Discussion:Vassily Kandinsky
Kandinsky et la musique
[modifier le code]Merci pour ce texte qui m'a appris plein de choses sur Kandinsky. Quelque chose qui n'est pas (ou peu) évoqué ici est le lien entre les différents arts, et notamment entre peinture et musique.
Ne connaissant que bien trop peu l'œuvre de Kandinsky pour me lancer dans un commentaire, j'espère très fort que quelqu'un impregné de cet artiste saura nous parler de ces liens étroits (évoqués notamment dans Musique et arts plastiques, par Jean-Yves Bosseur, Minerve, 1998).
Le 18/06/2006 à 14:00 (GMT+1)
Wassily Kandinsky est un peintre mystérieux qui a su développer un nouveau mouvement tout aussi interrogateur qui est "l'abstraction". Son travail est simple tout en étant compliqué. Il base sont travail sur l’harmonie des formes et des couleurs ; mais ce qui le différencie des autres ces cette organisation si précise qui fait se marier les formes entre elles, ce qui les rends si EXPRESSIVE sans avoir besoin de représenter.
De plus il y à effectivement un lien important entre peinture et musique. On remarque de nombreuses notes de musique sur quelques uns de ses tableaux. C’est probablement lié à sa synesthésie, qui lui permettait littéralement d’entendre les couleurs qu’il voyait comme des sons musicaux. Aussi les liens qui unissent la musique et les arts plastiques sont trés nombreux et trés variés. Après avoir déclaré que les œuvres des classiques ne lui plaisaient pas, il a entamé ses recherches d'avant-garde. Il a contribué, aux côtés de Schönberg, à accélérer la transition de la période romantique vers une écriture résolument moderne. Ce programme donne à entendre les derniers accents du post-romantisme, confrontés à l'affirmation de plus en plus assurée de ce que l'on est convenu d'appeler la "musique contemporaine".
Le 23/07/2006 à 15:12
- Bonjour. Les rapports entre la peinture et la musique sont aussi abordés, d'un point de vue phénoménologique, dans le livre Voir l'invisible du philosophe Michel Henry (Editions François Bourin, 1988, pp. 191-204), auquel je me suis référé pour mes contributions à cet article sur Kandinsky. Il écrit notamment, à propos des thèses les plus importantes de Schopenhauer sur la musique, que "la musique exprime immédiatement notre vie, c'est-à-dire nos sentiments" (p. 199). Il nous apprend aussi que Kandinsky considérait que les pouvoirs des couleurs et des formes graphiques sont "les mêmes pouvoirs que ceux de la musique" (p. 202). Il ajoute : "Ce sont les pouvoirs de la vie, le pouvoir de vouloir, d'aimer et de souffrir -- le plus grand de tous aussi : celui de s'accroître" (p. 202). Pour Michel Henry, le lien et finalement l'unité des différents arts résident dans la subjectivité radicale de tous nos pouvoirs : "C'est parce que notre corps véritable est un corps subjectif qu'il est l'unité de tous les pouvoirs, de tous les sens qui le composent" (p. 192). Ce livre comporte également des chapitres consacrés à l'Art monumental (pp. 176-190) et à l'essence de l'Art (pp. 204-215).
- Philippe Audinos (d) 26 novembre 2008 à 23:10 (CET)
Ne serais-je plus lire ?
[modifier le code]«Considéré comme l’un des artistes les plus importants du XXème siècle à côté de Picasso et de Matisse (Porte ouverte mais un peu réductrice. Le 20°s incarné dans deux peintres seulement...)
il est le fondateur de l'art abstrait : il est généralement considéré comme étant l’auteur de la première œuvre non figurative qu'on appellera abstraite de l’histoire de l’art moderne, une aquarelle peinte en 1910. (avec un peu de syntaxe, cela devrait aller mieux...)--Arcane17 23 août 2007 à 12:39 (CEST)
En tout cas vous "n'êtes" pas trop écrire... Pas trop courtois non plus. Et le principe est que si vous trouvez la syntaxe d'une phrase trop lourde ou fautive vous pouvez toujours essayer de l'améliorer au lieu de grimacer en faisant vous-même des fautes.... 94.224.222.138 (d) 7 mai 2012 à 00:08 (CEST)
Point et ligne sur plan : Objectif ou subjectif ?
[modifier le code]Bonjour. Je viens de finir la lecture de cette ouvrage, et lorsque je lis la première ligne du paragraphe qui y est consacré, à savoir :
« Il ne les analyse pas d’un point de vue objectif et extérieur, mais du point de vue de leur effet intérieur sur la subjectivité vivante du spectateur qui les regarde et les laisse agir sur sa sensibilité. »
J'ai vraiment l'impression d'être passé complètement à côté de l'ouvrage. Pour moi, il s'agit d'une tentative d'objectivisation des ressentis d'une personne face à une oeuvre, principalement une oeuvre picturale. Notamment, voir la citation que j'ai introduite en fin de paragraphe dans le texte. Avant que je ne tente d'aller plus avant lors une possible réécriture de cette partie, pourriez-vous m'indiquer si je me fourvoie violemment ? D'avance merci. choumix (d) 5 octobre 2008 à 17:16 (CEST)
- Bonjour. Excusez-moi de ne pas avoir répondu plus tôt à ce message, mais j'avais besoin de me replonger dans les livres de Kandinsky, ainsi que dans le livre Voir l'invisible du philosophe Michel Henry sur lequel je me suis basé pour rédiger mes contributions personnelles à cet article, il y a plus de 3 ans maintenant. Il faut d'ailleurs que je prenne le temps de rajouter quelques références détaillées, car je n'ai indiqué à l'époque que les titres des livres qui m'ont servi de référence.
