Saint-Pardoux-la-Rivière
Saint-Pardoux-la-Rivière | |||||
La mairie de Saint-Pardoux-la-Rivière. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Nontron | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Périgord Nontronnais (nouvelle) | ||||
Maire Mandat |
Sylvie Gouraud 2020-2026 |
||||
Code postal | 24470 | ||||
Code commune | 24479 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 169 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 49 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 29′ 39″ nord, 0° 44′ 48″ est | ||||
Altitude | Min. 132 m Max. 332 m |
||||
Superficie | 23,84 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Nontron (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Périgord vert nontronnais | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Liens | |||||
Site web | saint-pardoux-la-riviere.fr | ||||
modifier |
Saint-Pardoux-la-Rivière est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
De 1790 à 2015, la commune était le chef-lieu du canton de Saint-Pardoux-la-Rivière.
Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.
Géographie
[modifier | modifier le code]Généralités
[modifier | modifier le code]Dans le nord du département de la Dordogne, à l'intérieur du parc naturel régional Périgord-Limousin, la commune de Saint-Pardoux-la-Rivière se trouve dans le Nontronnais. C'est une commune rurale[1] qui fait partie de l'aire d'attraction de Nontron[2], zonage d’étude défini par l'Insee, qui a remplacé en 2020 l'aire urbaine de Nontron dont la commune ne faisait pas partie. Elle est traversée par la Dronne et arrosée par plusieurs de ses affluents.
À l'intersection des routes départementales (RD) 83, 83E1 et 707, le bourg est traversé par la Dronne. Il se situe, en distances orthodromiques, huit kilomètres au sud-est de Nontron et seize kilomètres au nord-ouest de Thiviers.
La commune est également desservie par la RD 83E2.
Sur l'ancien tracé de la ligne ferroviaire de Saint-Pardoux-la-Rivière à Thiviers, une voie verte traverse le sud-est du territoire communal sur plus d'un kilomètre et demi.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Saint-Pardoux-la-Rivière est limitrophe de sept autres communes. Au nord-ouest, Savignac-de-Nontron n'est limitrophe que sur environ 25 mètres.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Géologie
[modifier | modifier le code]Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Pardoux-la-Rivière est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[3].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire, de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque et du Paléozoïque, ainsi que de roches métamorphiques et magmatiques. La formation la plus ancienne, notée ξ1, se compose de micaschistes lamelleux à deux micas, parfois grenats et silicates d'alumine (groupe de la Dronne, Néoprotérozoïque à Cambrien). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 734 - Nontron » et « no 735 - Thiviers » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[4],[5] et leurs notices associées[6],[7].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | ||||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Cénozoïque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
Holocène |
| ||||||||||||||
Pléistocène |
| ||||||||||||||||
Néogène (2.58 - 23.03) |
non présent | ||||||||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) |
Oligocène |
| |||||||||||||||
Éocène |
| ||||||||||||||||
Paléocène | non présent | ||||||||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) |
Crétacé (66.0 - ≃145.0) |
Supérieur |
| ||||||||||||||
inférieur | non présent. | ||||||||||||||||
Jurassique (≃145.0 - 201.4) |
Supérieur |
| |||||||||||||||
Moyen |
| ||||||||||||||||
Jurassique inférieur |
| ||||||||||||||||
Trias (201.4 - 251.902) |
| ||||||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 538.8) |
Permien (251.902 - 298.9) |
non présent | |||||||||||||||
Carbonifère (298.9 - 358.9) |
Pennsylvanien |
| |||||||||||||||
Mississippien |
| ||||||||||||||||
Dévonien (358.9 - 419.2) |
non présent | ||||||||||||||||
Silurien (419.2 - 443.8) |
non présent | ||||||||||||||||
Ordovicien (443.8 - 485.4) |
non présent | ||||||||||||||||
Cambrien (485.4 - 538.8) |
|
Relief et paysages
[modifier | modifier le code]Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 132 mètres et 332 mètres[8],[9].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [10]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[11]. La commune est dans l'unité paysagère du « Périgord limousin » qui correspond à la région naturelle du Nontronnais. Ce territoire forme un plateau collinaire aux pentes douces et sommets arasés, d’altitude moyenne autour des 300 m dont le point culminant est également celui de la Dordogne. Ce plateau cristallin est vallonné et dominé par les prairies aux horizons boisés. Il est entaillé de vallées profondes aux versants forestiers[12],[13].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 23,84 km2[8],[14],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 23,3 km2[5].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située pour partie dans le bassin de la Dordogne et pour partie dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[17]. Elle est drainée par la Dronne, le ruisseau de Chantres, le ruisseau de Lachenaud, le ruisseau de Larret et par divers petits cours d'eau[Note 3], qui constituent un réseau hydrographique de 27 km de longueur totale[18],[Carte 1].
