de Allamps et le ruisseau des Naux[2],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique d'Allamps.

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 919 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 9,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 810,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −19,1 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Synjthèse du plan cadastral avec mention des lieux-dits.

Au , Allamps est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (54,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37 %), prairies (34,9 %), terres arables (11,8 %), zones urbanisées (6,8 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4 %), cultures permanentes (0,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Lieux-dits, hameaux et écarts

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Habitat et logement

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En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 242, alors qu'il était de 229 en 2015 et de 221 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 89,1 % étaient des résidences principales, 2,9 % des résidences secondaires et 8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Allamps en 2020 en comparaison avec celle de Meurthe-et-Moselle et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,9 %) supérieure à celle du département (2,1 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %).

Le logement à Allamps en 2020.
Typologie Allamps[I 3] Meurthe-et-Moselle[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 89,1 88,6 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,9 2,1 9,7
Logements vacants (en %) 8 9,3 8,2

Le nom du village est attesté sous la forme Alonum dès le VIe siècle, puis Alun, Alomps, Alampum (forme latinisée artificielle) et Allamps depuis au moins 1700, même si courant XVIIIe siècle et début XIXe siècle on rencontre encore des variantes (Alan, Allans).

Albert Dauzat et Charles Rostaing recensent à l'article Allamps (les formes du type Allon(n)e(s) étant les plus fréquentes)[14], tous les toponymes et hydronymes dérivés d’Alauna, Alona qui semble être une épithète celtique de divinité, bien attestée dans l'épigraphie gallo-romaine, associée par exemple à Mercure : Genio Mercurii Alauni (CIR, 1717) ou encore à Auguste : Sacro Alaunarum Augusti nostri (CIL III, 1883, Munich)[15]. Pierre-Yves Lambert[16] y voit la signification de « nourricier » sur le thème celtique ala signifiant nourrir, avec un suffixe d'agent issu de -mn-.

Extrait annoté d'une carte réalisée par Albert Troux, et publiée en 1936 dans : Albert Troux, La Vie politique dans le département de la Meurthe d'août 1792 à octobre 1795, Nancy, Imprimeries Georges-Thomas, 1936. Consultable en ligne : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k96298827
Situation du canton d'Allamps dans le district de Toul, d'après la réforme administrative de 1793

Le village d'Alonum est compris dans la donation faite le roi Dagobert à l'évêque de Toul, Teutefrid en 622. Depuis cette époque, et jusqu'en 1790, Allamps fait partie du domaine temporel de l'évêque de Toul, compris dans l'ensemble des Trois-Evêchés. Et ce, même si, depuis 1388, sur décision de Robert, duc de Bar, les habitants du village sont sous la protection dudit duc.

Révolution française et Empire

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En 1790, en suite de la départementalisation décrétée par l'Assemblée nationale constituante, Allamps devient chef-lieu du canton d'Allamps, l'un des neuf cantons du district de Toul, dans le département de la Meurthe.

La verrerie

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Une verrerie y est fondée en 1765 par la comtesse de Mazirot pour valoriser l'exploitation de ses bois. Elle devint propriété de Nicolas Griveau de 1788 à 1823, puis de la famille Schmidt jusqu'en 1908, puis des Bourbonneux[17] jusqu'en 1960, ensuite de la Compagnie Française du Cristal CFC, et enfin de la Société Daum de Nancy.

Cette verrerie était appelée "Verrerie-cristallerie de Vannes-le-Châtel", bien que située sur le territoire de la commune d'Allamps, car ses propriétaires habitaient le château de la commune voisine de Vannes-le-Châtel[18]

Époque contemporaine

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H Lepage écrit dans son dictionnaire des communes au sujet de ce territoire pour la période du XIXe siècle : « On s'y adonne au labourage et à la culture de la vigne, et l'espèce dominante de bestiaux qu'on y élève sont les moutons et les porcs. Il y a, sur le territoire de cette commune, trois moulins alimentés par des sources qui jaillissent sur le ban, et qui forment un étang nommé l'Etange. Outre ces usines, le territoire d'Allamps renferme la verrerie de Vannes, située, ainsi que l'un des moulins, sur la route départementale de Vézelise à Vaucouleurs. On fabrique, dans le premier de ces établissements, dont MM.Schmid frères sont propriétaires, de la gobeletterie en tout genre »[19] Le village a donc eu une tradition agricole et viticole

Au début de la Seconde Guerre mondiale, lors de la Bataille de France, 19 juin 1940, le lieutenant Gérard Clerc, officier de réserve natif d'Ile-de-France, courtier en coton de profession, avec six de ses compagnons, Jean Lambert, Robert Bassy, Gabriel Fromeux, Jules Hennecent, Raymond Boucher et Louis Séguin, tente d'empêcher l'occupation du village par les armées nazies. Les corps sans vie de ces sept soldats sont retrouvés le 20 juin, à l'aube, çà et là par les habitants du village. La dépouille du lieutenant Clerc se trouvait de l'actuelle MJC du village. Depuis 1945, la rue où se sont déroulés les combats et où furent tués ces soldats, est dénommée rue du Lieutenant-Clerc. Six de ces soldats ont été inhumés dans le cimetière d'Allamps, avec l'accord de leurs familles[20].