- Ainsi que Kandinsky l'indique dans l'avant-propos de la première édition, les idées exposées dans son livre Point et ligne sur plan sont "le développement organique" de son livre Du spirituel dans l'art. Ce qui veut dire que sa lecture est indispensable pour la véritable compréhension de Point et ligne sur plan, puisqu'il ne reprend pas les acquis de son précédent ouvrage et les suppose connus du lecteur.
- Dans l'avant-propos de la première édition de Du spirituel dans l'art, Kandinsky écrit que les idées qu'il développe ici sont "le résultat d'observations et d'expériences intérieures" (p. 9), c'est-à-dire d'observations et d'expériences purement subjectives, même s'il les exprime au moyen de mots qui font références à d'autres expériences intérieures et subjectives qui nous sont familières. Il écrit d'ailleurs à propos des mots que "le mot est une résonance intérieure" (p. 82).
- Il écrit aussi dans ce même livre : "Toute chose extérieure renfermant cependant nécessairement un élément intérieur, toute forme a un contenu intérieur. La forme est donc l'extériorisation du contenu intérieur" (p. 118). C'est précisément à partir de ce "contenu intérieur", de cette "sonorité intérieure" ou de cette "résonance intérieure", et que Michel Henry appelle aussi une "tonalité affective", que l'artiste travaille lors de la création d'une peinture abstraite.
- A propos de la citation de Point et ligne sur plan : "Pour ce genre d'expérience, il vaut mieux se fier à la première impression, car la sensibilité se lasse vite et cède le champ à l'imagination" (p. 170), la sensibilité comme la première impression éprouvée n'a rien d'objectif, elle n'appartient pas à un objet, elle est au contraire purement subjective, elle appartient à la vie. Et lorsque Kandinsky parle de "la résonance sereine et objective du plan originel" (p. 143), le terme objectif est employé dans le sens de "neutre" (équilibre entre les éléments calmes chaud et froid).
- En conclusion de Point et ligne sur plan, Kandinsky écrit que "le but de la théorie est 1. trouver la vie, 2. rendre perceptible sa pulsation, et 3. constater la conformité aux lois de tout ce qui vit" (p. 183). Il n'est pas question ici de la vie objective et biologique que les scientifiques étudient, mais de la vie concrète et purement subjective des individus vivants. Toute la philosophie de Michel Henry est consacrée à la compréhension purement phénoménologique de ce qu'est réellement la vie ainsi éprouvée de l'intérieur.
- Les numéros de pages font référence aux éditions de poche suivantes : Point et ligne sur plan (Denoël, 1989) et Du spirituel dans l'art (Gallimard, 1991).
- Philippe Audinos (d) 26 novembre 2008 à 22:24 (CET)
Kandinsky impressionniste ?
[modifier le code]Bonjour, l'ajout dans l'infobox d'impressionniste ne me semble pas pertinent, car si l'impressionnisme est une filiation de l'œuvre de Kandinsky, cela ne la catégorise pas. Par contre ajouter expressionnisme serait plus judicieux car cette appartenance est reconnue, entre autre voir. Cordialement Quoique (d) 27 juin 2010 à 09:14 (CEST)
Gabriele Münter
[modifier le code]Bizarre, de ne pas trouver un seul mot sur l'artiste Gabriele Münter, qui était son amante et compagne entre 1903 et 1914. C'était d'ailleurs la maison de Gabriele Münter où ils habitaient ensemble à Murnau, et on pourrait croire, quelle a influencé son développement.
Corrections typographiques faites
[modifier le code]En espérant ne rien avoir oublié.
Par contre, je me pose une question : pourquoi la zone « influencé part » est vide en code alors qu'elle apparaît remplie sur la page ? Et que font donc « allahu akbar » et « Helena Blavatsky » dans ces influences ? Ça sent le vandalisme ;-)
--Aldine Esperluette (discuter) 16 août 2016 à 14:26 (CEST)
- Étant donné qu'il restait quelques petits trucs en typo, j'ai mis Goethe, Monet, Schoenberg dans la zone : influencé par, et les noms qui n'avaient rien à voir avec cet artiste ont disparu.
--Aldine Esperluette (discuter) 16 août 2016 à 22:01 (CEST)
- Aldine Esperluette : les influences mentionnées dans l'infobox venaient de Wikidata. Allahu akbar est un acte de vandalisme datant du 16 août 2016 que j’ai annulé. En revanche Helena Blavatsky a été ajoutée le 23 décembre 2014 par Spinster (un wikipédien très actif sur Wikidata) d’après en:wp qui disait : « He was also spiritually influenced by H. P. Blavatsky (1831–1891), the best-known exponent of theosophy. Theosophical theory postulates that creation is a geometrical progression, beginning with a single point. The creative aspect of the form is expressed by a descending series of circles, triangles and squares. Kandinsky's book Concerning the Spiritual In Art (1910) and Point and Line to Plane (1926) echoed this theosophical tenet. Illustrations by John Varley in Thought Forms (1901) influenced him visually.[1] » Pour le reste il faudrait que tu rajoutes les influences dont tu parles ci-dessus non pas dans l'infobox mais dans Wikidata (si possible avec référence).--A1AA1A (discuter) 17 août 2016 à 00:10 (CEST)
- Sixten Ringbom, The sounding cosmos; a study in the spiritualism of Kandinsky and the genesis of abstract painting, (Abo [Finland]: Abo Akademi, 1970), pgs 89 & 148a.