La Dronne, d'une longueur totale de 200,56 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Bussière-Galant et se jette en rive droite de l'Isle — dont elle est le principal affluent — à Coutras en Gironde, au lieu-dit la Fourchée, face à la commune de Sablons[19],[20]. Elle traverse la commune du nord-est au sud sur plus de neuf kilomètres, dont la moitié sert de limite naturelle en deux tronçons, face à Champs-Romain et à Saint-Front-la-Rivière.
Son affluent de rive droite le ruisseau de Lachenaud arrose le nord-ouest de la commune sur près de trois kilomètres dont deux et demi servent de limite naturelle face à Champs-Romain.
Affluent de rive gauche de la Dronne, le Larret borde le territoire communal au nord-est sur deux kilomètres, face à Saint-Saud-Lacoussière.
Le ruisseau de Chantres baigne le sud-est de la commune sur un kilomètre et demi et se jette dans la Dronne en rive gauche au niveau du bourg.
-
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Pardoux-la-Rivière.
-
Carte des schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) couvrant le territoire communal de Saint-Pardoux-la-Rivière.
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente » et « Isle - Dronne ». Le SAGE « Charente », dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[21]. Le SAGE « Isle - Dronne », dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[22]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [23].
La quasi-intégralité du territoire communal dépend du SAGE Isle - Dronne. Seule une infime partie à l'extrême nord-ouest, en limite de Nontron, est rattachée au SAGE Charente.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre les climats océaniques aquitain et limousin[24]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[25].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 025 mm, avec 13,5 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[26]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Coquille à 19 km à vol d'oiseau[27], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 178,8 mm[28],[29]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[30].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Pardoux-la-Rivière est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[31]. Elle est située hors unité urbaine[32]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nontron, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[32]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[33],[34].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (56,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41 %), zones agricoles hétérogènes (37,3 %), prairies (11,6 %), zones urbanisées (4,9 %), terres arables (4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1 %)[35]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Prévention des risques
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Saint-Pardoux-la-Rivière est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[36]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[37].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dronne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993 et 1999[38],[36]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Dronne », couvrant 19 communes et approuvé le , pour les crues de la Dronne[39],[40].
Saint-Pardoux-la-Rivière est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[41]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[42],[43].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[44]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[45]. 40,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[46].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[36].
Risque particulier
[modifier | modifier le code]Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Pardoux-la-Rivière est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[47].
Toponymie
[modifier | modifier le code]En occitan, la commune porte le nom de Sent Pardol la Ribiera[48].
Histoire
[modifier | modifier le code]Une communauté de Dominicaines est fondée à Saint-Pardoux à la demande de Marguerite de Bourgogne, veuve du vicomte de Limoges, morte en 1277. Le couvent est fondé par Gérard de Maumont, en 1293. Les six premières religieuses s'y installent. Les religieuses sont chassées du couvent le . les bâtiments sont vendus comme bien national et adjugés au citoyen Planchas Lavalette, le . Il met les lieux à disposition du département qui en fait une prison pour femmes, dont la majorité appartient à la noblesse. Faute de moyens, la prison est fermée et les femmes libérées en 1793. Les bâtiments abandonnés servent ensuite de carrière de pierres.
En , à la suite d'une rafle commanditée par René Bousquet, 172 personnes de confession juive sont rassemblées à Saint-Pardoux-la-Rivière, avant d'être transférées à Nexon. Ils partent ensuite vers les camps de Drancy et d'Auschwitz[49].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Dès 1790, la commune de Saint-Pardoux-la-Rivière est le chef-lieu du canton de Saint-Pardoux-la-Rivière qui dépend du district de Nontron jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton dépend de l'arrondissement de Nontron[8].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[50]. La commune est alors rattachée au canton du Périgord vert nontronnais.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Fin 1995, Saint-Pardoux-la-Rivière intègre dès sa création la communauté de communes du Périgord vert, dont elle est le siège. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Périgord vert nontronnais. Au , celle-ci fusionne avec la communauté de communes du Haut-Périgord pour former la communauté de communes du Périgord Nontronnais.
