Viterne
Viterne | |||||
La mairie. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Grand Est | ||||
Département | Meurthe-et-Moselle | ||||
Arrondissement | Nancy | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Moselle et Madon | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marc Dupon 2020-2026 |
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Code postal | 54123 | ||||
Code commune | 54586 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Viternois, Viternoises | ||||
Population municipale |
740 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 32 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 35′ 19″ nord, 6° 02′ 01″ est | ||||
Altitude | Min. 250 m Max. 443 m |
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Superficie | 23,17 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Nancy (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Meine au Saintois | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
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Liens | |||||
Site web | www.viterne.fr | ||||
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Viterne est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.
Géographie
[modifier | modifier le code]Village situé au pied d'un coteau, près de la route de Nancy à Colombey, à 16 km de Vézelize.
D'après les données Corine land Cover, le ban communal de 2 333 hectares comportait en 2011, plus de 57 % de terres arables et de prairies, près de 46 % de forêt, 25 % de surfaces agricoles diverses, 1,5 % de mines et carrières et 1,2 % de zones industrielles et urbanisées[2].
Le territoire est arrosé par les cours d'eau suivants : Ruisseau de l'Arot (0,245 km - autres graphies rencontrées : de Larot (cartes IGN), de Larrot ou de l'Arrot), Ruisseau de Viterne (2,937 km), Ruisseau de Rouau (0,863 km)[3].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de l'Arot, le ruisseau de Rouau et le ruisseau de Viterne[4],[Carte 1].
L'Arot, d'une longueur de 17 km, prend sa source dans la commune de Thélod et se jette dans la Moselle à Pierre-la-Treiche, après avoir traversé sept communes[5].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 828 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 9,6 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey à 7 km à vol d'oiseau[8], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 810,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,1 °C, atteinte le [Note 2],[9],[10].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Viterne est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[14]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (67,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (21,4 %), terres arables (12,3 %), zones agricoles hétérogènes (9,5 %), prairies (4 %), cultures permanentes (2,8 %), zones urbanisées (2,4 %), mines, décharges et chantiers (1,5 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
[modifier | modifier le code]H. Lepage donnait comme origine du nom de village Villa Stefani, déjà avancé par le révérend père B. Picart[18] mais reconnait lui même que cela est sujet à débat :
« Je ne connais aucun document ancien relatif à cette commune, car c'est par erreur que je lui ai attribué, dans la Statistique[19], avec la dénomination de Villa Stephani, qui s'applique à Villey-Saint-Etienne, une charte émanée de l'évêque Henri de Lorraine, et datée de 1127… »[20].
La toponymie reste donc hypothétique : Via terna, Vita aeterna, Vitis, ont été cités[21].
Histoire
[modifier | modifier le code]Jules Beaupré signale dans son répertoire archéologique, des trouvailles indices d'une occupation ancienne du territoire et cite une archive indiquant la présence au musée lorrain de Nancy de deux doloires provenant de la commune, mais détruits lors de son incendie en 1871 :
« Le long d'un chemin, dit de Viterne à Pont-Saint-Vincent, tuiles et briques romaines, et au lieu-dit Prugneux[22], trouvaille de vases et autres ustensiles... »[23]
Au Xe siècle, Viterne fut cédé à l'évêché de Toul grâce à un don de l'empereur Othon 1er du Saint Empire germanique. Ensuite Viterne appartint au fief de l'abbaye de Saint-Epvre de Toul, ainsi que le précise B. Picart dans son pouillé vers 1711 :
« V I T E R N E Patron, l'Abbé de S. Evre. décimat. le Curé pour le tiers des grosses et menues dîmes, & l' Abbé pour les deux autres tiers. Les Religieux de S. Evre ont les deux tiers de la dîme de chanvre.... Seigneur, l'Abbé de S. Evre. Baill.de Nancy... »[18]
Dans leurs notices, les historiens plus récents (E. Grosse, H. Lepage) rappellent que la notoriété du village est grandement due à ses carrières dans lesquelles ont été pris les matériaux qui ont servi à la construction de la cathédrale de Toul et de l'église de Saint-Nicolas-de-Port[24].
Le 10 novembre 1898, Édouard Lang dépose à la préfecture de Meurthe-et-Moselle une demande de concession de mine de fer sur les communes de Sexey-aux-Forges, Maizières, Viterne et Pont-Saint-Vincent[25].
Durant la guerre 1914-18, Viterne fut préservée des bombardements de l'ennemi car le village et ses alentours servaient de bases de repli pour toutes les garnisons de l'Est de la France. C'est pendant la Seconde Guerre mondiale que Viterne connut ses heures les plus sombres avec notamment des victimes civiles quand les armées allemandes effectuèrent un bombardement du village.
Carrières de pierre calcaire ayant servi à l'édification de la basilique de Saint-Nicolas-de-Port.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].