Je réponds un peu tard, désolée. Par contre, je ne sais pas ajouter des influences dans Wikidata. Je laisse le soin à ceux qui savent.
--Aldine Esperluette (discuter) 9 septembre 2016 à 19:35 (CEST)
Nationalité
[modifier le code]Je pense qu'il serait plus juste de dire que Kandinsky est russe, puis naturalisé allemand et enfin français, plutôt que dire qu'il est allemand, puis français d'origine russe. Denis
- Bonjour aussi,
- Plus juste, je ne sais pas ; plus élégant, sans doute, auquel cas, pourquoi ne pas vous lancer ?
- Cordialement, et Hop ! Kikuyu3 Sous l'Arbre à palabres 14 avril 2017 à 18:49 (CEST) "D'origine russe, naturalisé allemand, puis français ?" Arrgh ! je sens qu'elle va me réveiller cette nuit, cette phrase !
Transcription du russe
[modifier le code]Cette orthographe [Vassili Kandinski] correspond à celle qui est préconisée par les instructions pour la Transcription du russe en français auxquelles j'ai dû me plier. Vous avez rétabli l'orthographe couramment, "presque", par prudence, unanimement répandue de Vassily Kandinsky. Cela ne m'a pas beaucoup plu car j'ai pris beaucoup de temps pour corriger cet article qui est très difficile à comprendre : beaucoup de phrases sont l'assemblage de passages pris dans des traductions automatiques, sans corrections des textes auxquels on a ajouté des références pour lesquelles la plupart du temps personne ne se réfère. Presque personne ne vérifie parce que beaucoup de ces sources n'ont pas été numérisées et ne sont pas accessibles. De plus ces écrits élaborés par des spécialistes sont obscurs et sont destinés à des professionnels.
Je conteste l'argument selon lequel vous avez retenu l'orthographe Vassili Kandinsky parce que c'était celle des sources. Beaucoup de ces sources sont étrangères. De plus si on suit ce principe on va voir réapparaître "Roy", "escolier", "eskimmoo", et autres.--Martien19 (discuter) 10 août 2019 à 08:36 (CEST) [copié de PDD PolBr (d · c · b) pour réponse]
- Martien19 : Les éditions françaises, la forme internationale que préconise la BnF, les édtions françaises des livres de Kandinsky utilisent toutes la même graphie, choisie par lui-même au demeurant. Transcription du russe en français s'applique certainement aux cas où un mot russe ou un nom peu connu doit être cité. Par un exemple approprié à la peinture, puisqu'il s'agit de couleur, on doit l'utiliser pour transcrire голубой (golouboï) et синий (sini), respectivement bleu foncé et bleu clair ou pâle (à mon avis, la seconde transcription est bizarre). Mais « Il existe cependant des noms transcrits et popularisés avant que la norme actuelle soit fixée », ce sont des « transcriptions acceptées », dont le nom de Kandinsky est un excellent exemple. Allez-vous corriger Chagall en Chagal ? PolBr (discuter) 10 août 2019 à 09:04 (CEST)
- Par ailleurs, si vous avez systématiquement imposé la graphie de la transcription normalisée, contre la transcription acceptée, vous n'avez pas corrigé les autres. Comme l'indique son patronyme, Василий Васильевич Кандинский (Vassiliï Vasilievitch Kandinskiï) est le fils de Василий Силвестрович Кандинский (Vassiliï Silvestrovitch Kandinskiï). Quelle est, selon vous, la transcription correcte du prénom de Vassiliï (père) ? Pourquoi avez-vous laissé écrite à l'allemande (Anja) le nom de sa première épouse, Анна Филипповна Чемякина Anna Filipovna Tchemiakina ? Préférez-vous Filipovna ou Philipovna ? À partir du moment où Kandinsky sort de la Russie, il utilise bien entendu la graphie du pays où il se trouve, Allemagne, puis France. PolBr (discuter) 10 août 2019 à 15:18 (CEST)
- Martien19 : Bonjour, Je voudrais juste signaler pour information que Kandinsky signait ses dessins et ses peintures des initiales "VK", et non pas "WK". Il me semble donc plus logique et plus cohérent de conserver l'orthographe "Vassily" plutôt que "Wassily" pour son prénom (que l'on pourrait aussi traduire par "Basile" en français). Il me semble que c'est la transcription retenue à titre posthume par sa femme, Nina Kandinsky, ainsi que par Kandinsky lui-même pour ses premières publications d'articles sur l'art dans des revues françaises. Cordialement, Philippe Audinos (discuter) 21 septembre 2019 à 12:45 (CEST)
- Martien19 : Bonjour, Je voudrais aussi compléter mon précédent message en soulignant que l'orthographe « Vassily Kandinsky » est la transcription qui a été retenue systématiquement et « officiellement » dans tous les catalogues d'expositions édités par le Centre Georges-Pompidou, qui possède ou qui regroupe la plus grande collection des œuvres de Kandinsky au monde, des œuvres qui ont été léguées par sa femme, Nina Kandinsky peu de temps avant sa mort tragique en 1980. Cordialement, Philippe Audinos (discuter) 23 septembre 2019 à 12:12 (CEST)
- Merci pour votre travail et l'attention que vous avez portée à mes remarques. Cependant on peut penser que ceux qui ont préparé l'exposition ont rassemblé du matériel existant et perpétué la tradition, c'est leur fonction, sans penser à l'orthographe de son nom. Etant ancien instituteur et bénévole auprès de migrants, je pense que plus notre orthographe obéit à des règles simples plus il est facile de la faire connaître et de la faire aimer; je trouve qu'il est logique que le V ait été retenu pour Vassili mais que les Y à Kandinsky et Vassily n'obéissent pas aux consignes de transcription et sont adaptés à la langue anglaise tout autant respectable. Toutes ces exceptions de forme mobilisent l'attention et entraînent une dispersion au détriment du fond. Cette discussion en est un exemple. Encore merci--Martien19 (discuter) 24 septembre 2019 à 03:43 (CEST)