Administration municipale
[modifier | modifier le code]La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[51],[52].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]- Sainte-Mélanie (Québec) depuis 2004
Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Santé
[modifier | modifier le code]En 2018, la commune est dotée d'une maison de santé pluridisciplinaire où exercent trois médecins généralistes, quatre infirmières, des kinésithérapeutes et un podologue, ainsi qu'un ORL, un gastro-entérologue, un rhumatologue et un chirurgien des membres supérieurs. De plus, une psychologue, une diététicienne et différents spécialistes y interviennent[55],[56].
Justice
[modifier | modifier le code]En 2023, dans le domaine judiciaire, Saint-Pardoux-la-Rivière relève[57] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Périgueux ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[59].
En 2021, la commune comptait 1 169 habitants[Note 6], en évolution de −2,01 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Sport
[modifier | modifier le code]En football, l'« Association sportive Nontron/Saint-Pardoux »[61] est engagée en Régional 1 pour la saison 2023-2024[62].
Chaque année, à la mi-août, se tient sur deux jours une compétition automobile : le « Rallye 24 »[63],[64].
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Fête du Spardos chaque année en juillet (22e édition en 2019[65] avec marché de nuit, vide-greniers et concerts.
Économie
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]En 2015[66], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 429 personnes, soit 36,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (68) a augmenté par rapport à 2010 (41) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,8 %.
Établissements
[modifier | modifier le code]Au , la commune compte 122 établissements[67], dont soixante-six au niveau des commerces, transports ou services, 21 relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, seize dans la construction, quinze dans l'industrie, et quatre dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[68].
Entreprises
[modifier | modifier le code]Dans le secteur des services, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Gauthier transports » (transports routiers de fret interurbains), implantée à Saint-Pardoux-la-Rivière, se classe en 5e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 14 960 k€[69].
La société Ayrens, l'un des cinq derniers fabricants français de parapluies, est établie à Saint-Pardoux-la-Rivière où elle emploie une douzaine de personnes en 2014[70].
Parmi la vingtaine de tanneries subsistant en France début 2016, les « Tanneries de Chamont » sont implantées dans le bourg, en bordure de la Dronne. Ayant employé jusqu'à cinquante personnes par le passé, elles en emploient encore huit pour un chiffre d'affaires annuel de trois millions d'euros[71].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Pardoux, édifiée en 1606 et restaurée en 1748[72].
- Le monument aux morts de la guerre 1914-1918 situé à côté de l'église est inscrit au titre des monuments historiques en 2015[73]. Il inclut la statue On ne passe pas (d) réalisée par Eugène Piron.
- L'ancien hôtel des Voyageurs, du XVIe siècle, présente une fenêtre sculptée, inscrite depuis 1976 au titre des monuments historiques[74].
- Musée de la Carte postale en Périgord de 1898 à 1920.
-
L'ex-hôtel des Voyageurs, actuellement une boucherie, avec sa fenêtre sculptée.
-
La fenêtre sculptée, Grand-rue de la Barre.
-
L'église Saint-Pardoux. -
Sa nef. -
Le monument aux morts. -
Maisons à Saint-Pardoux. -
Bâtiment du musée de la carte postale devant lequel se trouve la pompe. -
La pompe. -
Le pont sur la Dronne. -
Le poids public
construit en 1898. -
Le lavoir, derrière lequel se voit le poids public. -
Le lavoir.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jean-Louis Dubut de Laforest (1853 - 1902), écrivain et journaliste de la fin du XIXe siècle, est né dans le bourg de Saint-Pardoux-la-Rivière et est enterré dans son cimetière.
- Léon Sireyjol (1861-1942) est un homme politique décédé à Saint-Pardoux-la-Rivière.
- Étienne Rey (1879-1965), écrivain et auteur dramatique né à Saint-Pardoux-la-Rivière.
- Anne Lacaton (1955-), architecte, colauréate du Prix Pritzker 2021 avec son associé Jean-Philippe Vassal[75], est née à Saint-Pardoux-la-Rivière.
- Kito de Pavant (1961), de son vrai nom Christophe Fourcault de Pavant, est un navigateur né à Saint-Pardoux-la-Rivière.