Le , Allamps fusionne avec Housselmont sous le régime de la fusion simple[réf. nécessaire].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve depuis 1943 dans l'arrondissement de Toul du département de la Meurthe-et-Moselle.

Après avoir été fugacement chef-lieu du canton d'Allamps de 1793 à 1901, la commune faisait partie depuis lors du canton de Colombey-les-Belles[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Meine au Saintois

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de Meurthe-et-Moselle.

Intercommunalité

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Allamps est membre de la communauté de communes du Pays de Colombey et du Sud Toulois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  1965      
1965 1995 Claude Vosgien SE  
1995 2000 Daniel Jussenhoven DVD  
2000 2001 Yvette Fringant DVD  
2001 2014 Christian Daynac[21] DVG Président de la CC du Pays de Colombey et du Sud Toulois ( ? → 2014)
mars 2014 mars 2023[22] Jean-François Baltard[23]   Ancienne profession intermédiaire
Démissionnaire
juin 2023[24] En cours
(au 30 novembre 2023)
Denis Vallance   Profession libérale
Vice-président de la CC du Pays de Colombey et du Sud Toulois ( ? → )

Équipements et services publics

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Éducation populaire

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La Maison des Jeunes et de la Culture d’Allamps est une association d’éducation populaire créée en 1955 qui propose de nombreuses animations[25].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

En 2021, la commune comptait 496 habitants[Note 3], en évolution de −5,16 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
340367477447466455456507522
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
502504633622564476464458490
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
507461378377386396392423510
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
485434438515511517519531503
2021 - - - - - - - -
496--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Secteur primaire ou Agriculture

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Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.

D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[29]), la commune d' Allamps était majoritairement orientée[Note 4] sur la polyculture et le poly - élevage (auparavant production de fruits et autres cultures permanentes[Note 5]) sur une surface agricole utilisée[Note 6] d'environ 8 hectares (inférieure à la surface cultivable communale) en forte baisse depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 96 à 15 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 3 (4 auparavant) exploitation(s) agricole(s) ayant leur siège dans la commune employant 1 unité(s) de travail[Note 7]. (4 auparavant)

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Allamps Blason
Écartelé d'azur à deux bars adossés d'or accompagnés de quatre croisettes recroisetées au pied fiché du même, et d'azur à la coupe d'argent au chef cousu* de gueules chargé de trois cailloux d'argent.
Détails
Les armes du Barois (aux places d'honneur) rappellent la protection assurée sur la ville par le Duc de Bar, dès 1388. Le chef cousu aux 2d et 3e est une concession des armoiries du Diocèse de Toul, dont dépend la paroisse du lieu. Les cailloux de la lapidation de Saint-Etienne évoquent l'évêché de Toul, dont dépendait la paroisse d'Allamps. Le gobelet symbolise la verrerie[31].
Armoiries adoptées en 1979.

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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  • Site de la mairie.
  • « Allamps », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur galeries.limedia.fr

Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
  5. Vignes, vergers, petits fruits • les pépinières ligneuses ornementales, fruitières, viticoles ou forestières ….
  6. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
  7. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.
  1. « Réseau hydrographique d'Allamps » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Fiche communale d'Allamps », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Allamps et Ochey », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nancy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, Paris 1978. (ISBN 2-85023-076-6), p. 10b - 11a.
  15. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Éditions Picard 1985. (ISBN 2-7084-0299-4).
  16. La langue gauloise, édition errance 1994. (ISBN 2-87772-089-6).
  17. Marcel Paul-Cavallier et Benjamin Fayolle, Trente ans d'activité économique 1905-1935, Chambre de commerce de Nancy et le département de Meurthe-et-Moselle, (lire en ligne), p. 4.
  18. a et b « Verrerie Schmidt, puis de Vannes-le-Châtel, actuellement cristallerie Daum », notice no IA54000118, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  19. HenriLepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, etc., (OCLC 561948412, lire en ligne), p. 12.
  20. Isabelle Bertaud (dir.), En Allamps par la Lorraine, Imprimerie Gilles à Allain (54170), MJC d'Allamps, , p.55.
  21. Lionel Madella, « Donner du sens à l’action », L'Est républicain,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « Maire d’Allamps depuis 2001 et président de la Communauté de communes du Pays de Colombey et du Sud toulois, l’humaniste Christian Daynac est le promoteur d’une économie sociale et solidaire ».
  22. « L’élection municipale partielle fixée au dimanche 11 juin », L'Est républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ) « démission de Jean-François Baltard de ses fonctions de maire et de conseiller municipal acceptée par le préfet le 24 mars 2023 ».
  23. Réélu pour le mandat 2020-2026 : « Jean-François Baltard, maire sortant, est réélu », L'Est républicain,‎ 3/6/2020 mis à jour le 4/6/2020 (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  24. « Denis Vallance, nouveau maire de la commune », L'Est républicain,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  25. Site de la MJC d'Allamps
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
  30. « Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul », notice no PA00105988, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. Isabelle Bertaud (dit.), En Allamps par la Lorraine, p.90