- Martien19 : Je suis bien conscient de cette difficulté. Je voudrais cependant vous faire observer quelques détails. Premièrement, les autorités françaises de l'orthographe n'ont jamais envisagé des réformes simplificatrices au niveau de celles de l'espagnol et plus encore du portugais au début du XXe siècle. La graphie française conserve des règles compliquées, basées autant sur l'origine du mot que sur la prononciation. Vous avez dû expliquer que ai ne se prononce logiquement comme a lié à i que s'il se trouve une paire de l après (« baille »), ou un seul l mais en fin de mot (« ail »); sinon il se prononce comme è (« aile »), ou comme un (« pain »). Encore ces règles ont-elles des exceptions à apprendre par cœur. On se console en pensant que l'anglais n'a pratiquement aucune règle. L'usage du "y" dans le nom de Kandinsky n'est pas anglais, mais allemand. C'est à Munich que K. a fait son apprentissage de peintre, et à Weimar, puis à Berlin, qu'il a enseigné. Deuxièmement, la graphie purement française de la pronontiation russe de son nom serait Candinesquille, ce qui est joli, mais que personne n'envisage. Le K marque l'appartenance à un domaine étranger, c'est très bien, mais les transcriptions lettre pour lettre, de la fin, -skiï ou -skiy seraient bien plus régulières que -ski, qui est l'orthographe polonaise. L'usage historique du y pour transcrire un lettre grecque qui se prononçait, si je comprends bien, comme quelque chose entre le i et le u du français (comme le i dur ы du russe, qui n'est pas dans le nom de Kandisky, écrit avec deux i mous и) n'est pas le seul ; ayons la grâce de nous souvenir que cette lettre étrangère au latin note aussi le son ille dans des mots français, comme dans le verbe essuyer. On n'est pas tiré facilement d'affaire avec les transcriptions de noms propres. PolBr (discuter) 24 septembre 2019 à 11:06 (CEST)
- Les langues étrangères, y compris l'anglais, sont soumises à plus de règles que vous ne semblez le penser, PolBr. Cela dit, je vous concède que le français donne souvent l'impression d'avoir un goût particulier pour les exceptions.
- Je suis, pour ma part, partisan de la simplification de la langue (dans le sens des rectifications orthographiques de 1990, par exemple) mais le fait est qu'un certain nombre de phénomènes tendent et tendront toujours à rendre les langues vivantes plus complexes — ou au moins le souhaitè-je car c'est le signe d'une culture florissante.
- Les questions que vous abordez dans cette discussion peuvent se révéler très difficiles à trancher. Heureusement pour nous, notre travail ne doit pas viser à être normatif :
- pour le prénom, il est le plus souvent recommandé de franciser (en voici un exemple) ;
- pour le nom de famille, les formes d'usage sont souvent recommandées (mais pas toujours) — il peut y avoir de nombreux Kandinski mais un seul Kandinsky. Je vous invite tous les deux à consulter d'autres wikipédiens ainsi qu'à déterminer l'usage majoritaire (en français) sur ce point.--Braaark (discuter) 24 septembre 2019 à 13:31 (CEST)
- Martien19 : Je suis bien conscient de cette difficulté. Je voudrais cependant vous faire observer quelques détails. Premièrement, les autorités françaises de l'orthographe n'ont jamais envisagé des réformes simplificatrices au niveau de celles de l'espagnol et plus encore du portugais au début du XXe siècle. La graphie française conserve des règles compliquées, basées autant sur l'origine du mot que sur la prononciation. Vous avez dû expliquer que ai ne se prononce logiquement comme a lié à i que s'il se trouve une paire de l après (« baille »), ou un seul l mais en fin de mot (« ail »); sinon il se prononce comme è (« aile »), ou comme un (« pain »). Encore ces règles ont-elles des exceptions à apprendre par cœur. On se console en pensant que l'anglais n'a pratiquement aucune règle. L'usage du "y" dans le nom de Kandinsky n'est pas anglais, mais allemand. C'est à Munich que K. a fait son apprentissage de peintre, et à Weimar, puis à Berlin, qu'il a enseigné. Deuxièmement, la graphie purement française de la pronontiation russe de son nom serait Candinesquille, ce qui est joli, mais que personne n'envisage. Le K marque l'appartenance à un domaine étranger, c'est très bien, mais les transcriptions lettre pour lettre, de la fin, -skiï ou -skiy seraient bien plus régulières que -ski, qui est l'orthographe polonaise. L'usage historique du y pour transcrire un lettre grecque qui se prononçait, si je comprends bien, comme quelque chose entre le i et le u du français (comme le i dur ы du russe, qui n'est pas dans le nom de Kandisky, écrit avec deux i mous и) n'est pas le seul ; ayons la grâce de nous souvenir que cette lettre étrangère au latin note aussi le son ille dans des mots français, comme dans le verbe essuyer. On n'est pas tiré facilement d'affaire avec les transcriptions de noms propres. PolBr (discuter) 24 septembre 2019 à 11:06 (CEST)