- Élie Robert-Nicoud (1963-2023), connu comme écrivain sous le nom de plume de Louis Sanders, s'est installé à Saint-Pardoux-la-Rivière dans les années 1990 et y a ouvert un club de boxe local.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'azur au pont de trois arches d'or sur une rivière ondée d'argent, sommé d'un léopard d'or. |
|
---|---|---|
Détails | Armes parlantes. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Roger Drouault, « Recherches sur le couvent et le bourg de Saint-Pardoux-la-Rivière », Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, t. 26, , p. 285-353, 424-488, 560-623 (lire en ligne)
- Claude-Henri Piraud, « Une hymne inédite de Thomas Becket dans le processional de Saint-Pardoux-la-Rivière », Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, t. 150, no 2, , p. 161-174 (ISSN 1141-135X)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes de la Dordogne
- Communauté de communes du Périgord Nontronnais (nouvelle)
- Dordogne (département)
- Périgord
Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[15],[16]
- Contrairement à ce qu'indique le Sandre, le Manet, affluent de rive gauche du ruisseau de Lachenaud, n'arrose pas la commune de Saint-Pardoux-la-Rivière située en rive droite à leur confluence.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Saint-Pardoux-la-Rivière » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- [PDF] Arrêté fixant la liste des communes rurales 2023, Recueil des actes administratifs normal no 4, Préfecture de la Dordogne, , p. 126-140.
- Aire d'attraction des villes 2020 de Nontron, Insee, consulté le .
- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de Saint-Pardoux-la-Rivière » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Pardoux-la-Rivière », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
- « Notice associée à la feuille no 734 - Nontron de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
- « Notice associée à la feuille no 735 - Thiviers de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Repères géographiques du Périgord limousin », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Périgord limousin », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Pardoux-la-Rivière », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Saint-Pardoux-la-Rivière », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
- « Confluence Dronne-Isle à la Fourchée » sur Géoportail (consulté le 12 octobre 2022)..
- Sandre, « la Dronne »
- « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Pardoux-la-Rivière et La Coquille », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « La Coquille » (commune de La Coquille) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « La Coquille » (commune de La Coquille) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nontron », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Pardoux-la-Rivière », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), liste des risques par communes, pages 111-133.
- [PDF]« Plan de prévention du risque inondation de la « vallée de la Dronne » », sur le site de la préfecture de la Dordogne, (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
- « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- Le nom occitan des communes du Périgord - Sent Pardol la Ribiera sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 22 septembre 2021.
- Roger Rosello, La mémoire des 172 juifs arrêtés en 1942 honorée, Sud Ouest édition Périgueux du 14 mai 2012
- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 13 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 24 novembre 2020.
- Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 30 août 2014.
- Voici vos 557 maires, édition spéciale de Sud Ouest édition Dordogne du 3 avril 2008, p. 21.
- Émilie Delpeyrat, « Pourquoi cette maison respire la santé », Sud Ouest édition Dordogne, 1er février 2018, p. 12-13.
- Maisons de santé pluridisciplinaires, Communauté de communes du Périgord Nontronnais.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Association sportive Nontron/Saint Pardoux (foot), site de la mairie de Nontron, consulté le .
- Sylvain Desgroppes, « Nontron/Saint-Pardoux rejoint deux habitués en R1 », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 33.
- Adrien Larelle, « Le Rallye 24 revient sur les routes du Périgord vert », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 35.
- Rallye 24 Dordogne Périgord, ewrc-results.com, consulté le .
- Daniel Syriex, « La 22e nuit du Spardos se prépare », Sud Ouest édition Périgueux, 20 juillet 2019, p. 20c.
- Dossier complet - Commune de Saint-Pardoux-la-Rivière (24479) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 24 janvier 2019.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Saint-Pardoux-la-Rivière (24479) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 24 janvier 2019.
- « Services », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 39.
- Hervé Chassain, « Il mise sur la pluie », Sud Ouest édition Périgueux, 26 février 2014.
- Patricia Marini-Metge, « Le cuir bien tanné », Le Mag no 201, supplément à Sud Ouest, 6 février 2016, p. 29-31.
- Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 237-238.
- Liste des immeubles protégés au titre des monuments historiques en 2015, Légifrance, consulté le 23 juillet 2016.
- « Hôtel des Voyageurs », notice no PA00082885, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 juillet 2016.
- Benoît Martin, « Le « Prix Nobel » d'architecture », Sud Ouest édition Dordogne, 17 mars 2021, p. 14.