En 2021, la commune comptait 740 habitants[Note 4], en évolution de +1,51 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]D'après les historiens (Grosse, Lepage[24]), l’activité était assez florissante au XIXe siècle :
« Surf. territ. : 2 317 hect. dont 845 en terres lab., 71 en prés, 112 en vignes, 1176 en bois, 54 en vergers, chènevières, etc. L'hectare semé en blé et seigle peut rapporter 15 hectol., en orge 14, en avoine 25 ; planté en vignes 70. Chevaux, vaches et moutons. Moulin à grains, four à chaux, carrières considérables dont l'exploitation occupe une partie des habitants. »
et également viticole.
Le répertoire des carrières exploitées en France, publié en 1899, rappelle que les carrières de Viterne ont fourni des matériaux pour les édifices suivants : Pont de Pont-Saint-Vincent ; pont sur la Moselle, à Flavigny ; basilique de Saint-Nicolas-du-Port ; églises de Viterne, de Flavigny et de Gerbécourt ; escaliers de l'église Saint-Mansuy, à Nancy[31] (description géologique : « Géologie de la Lorraine », SVT Lorraine > Géologie Lorraine > Carrière VICAT de Viterne >, sur www4.ac-nancy-metz.fr (consulté le )).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Fontaines et lavoirs
- Croix et calvaires
- Église paroissiale de Tous-les-Saints construite en 1774, date portée autrefois sur une pierre de la tour, en remplacement d'une église élevée sans doute au même endroit mais orientée différemment.
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Vue du porche.
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Vue de côté.
- Chapelle Notre-Dame-de-la-Paix au lieu-dit Bois de Fréty, qui s'appela chapelle de Frétis ou, du nom de son constructeur, chapelle Masson. Ce propriétaire terrien décida en 1892 de construire un premier édifice au-dessus de Viterne ; quatre murs s'élevèrent et on pouvait lire au-dessus de l'entrée l'inscription : « Aux martyrs de Queretaro », M. Masson ayant été particulièrement frappé par la guerre du Mexique. Sa situation financière se dégradant, la construction resta à l'abandon jusqu'en 1948 où l'abbé Thomas, curé de Viterne, reprit le projet en dédiant la chapelle à Notre-Dame-de-la-Paix ; la population y travailla bénévolement et des dons divers affluèrent ; la bénédiction eut lieu le .
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Chapelle Notre-Dame-de-la-Paix.
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Chapelle Notre-Dame-de-la-Paix vue de l'arrière.
- Monument aux morts, guerre de 1914-1918
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Louis Sencert (1878-1924), médecin et chirurgien né à Viterne, professeur des facultés de médecine à Nancy et à Strasbourg.
- François Boileau, ancien chirurgien des armées de Napoléon, né à Viterne en 1786[32].
Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Histoire méconnue du canton de Vézelise, tome I, Bernard Perrin, imprimerie Christmann.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Viterne », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur galeries.limedia.fr
- Viterne sur le site de l'Insee
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Viterne » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Le nom des habitants du 54 - Meurthe-et-Moselle - Habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
- « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse - ©2019 », sur sigesrm.brgm.fr (consulté le ).
- « Ruisseau de viterne [A5440420] - Cours d'eau », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ) : « Ruisseau de viterne [A5440420] Ruisseau de la Saus (5 km) Ruisseau de Rouau (2 km) ».
- « Fiche communale de Viterne », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « l'Arot »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Viterne et Ochey », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Viterne ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nancy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Benoit de Toul, Pouillé ecclésiastique et civil du diocèse de Toul, L. et E. Rolin, (lire en ligne), p. 373.
- Henri Lepage, Le département de la Meurthe. Deuxième partie : statistique historique et administrative
- Henri Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département, vol. 2, (lire en ligne), p. 698.
- Site de la commune : https://www.viterne.fr/
- 54586B143N du fichier FANTOIR pour cette commune
- Jules Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle : époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes, (lire en ligne), p. 147.
- Henri Lepage, Le département de la Meurthe. Deuxième partie : statistique historique et administrative, (lire en ligne), p. 496.
- Journal officiel de la République française, (lire en ligne), p. 1168
- « Conseil municipal 2020-2026 », sur le site de Viterne, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- France Ministère des travaux publics (1869-1906) Auteur du texte, Répertoire des carrières de pierre de taille exploitées en 1889 : recherches statistiques et expériences sur les matériaux de construction, (lire en ligne), p. 179.
- Lubin (1772-1839) Auteur du texte Griois, Mémoires du général Griois : 1792-1822. T.1 / publ. par son petit neveu, [Léon Griois] ; avec introd. et notes, par Arthur Chuquet,..., (lire en ligne), Boileau (chirurgien-major), II, 221,
« Je reçus enfin du grand maréchal du palais Duroc l'ordre de rejoindre l'armée avec une batterie d'artillerie à cheval, et, le 4 mai, je vins coucher à Hanau. J'avais avec moi le lieutenant d'artillerie Raoul, en qualité d'adjoint (1), et le chirurgien-major Boileau (2). 2) François Boileau, né en 1786 à Viterne (Meurthe), chirurgien »