- Merci pour votre travail et l'attention que vous avez portée à mes remarques. Cependant on peut penser que ceux qui ont préparé l'exposition ont rassemblé du matériel existant et perpétué la tradition, c'est leur fonction, sans penser à l'orthographe de son nom. Etant ancien instituteur et bénévole auprès de migrants, je pense que plus notre orthographe obéit à des règles simples plus il est facile de la faire connaître et de la faire aimer; je trouve qu'il est logique que le V ait été retenu pour Vassili mais que les Y à Kandinsky et Vassily n'obéissent pas aux consignes de transcription et sont adaptés à la langue anglaise tout autant respectable. Toutes ces exceptions de forme mobilisent l'attention et entraînent une dispersion au détriment du fond. Cette discussion en est un exemple. Encore merci--Martien19 (discuter) 24 septembre 2019 à 03:43 (CEST)
- Bonjour, Je voudrais tout de même souligner que la transcription "Vassily Kandinsky" avait été adoptée depuis les origines de cet article dans Wikipédia, il y a plus d'une quinzaine d'années maintenant, sans que personne n'y trouve rien à redire. C'était une transcription possible parmi d'autres, et elle me convenait personnellement très bien. Je voudrais aussi signaler un petit « problème » ou une légère « incohérence » liés au changement de la transcription du prénom de Kandinsky de "Vassily" en "Wassily" dans l'ensemble du texte de cet article : c'est qu'il faudrait aussi changer le titre de l'article lui-même, qui est toujours "Vassily Kandinsky". Ce qui aura malheureusement pour inconvénient ou pour effet secondaire de rendre inaccessibles les statistiques de consultation au niveau de l'historique de cet article. Cordialement, Philippe Audinos (discuter) 26 septembre 2019 à 13:12 (CEST)
- Les correcteurs demandèrent à T. E. Lawrence quelle transcription il fallait utiliser, il avait écrit parfois Fayçal, parfois Façul, etc. Il leur demanda de laisser tel, aucune transcription n'étant meilleure que d'autres. Cette attitude me semble sage. Ceci dit la vedette BnF indique « Kandinsky, Wassily (1866-1944) forme internationale (…) Forme(s) rejetée(s) : »
- « < Kandinskij, Vasilij Vasilʹevič (1866-1944) translit.-ISO russe »
- « < Кандинский, Василий Васильевич (1866-1944) russe »
- « < Kandinski, Vasili Vasilievitch (1866-1944) translit.-non ISO »
- « < Kandinsky, Vassily (1866-1944) »
- « < Kandinsky, Vassili (1866-1944) »
- PolBr (discuter) 26 septembre 2019 à 16:39 (CEST)
Références
[modifier le code]Martien19 :. Vous abordez d'autre part le problème des sources. Les ouvrages de Kandinsky ne sont certainement pas destinés à des professionnels. Il s'adresseraient plutôt à ses clients. Il fournit à ceux auxquels sa peinture n'en inspire pas un discours qui rassure. Quant aux autres, on trouve surtout des ouvrages excessivement acritiques écrits à destination du grand public. Les textes cités, Düchting, Le Targat, accompagnent des albums de reproductions de ses œuvres. Trouver des opinions plus nuancées, le mettant en relation avec les autres courants artistiques de son époque, serait certainement utile. PolBr (discuter) 10 août 2019 à 15:18 (CEST)
- Bonjour. Il me semble que les écrits de Kandinsky sur l'art ne s'adressaient pas seulement à ses "clients" ou aux acheteurs potentiels de ses toiles et de ses dessins, mais plutôt aux personnes intéressées par son œuvre picturale, aux amateurs d'art abstrait qui souhaitent comprendre sa démarche créatrice (pour ses livres Du spirituel dans l'art et Point et ligne sur plan) ou qui souhaitent lire un témoignage de la naissance de l'art abstrait du point de vue purement artistique de son créateur (pour son livre Regards sur le passé). Cordialement, Philippe Audinos (discuter) 11 septembre 2019 à 19:34 (CEST)
- Bonjour. Vous décrivez avec exactitude l'argument des livres de Kandinsky ; mais se faisant écrivain, il trouve de nouveaux clients qui sont ses lecteurs. Il rejoint par la même occasion la cohorte des artistes qui appuient, à cette époque, leur renommée sur des manifestes (Signac, Gleizes). Aussi grande que soit l'estime qu'on a pour les producteurs d'œuvres uniques que sont les peintres, ainsi que pour les écrivains, ils vivent de leurs ventes ; « les personnes intéressées par leur œuvre picturale » sont leurs clients-lecteurs. Ces clients, au reste, ne dirigent pas plus l'évolution du peintre que les patients clients du médecin ne dirigent le traitement ; mais enfin, il faut bien qu'ils en trouvent. Dans la rédaction d'une encyclopédie, il faut évaluer la fiabilité des sources. Les écrits des peintres eux-mêmes, ou les recueils de propos, sont marqués par deux problèmes. Le premier est le conflit d'intérêts dû à la position économique de l'auteur : ils ont un caractère publicitaire ; l'artiste justifie son travail. Le second souci vient de ce que l'artiste, engagé dans l'action créatrice, produit très souvent une théorie très illusoire à l'appui de son propre travail. C'est la raison pour laquelle, à mon avis, il faut, dans le compte rendu de ces écrits, se baser dans Wikipédia sur des sources secondaires, des critiques. Cordialement, PolBr (discuter) 11 septembre 2019 à 20:32 (CEST)
- Bonjour. Kandinsky était issu d'une famille aisée, son père était un riche négociant en thé si mes souvenirs sont bons et il était propriétaire d'un immeuble entier à Moscou. Kandinsky était soutenu financièrement par son père à ses débuts dans la peinture. Il n'avait donc pas spécialement besoin de « faire de la publicité », de vendre des livres, ni même de vendre des toiles pour vivre ou pour assurer sa subsistance. Sa grande peinture "Composition IX" par exemple, qui date de 1936, a ainsi été achetée par l'état français pour une « bouchée de pain » ou pour un « plat de lentille » en 1939, comme il l'écrit dans une de ses lettres, qui est reproduite dans le catalogue d'exposition Kandinsky. Œuvres de Vassily Kandinsky (1866-1944), Centre Georges-Pompidou, 1984. Cordialement, Philippe Audinos (discuter) 21 septembre 2019 à 12:59 (CEST)
- Précisément parce que Kandinsky était issu d'une riche famille, parce qu'il avait abandonné une carrière officielle bien rémunérée pour la peinture, il devait montrer que ce mouvement n'était pas celui d'un idiot, mais d'une personne avisée sachant utiliser ses resources personnelles et faire reconnaître sa valeur ; l'argent hérité n'en est pas une preuve, la réputation en est une (cp. Degas, riche aussi). Après la Révolution russe, son sort dépendait encore plus sa réputation. Il utilisa sa formation à l'écriture (études de droit) pour promouvoir celle-ci (à la différence de Braque, Matisse, Picasso). Note : en dehors de cette question, j'espère que nous sommes d'accord sur la nécessité de citer des sources secondaires, conformément à WP:CVS. Cordialement, PolBr (discuter) 21 septembre 2019 à 14:25 (CEST)
- Bonjour, voici une citation du philosophe français Michel Henry (1922-2002), qui répond à votre "commentaire" et qui se passe à mon sens de tout commentaire :
« Le "Super-pionnier" [Kandinsky] n’a pas seulement produit une œuvre dont la magnificence sensorielle et la richesse d’invention éclipsent celle de ses contemporains les plus remarquables ; il a donné en outre une théorie explicite de la peinture abstraite, exposant ses principes avec la plus grande précision et la plus grande clarté. Ainsi l’œuvre peint se double-t-il d’un ensemble de textes qui l’éclairent en même temps qu’ils font de Kandinsky l’un des principaux théoricien de l’art ». (Michel Henry, Voir l’invisible, sur Kandinsky, éd. François Bourin, 1988, p. 10).
Cordialement, Philippe Audinos (discuter) 7 février 2020 à 13:37 (CET)- Merci pour cette citation hagiographique. Le mot théorie doit être pris dans un sens métaphorique ou artistique ; une « théorie de la peinture abstraite » ne devrait pas rendre compte de la peinture de l'auteur seule, mais aussi de celle des autres. La citation confirme que K. s'adressait à ses clients autant ou plus par l'écrit que par la peinture. PolBr ([[Discussion ::::: Bonjour, utilisateur:PolBr|discuter]]) 7 février 2020 à 14:42 (CET)
- Bonjour. Je suis désolé de vous contredire, mais il ne s'agit absolument pas d'une "citation hagiographique" comme vous semblez le croire naïvement ou comme vous le prétendez. La totalité de ce livre de Michel Henry (Voir l’invisible, sur Kandinsky, éd. François Bourin, 1988) est précisément consacrée à la démonstration philosophique rigoureuse de cette affirmation d'un point de vue phénoménologique, en suivant les descriptions théoriques rigoureuses de Kandinsky sur les effets intérieurs ou spirituels des moyens picturaux sur l'âme humaine et sur la sensibilité du spectateur. Il décrit en particulier les effets de la couleur qui agit comme une tonalité affective, de la forme qui correspond à l'exercice d'une force subjective par la main de l'artiste sur le crayon ou sur le pinceau, et enfin du format du support ou plan originel qui forme la tonalité de base de toute peinture. Toute peinture n'est-elle pas constituée de couleurs et de formes déposées sur un support, qu'il s'agisse d'une feuille de papier, d'une toile ou de la paroi d'un grotte dans le cas des peintures préhistoriques ? Ces descriptions phénoménologiques ne se limitent nullement à l'œuvre abstraite de Kandinsky, elles ont bien l'ambition de décrire les effets intérieurs ou spirituels de toute peinture sur l'âme du spectateur qui prend le temps de la regarder pour de vrai et de l'admirer. Le mot "théorie" est au contraire à prendre dans un sens philosophique et rigoureux, et non pas en un sens "métaphorique" ou "artistique" comme vous le dites. Par ailleurs, le philosophe Michel Henry est reconnu pour sa probité philosophique et pour son honnêteté intellectuelle (voir en particulier la préface du livre Réduction et donation du philosophe Jean-Luc Marion, p. 5). Cordialement, Philippe Audinos (discuter) 14 mai 2021 à 15:02 (CEST)
- Merci pour cette citation hagiographique. Le mot théorie doit être pris dans un sens métaphorique ou artistique ; une « théorie de la peinture abstraite » ne devrait pas rendre compte de la peinture de l'auteur seule, mais aussi de celle des autres. La citation confirme que K. s'adressait à ses clients autant ou plus par l'écrit que par la peinture. PolBr ([[Discussion ::::: Bonjour, utilisateur:PolBr|discuter]]) 7 février 2020 à 14:42 (CET)
- Bonjour, voici une citation du philosophe français Michel Henry (1922-2002), qui répond à votre "commentaire" et qui se passe à mon sens de tout commentaire :
- Précisément parce que Kandinsky était issu d'une riche famille, parce qu'il avait abandonné une carrière officielle bien rémunérée pour la peinture, il devait montrer que ce mouvement n'était pas celui d'un idiot, mais d'une personne avisée sachant utiliser ses resources personnelles et faire reconnaître sa valeur ; l'argent hérité n'en est pas une preuve, la réputation en est une (cp. Degas, riche aussi). Après la Révolution russe, son sort dépendait encore plus sa réputation. Il utilisa sa formation à l'écriture (études de droit) pour promouvoir celle-ci (à la différence de Braque, Matisse, Picasso). Note : en dehors de cette question, j'espère que nous sommes d'accord sur la nécessité de citer des sources secondaires, conformément à WP:CVS. Cordialement, PolBr (discuter) 21 septembre 2019 à 14:25 (CEST)
- Bonjour. Kandinsky était issu d'une famille aisée, son père était un riche négociant en thé si mes souvenirs sont bons et il était propriétaire d'un immeuble entier à Moscou. Kandinsky était soutenu financièrement par son père à ses débuts dans la peinture. Il n'avait donc pas spécialement besoin de « faire de la publicité », de vendre des livres, ni même de vendre des toiles pour vivre ou pour assurer sa subsistance. Sa grande peinture "Composition IX" par exemple, qui date de 1936, a ainsi été achetée par l'état français pour une « bouchée de pain » ou pour un « plat de lentille » en 1939, comme il l'écrit dans une de ses lettres, qui est reproduite dans le catalogue d'exposition Kandinsky. Œuvres de Vassily Kandinsky (1866-1944), Centre Georges-Pompidou, 1984. Cordialement, Philippe Audinos (discuter) 21 septembre 2019 à 12:59 (CEST)
- Bonjour. Vous décrivez avec exactitude l'argument des livres de Kandinsky ; mais se faisant écrivain, il trouve de nouveaux clients qui sont ses lecteurs. Il rejoint par la même occasion la cohorte des artistes qui appuient, à cette époque, leur renommée sur des manifestes (Signac, Gleizes). Aussi grande que soit l'estime qu'on a pour les producteurs d'œuvres uniques que sont les peintres, ainsi que pour les écrivains, ils vivent de leurs ventes ; « les personnes intéressées par leur œuvre picturale » sont leurs clients-lecteurs. Ces clients, au reste, ne dirigent pas plus l'évolution du peintre que les patients clients du médecin ne dirigent le traitement ; mais enfin, il faut bien qu'ils en trouvent. Dans la rédaction d'une encyclopédie, il faut évaluer la fiabilité des sources. Les écrits des peintres eux-mêmes, ou les recueils de propos, sont marqués par deux problèmes. Le premier est le conflit d'intérêts dû à la position économique de l'auteur : ils ont un caractère publicitaire ; l'artiste justifie son travail. Le second souci vient de ce que l'artiste, engagé dans l'action créatrice, produit très souvent une théorie très illusoire à l'appui de son propre travail. C'est la raison pour laquelle, à mon avis, il faut, dans le compte rendu de ces écrits, se baser dans Wikipédia sur des sources secondaires, des critiques. Cordialement, PolBr (discuter) 11 septembre 2019 à 20:32 (CEST)
Un Kandinsky restitué
[modifier le code]Peut-être à mentionner sur l'article ?
- Vendu sous la contrainte en 1940, un Kandinsky restitué aux héritiers d'un collectionneur juif (le Figaro)
- Un Kandinsky restitué aux héritiers d’un collectionneur juif après une saga judiciaire (rtbf.be) — adel 1 mars 2022 à 11:43 (CET)
- Bonjour Madelgarius,
- Voir Liste des demandes de restitutions d'œuvres d'art spoliées par les nazis, plutôt, je pense ? Daehan [p|d|d] 1 mars 2022 à 12:33 (CET)
- Bonjour Daehan, oui, je n'ai pas pensé à cet article. J'y dépose le même message. Merci, — adel 1 mars 2022 à 12:37 (CET)
Biblio
[modifier le code]Yep. Je viens de remarquer un ouvrage dispo en ligne les amis ! J’avais déjà remarqué et lu/feuilleté les catalogues du Guggenheim 1982, 1983, 1985 & co (faudra créer les entrées aussi) mais héhé : y’a aussi Christian Derouet (dir.), Kandinsky, (ISBN 978-2-84426-381-0, lire en ligne).. C’est la modif du bot de l’entrée wd qui m’a fait remarquer ça ! N’ayant pas cherché avant vu ce que j’ai dans ma bibliothèque perso et à dispo en BU&co, je n’ai pas ressenti le besoin. Mais c’est cool ! Bon, pas dispo pour qlq minutes encore je l’ai emprunté (preum’s ) mais après promis je vous le laisse, je l’ai sous les yeux en version papier (c’est mieux ). A+, Malik2Mars (discuter) 31 mai 2022 à 16:05 (CEST)
- Du coup, j’en profite je copie ci-dessous le wikidalist que j’ai en brouillon pour les ressources sur wd. +++, Malik2Mars, 31 mai 2022 à 16:09 (CEST)
- Ah, je profite aussi pour tester un truc. Y’a un bug avec un id ajouté par le bot à Barnett 1992. J’ajoute ci-dessous P648 (lien déjà dispo en cliquant sur l’ISBN (d:Special:BookSources)). Malik2Mars (discuter) 1 juin 2022 à 03:32 (CEST)
- Et pour ceux que ça intéresse, parmi les ouvrages dispo en ligne, y’a par ex la version en de Grohmann 1958 et on a depuis peu les « vignettes » rangées sur commons. Malik2Mars (discuter) 1 juin 2022 à 03:45 (CEST)
┌─────────────────────────────────────────────────┘
MàJ rapide suite modif bobot ici et sur wd.
- Pour les 2vol categ raisonné, pas encore les éléments WD correspondants pour les VO (on a d:Q109287572, lié à commons:Wassily Kandinsky catalogue raisonné, 1982 Roethel and Benjamin). Accès Archive.org utilisé en brouillon (et pdd) pour le moment.
- Pour voir l’utilisation d’un élément wd sur wp : Spécial:EntityUsage (rappel, LE : Spécial:Recherche_de_lien)
- Sur wd le bot fait (encore) des conneries, assez drôles, c’est vrai, mais j’ai autre chose à faire que repasser derrière !
- il a ajouté deux liens vers un ouvrage sur Paul Klee… .
- Et sur deux éléments différents, donc (OL43770980M: Q112194833, Q112194961) d:Wikidata:Database reports/Constraint violations/P648…
- Bug précédent, signalé là d:Topic:Wwltda3kfxanut45
- Ah, ok, c’est vrai, faut « déprécier ». Malik2Mars (discuter) 5 février 2023 à 06:36 (CET)
- il a ajouté deux liens vers un ouvrage sur Paul Klee… .
┌─────────────────────────────────────────────────┘
MAJ.
Autres ressources dispo en ligne.
- Le pavé de 1984 Christian Derouet et Jessica Boissel, Kandinsky : œuvres de Vassily Kandinsky (1866-1944), (ISBN 2-85850-262-5). : https://archive.org/details/kandinskyuvresde0000dero
- Le XXe 1966 : https://collezioni.unimi.it/xxsiecle/le-annate-xxeme-siecle-rivista-di-arte-contemporanea/#pdf-centenaire-de-kandinsky-1966-xxvii/2/ (voir aussi https://www.lemonde.fr/archives/article/1967/02/24/kandinsky-centenaire_2620829_1819218.html)
Note: peaufiner le tableau ci-dessous pour MàJ auto et reprendre contrib sur wd (j’ai un peu la flemme depuis qlq temps). Malik2Mars (discuter) 9 décembre 2023 à 22:35 (CET)
Ah oui, pour l’ajout récent de l’inédit 1914/2023 spécial:diff/209714488, @AimeBee (Bonjour), c’est bien dans (ISBN 979-10-95087-11-3) ? Merci. Malik2Mars (discuter) 9 décembre 2023 à 23:07 (CET)
Liste auto ressources wd
[modifier le code]sur V, revert confusion
[modifier le code]Artiste | |
---|---|
Date | |
Matériau | |
Lieu de création | |
Dimensions (H × L) |
95 × 139 cm |
No d’inventaire |
ГЭ-10077 |
Localisation |
Bonsoir @Septimaud, j’ai annulé votre ajout (spécial:diff/199358562). Il y’a confusion avec l’esquisse (vous indiquez en cm de diff « Sketch » d’ailleurs). Jusqu’à preuve du contraire (c’est-à-dire, avec des sources en béton) la Composition V est dans une collection privée. Bien sûr, les tableaux voyagent parfois, changent de mains. Vous pouvez annuler ma modif en enlevant cette précision sur le musée et même ajouter un lien rouge (Composition V, comme ici : Nouvelle Association des artistes munichois) : il y’a de quoi créer une page dédiée pour cette œuvre d’ailleurs ! Question ressources (rapidement) : Roethel et Benjamin 1982 398, p. 383 et 400, p. 385 (388), Dabrowski 1995, p. 34-37, et 80-81[2], etc. Vous pouvez visualiser et suivre les liens commons et wikidata via les infobox ci-contre (à compléter, sourcer, petit à petit là aussi). Pour info (note pour moi-même) : J’ai déjà abordé certaines de ces « problématiques » avec @LD (Discussion utilisateur:LD/Archives/2022#Portail:Culture russe/Images du mois/10). Malik2Mars (discuter) 9 décembre 2022 à 23:55 (CET)
- Czech National Bibliography
- p. 34 : « One needs a certain daring if one is to take such outworn themes as the starting point for pure painting. It was for me a trial of strength, which in my opinion has turned out for the best. » (Conférence de Cologne, traduit notamment dans Regards sur le passé (2014, p. 207 : « Il faut une certaine audace pour prendre des sujets aussi usés comme point de départ de la peinture pure. Ce fut pour moi un test, dont le résultat, à mon sens, a été satisfaisant »)
- Article du projet Arts d'avancement B
- Article du projet Arts d'importance maximum
- Article du projet Culture russe d'avancement B
- Article du projet Culture russe d'importance maximum
- Article du projet Histoire de l'art d'avancement B
- Article du projet Histoire de l'art d'importance maximum
- Article du projet Peinture d'avancement B
- Article du projet Peinture d'importance maximum
- Article du projet Gravure d'avancement B
- Article du projet Gravure d'importance moyenne